Comment une nonne a commencé à pratiquer le Falun Dafa

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Je suis une pratiquante de Falun Dafa de 56 ans. j'étais auparavant professeur dans une école élémentaire modèle et j'ai travaillé diligemment dans le milieu éducatif durant 20 ans. Ma grand-mère croyait dans le Bouddhisme, ce qui a eu un fort impact sur moi. J'ai toujours aspiré à vivre dans un environnement où il n'y avait pas de compétition et me tenais à l'écart du succès mondain.


Malheureusement, la politique éducative de la Chine communiste entraînait une vive compétition au sein des départements scolaires parmi les différentes classes et le personnel enseignant. J'ai trouvé encore plus perturbant que le personnel soit censé assister à des activités sociales et participer à différentes sortes de divertissements comprenant la danse et la beuverie.


Comme je croyais dans le Bouddhisme et que j'étais influencée par la culture traditionnelle, je détestais ce genre de divertissements. J'ai subi beaucoup de pression et de critiques pour ne pas assister à ces activités. La perte financière était aussi une autre forme de punition pour ne pas vouloir coopérer. Par conséquent, j'ai développé un désir de m’en libérer. Finalement, j'ai décidé de quitter l'enseignement et de laisser derrière moi les adorables enfants, mon travail et ma famille. J'ai commencé mon difficile chemin en quête de réponses sur la vie et la mort.


Devenir une nonne

Mon chemin a duré 18 ans. Partout où j'allais, je rencontrais souvent des situations liées à la construction de temples. Je n'oubliais pas pourquoi j'avais tout abandonné et me disciplinais constamment moi-même. Je travaillais dur pour endurer les tribulations car je croyais qu'un jour les choses iraient bien. Mais curieusement, dès que la construction d'un temple était terminée, il y avait toujours quelqu'un, tel qu’une personne responsable qui me jetait dehors. Alors, je devais aller vivre ailleurs.


Bien que le chemin a été très difficile, je n'ai jamais regretté mon choix. Je sentais que les Divinités et les Bouddhas veillaient sur moi. Je n'allais pas dans les montagnes ou les grand temples; mais suis allée dans un petit temple sur une montagne déserte. Là-bas, j'ai découvert qu’il y avait des temples du Taoïsme, du Bouddhisme, et du Confucianisme. J'ai vécu près d'un de ces temples où il y avait une Bodhisattva et je m’y suis recluse.


Une fois, j'ai rencontré un disciple de Falun Dafa qui m’a donné un DVD de Shen Yun. J'ai regardé le programme et l’ai trouvé merveilleux. Mais à l'époque, j'étais très attachée au Bouddhisme et j'étais encore troublée par l'illusion de la vie et de la mort. Je ne savais pas quoi faire.


J'ai vécu comme cela pendant quelques temps, me sentant désespérée et impuissante. Alors, certaines personnes m'ont suggéré de construire un grand temple sous la montagne, et qu'à l'avenir, je pourrais guider des bouddhistes laïques.


J'ai fait de mon mieux pour collecter des fonds et préparer les matériaux. Mais à ce moment-là, quelqu'un du département de la religion a bloqué mes efforts, disant que le lieu avait déjà été attribué pour l'édification d'un site touristique et que toute construction devait être liée à ce projet.


Alors, on m’a suggérée d'aller dans le sud. Lorsque je suis arrivée là-bas, il y a eu de nouveau des problèmes pour pouvoir construire un temple. Alors, je suis allée d’un endroit à l’autre mais à la fin, tout a été en vain. J'ai alors dû retourner dans ma ville natale.


Entendre parler de Dafa

En décembre 2014, ma mère était gravement malade. Ma famille m’a demandée de rentrer chez moi pour aller la voir une dernière fois. Ma mère était végétarienne et croyait dans le Bouddhisme depuis plus de 20 ans.


Ma mère souffrait d’hypertension, de diabète, d’une maladie cardiaque, de problèmes à l'estomac, d’hémorroïdes, de calculs biliaires, et d'autres maladies. La famille a essayé des remèdes de la médecine chinoise et allopathique, mais aucun n’a eu d’effet. J'aidais ma mère à lire les écritures et psalmodiais tout au long de la journée, mais sa douleur était constante. Alors qu'elle était sur le point de mourir, elle a perdu toute confiance dans le fait de psalmodier le nom de Bouddha. Elle se plaignait et est devenue lunatique. Tout le monde dans la famille souffrait aussi.


Alors que je me sentais impuissante, la pratiquante de Dafa qui m'avait donné un DVD de Shen Yun est réapparue et a rendu visite à ma mère. Elle m’a dit, "Mettez votre Bouddhisme de côté pour le moment et faites réciter à votre mère Falun Dafa est bon et Authenticité-Bonté-Patience est bon. Cela l'aidera à se sentir mieux. Si elle doit partir, au moins, elle sera en paix." Alors, j'ai commencé à chuchoter les mots à l'oreille de ma mère et lui ai dit de les répéter intérieurement. Alors, quelques jours plus tard, elle est en effet allée de mieux en mieux, comblant de joie toute la famille.


