Des policiers Italiens : "Nous vous soutenons"

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Premier témoignage :

Le vice Premier ministre chinois, un des chefs du bureau 610, était en visite à Florence. Les policiers chinois nous empêchaient de manifester pacifiquement. Cela nous a donné une occasion de clarifier la vérité aux policiers italiens. Ils nous ont posé beaucoup de questions comme :

"Qu’est –ce que c’est FALUN GONG ? - Pourquoi le gouvernement chinois veut réprimer cette méthode ?"
Nous nous sommes exprimés en ces termes :" C’est la clique de Jiang Zemin qui utilise le régime totalitaire pour réprimer le Falun Gong et aussi pour assouvir leur ambition politique personnelle. Jiang est à l’origine de mauvaises actions, il bafoue les lois de son pays, il trompe son peuple. Pour réprimer le Falun Gong, ils ont créé le bureau 610. Un des responsables de ce bureau 610 est actuellement en visite de votre pays. Ils ont utilisé les moyens les plus ignobles, les plus perfides, les plus crapuleux, les plus impitoyables, pour forcer des hommes de bien d’abandonner leurs convictions et leur pratique. Ils ont même été capables de torturer à mort un bébé de 8 mois devant sa mère, et ensuite de tuer la mère, tout simplement parce que cette mère ne voulait pas renoncer à ses convictions. Elle souhaitait seulement avoir le droit d’appliquer les critères de vérité, de compassion, de patience dans sa vie quotidienne. Son seul but était de devenir une personne de bien dans la société."

Après avoir écouté la vérité sur les cas de torture, le policier italien, bouleversé, s’est exprimé en ces termes : "Ils ne sont plus humains. Vous devez dénoncer la torture aux médias, pour que le monde entier connaisse la vérité sur la torture, on ne peut pas les laisser continuer à nuire aux gens, il faut que tout le monde sache. Liberté et Démocratie en Chine c’est vraiment zéro, en dessous de zéro!" A cet instant là deux autres policiers se sont approchés de nous, alors le policier a raconté à ses collègues tout ce qu’il avait entendu. Tous les trois étaient complètement stupéfaits et ont prononcé ces paroles : « Nous ne pouvons pas laisser commettre de tels actes de violence et laisser de tels assassins exister et continuer au XXI ème siècle. Nous vous soutenons ».

Nous avons encore fait remarquer aux policiers, alors que deux d'entre eux nous repoussaient doucement dans une rue plus loin au début de la manifestation, que les agents de la sécurité chinoise filmaient la scène afin de récupérer l’incident pour tromper une fois de plus le peuple chinois et affirmer que l’Italie était contre le Falun Gong. Apprenant cela les policiers italiens se sont exclamés : "C’est abominable ! Vous devez absolument dénoncer la propagande et les diffamations chinoises ".

Au moment où le vice-premier ministre chinois et sa délégation quittaient le bâtiment et alors qu’ils passaient devant nous, avec les policiers italiens à nos côtés, nous avons sortis un débardeur sur lequel était écrit : «Falun DAFA est bon », et l'avons montré à toutes les autorités chinoises. Cinquante mètres plus loin, des pratiquants faisaient « Fa Zheng Nian »…, encore un peu plus loin un autre groupe déroulait une banderole de « FALUN DAFA HAO ».

Après cette expérience d’échanges avec les policiers italiens où nous avons révélé la vérité sur la torture, nous comprenons encore mieux que chaque événement est une bonne occasion pour clarifier la vérité de la persécution sur les pratiquants du Falun Gong. […]

Deuxième témoignage

Devant la violence d’un homme de l’Ambassade qui voulait m’arracher mon appareil photo, devant les agents de la police « secrète » j’ai répété inlassablement « Falun Dafa Hao ». Je voyais combien ils étaient pitoyables dans leur incapacité à contrôler l’évènement. A leur colère et à leurs paroles de haine, je répondais « Falun Dafa Hao ». Je ressentais la puissance des mots. Les policiers italiens ont bien remarqué la différence d’attitude, ils nous posèrent des questions en français. Le chef de la police, dans un français parfait, s’est excusé auprès de nous : "Nous sommes désolés. Nous sommes désolés ". Ils le furent d’autant plus après avoir entendu nos explications pendant plus de 3 heures . Colère et honte se lisaient dans leurs yeux, ils avaient été bernés comme on peut l’être quand on n’est pas préparé à faire face à la perversité. J’ai pourtant été témoin, à la fin de la manifestation, d’une scène extraordinaire : un policier italien faisait le geste de « Fa Zhen Nian » guidé par les explications d’une pratiquante.

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