Lorsque la pratiquante de Dafa a vu que ma mère allait mieux, elle a apporté les conférences vidéo de Maître Li (le fondateur) et a suggéré que nous les visionnions. Elle a dit que nous ne devrions pas regarder plus d'une conférence par jour parce que le fort champ d'énergie pourrait affecter la patiente. Nous avons suivi ses instructions. En neuf jours, ma mère a récupéré rapidement.


J’étais bouleversée par les merveilleuses conférences de Maître Li et touchée par ses profonds principes de Fa. Le Maître donnait ses conférences sans s’appuyer sur la moindre note. Il parlait vite mais d'une voix calme. Je ne saurais décrire les merveilleuses sensations que j’ai expérimentées en étant entourée de cette énergie positive. Tout ce que je savais était que mon corps était constamment purifié.


Comme je m’en suis voulue de ne pas avoir répondu plus tôt aux efforts infatigables des pratiquants de Dafa et n’avoir pas abandonné mon attachement au Bouddhisme des années auparavant ! J'avais étudié toutes les théories de la religion bouddhiste et pensais que mes connaissances étaient exhaustives. Mais ma santé se détériorait. J'avais une spondylose cervicale, une spondylose lombaire, des maux de tête, des douleurs d'estomac, et des problèmes gynécologiques. Je me battais contre ces maladies lorsque j'étais dans le temple et j'étais plongée dans les questions de libérer les esprits des morts jour après jour. Mais pourquoi? Je ne ménageais pas mes efforts, me disciplinais si bien moi-même , alors pourquoi étais-je si stressée ?


La pratiquante de Dafa m’a donné le livre Zhuan Falun et j’ai lu ce que le Maître disait :
"Il y a notamment parmi nous de nombreuses personnes qui font des exercices de qigong, elles apprennent aujourd’hui cette méthode-ci et demain cette méthode-là, elles mettent leur corps dans un désordre incroyable et se condamnent à ne plus pouvoir atteindre des niveaux élevés par la cultivation. Contrairement à ceux qui cultivent en s’élevant dans une seule grande voie, elles prennent des chemins de traverse. Quand elles cultivent cette méthode-ci, cette méthode-là les perturbe; quand elles cultivent celle-là, celle-ci les perturbe; tout les perturbe et elles ne sont plus capables de cultiver."


Ce qui était écrit dans le livre correspondait exactement à ma situation! Lorsque j’ai eu fini, un sentiment mêlé complexe remplissait mon cœur et tout s’écroulait dans mon esprit. Pourquoi avais-je obtenu le Fa si tard? Je ne pouvais que l’imputer à mon fort karma !


Entrer dans Dafa

La pratiquante de Dafa est venue une nouvelle fois rendre visite à ma mère. Cette fois-ci, lorsqu'elle a entendu que j'avais fini de lire Zhuan Falun, elle nous a dit de chérir cette opportunité. Il y avait tant de moines et de nonnes dans le Bouddhisme, mais parmi eux, seuls quelques-uns obtiendraient le Fa. Nous devions saisir l'opportunité de pratiquer lacultivation
.

Ainsi, ma mère et moi-même avons décidé de pratiquer la cultivation. Tous les jours, je lisais Zhuan Falun à ma mère. Un jour, elle a eu une forte toux et était sur le point de s'étouffer. Je ne savais pas que cela se produisait parce que le Maître était en train de purifier son corps. Toute ma famille est devenue anxieuse et s’est affairée à faire les préparatifs pour ses funérailles. J'ai alors demandé au Maître de nous aider.


Un moment plus tard, elle a semblé aller un peu mieux et s’est endormie. Le lendemain, elle a arrêté de tousser. Sa maladie avait disparu ! À partir de ce moment-là, nous avons lu deux conférences de Zhuan Falun chaque jour.


Peu après, toutes mes maladies persistantes ont disparu ! J’ai pensé à mes efforts passés pour pratiquer le Bouddhisme mais mon karma ne semblait jamais se dissiper. À présent, je pratique Dafa depuis seulement trois mois, mais toutes mes maladies ont été complètement guéries ! Ma belle-sœur m’a fait passer un bilan de santé et m’a dit que tout était normal. Elle et mon frère en ont été très heureux. Dès lors, ils n'ont plus interféré avec notre cultivation pratique dans Falun Dafa.


Parler aux gens du Falun Dafa

Je suis profondément reconnaissante pour l'aide du Maître dans mes efforts pour valider Dafa et éveiller les gens. J'étais déterminée à bien faire les trois choses, à abandonner mes attachements et à aider les gens à s'éveiller.


Après avoir étudié le Fa pendant quelque temps, ma mère a compris qu'elle ne devait plus prendre de médicaments. Finalement, toutes ses maladies ont disparu. Ma mère et moi nous rendions fréquemment aux domiciles de nos proches et de nos amis pour parler aux gens de Dafa et les persuader de renoncer au Parti communiste chinois (PCC) et à ses organisations affiliées.


Ma mère a eu 85 ans cette année. Cela fait trois ans qu'elle pratique Dafa. Elle est comme un média vivant ! Où qu'elle aille elle raconte l’histoire de ce qui lui est arrivé, ce qui permet aux gens de comprendre et de croire en Falun Dafa. Tous veulent répéter les phrases " Falun Dafa est bon et Authenticité-Bonté-Patience est bon."

Version en anglais :
How a Nun Started Practicing Falun Dafa

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.