Art, Science et Culture

Culture | Musique | science | Sagesse traditionnelle | Archéologie | Poésie | Beaux-Arts | Personnages historiques

  • L’Empereur Kang Xi enseignait à ses enfants à réciter un livre 120 fois

    Pendant la première période de la Dynastie Qing, l’Empereur Kang Xi avait une façon très spéciale d' éduquer ses descendants. L’Empereur avait 35 fils, 20 filles et 97 petits-enfants...
  • L'année du Buffle

    Ces 12 signes ou 12 animaux ont tous un certain nombre de qualités qui sont censées exercer une influence sur les personnes nées dans cette année-là. A cela, on rajoute l’élément propre à l’année d’une part et ensuite l’heure de la naissance. Puis les animaux ont leur cote de popularité. Au top des animaux aimés, justement le buffle : c’est la monture de Lao-tseu ...
  • Vénérer le ciel avec vertu

    La culture chinoise a été transmise à l'homme par les dieux et possède une longue et glorieuse histoire. Taoïsme, Confucianisme et Bouddhisme constituent l'essence de la culture traditionnelle chinoise et règlent le mode de pensée et le comportement des gens. Ils ont profondément ancré les valeurs de vénération du ciel et des dieux, de cultivation de la vertu, et du souci d’autrui, dans l'esprit du peuple chinois.
  • Histoires de la Chine ancienne: Du Lide ignore les critiques et les réprimandes

    Ministre du Protocole, Du Lide, également connu sous le nom de Chunyi, était originaire de Baodi dans le Shuntian (aujourd’hui District de Baodi à Tianjin) et a vécu sous la dynastie des Qing (1644-1911 Av.J-C.) Il était le précepteur privé du prince et réputé pour sa compassion, son pardon et sa tolérance dans sa vie privée et publique. Un jour, il prit une calèche et des chevaux pour sortit de la ville...
  • Papier découpé “Zhen, Shan, Zen”

  • Dessin : Yuanying

  • Illustration traditionnelle chinoise

    .
  • Anecdotes de pratique de la médecine : Différents niveaux de traitement

    Je me suis rendu au domicile de Jiubao et ai examiné sa femme. J’ai collé plusieurs graines de colza près de ses oreilles et lui ai dit de les presser contre sa peau toutes les deux heures, lui assurant qu’elle irait mieux après avoir fait cela trois fois. Plus tard, Jiubao m’a raconté que sa femme pensait que je me vantais et qu’elle ne m’avait pas cru. Mais quand elle s’est aperçue par elle-même qu’elle était complètement remise au bout de la troisième fois, elle pouvait à peine le croire et pensait qu’elle devait être dans un rêve...
  • Anciennes histoires de cultivation: Le Moine Bouddhiste Feng Bo garde sa droiture

    Durant la Dynasty Song du Sud en Chine il y avait nombre de fameux moines bouddhistes. L’un était connu comme Ji Gong, le " Moine Fou " un autre comme Feng Bo le " Moine Dément " . On raconte que ces deux moines fous devinrent arhats. [un être éveillé au-delà des « Trois Mondes » dans l’école de Bouddha] Tous deux sont encore vénérés et révérés par beaucoup.
  • La thérapie par la musique

    La musique traditionnelle chinoise est basée sur la doctrine du juste milieu et s'efforce d'atteindre l'harmonie avec le ciel, la terre et le corps humain à travers la musique. Il y a un dicton chinois qui dit: "Harmonie entre musique et homme, harmonie entre ciel et homme." Et on croit que c'est l'état idéal. La santé du corps et de l'esprit est connectée avec des facteurs sociaux; la bonne musique peut conduire les gens à être bon, et elle peut être bénéfique à leur santé.
  • Dans la culture chinoise, Un voyage à travers le Ciel et l’Enfer

    Comme ce qui prévaut dans les religions occidentales et les points de vue sur le monde, la culture chinoise croit aussi que l’être humain possède une âme. Selon certains, une telle croyance a aussi reçu une validation scientifique en 1920, lorsque les physiciens le Dr Zaalberg van Zelst et le Dr Malta des Pays Bas ont montré qu’au moment de la mort clinique, le corps perd 70 grammes de son poids, ce qui pour eux représente la preuve scientifique de l’âme quittant le corps. Mais la question demeure – qu’arrive-t-il à l’âme après avoir quitté le corps ?
  • A propos de la culture chinoise : Tao et Techniques

    La société moderne essaie seulement de résoudre des problèmes en surface sans toucher le cœur du conflit. De nos jours, les gens se sont profondément écartés du Tao. Beaucoup de personnes sont attachées aux savoir-faire élémentaires, qui sont seulement de petits trucs. Celui qui dirige le pays ne s’occupe pas de la moralité des gens. Au contraire, il continue à parler de vétilles comme "l’économie en premier" et "la stabilité avant tout" et ainsi de suite. Comment un pays peut-il demeurer prospère et stable quand chacun est désireux d’un succès rapide et d’un gain immédiat, avec des officiels corrompus jusqu'à l’os, sans justice, humanité ou foi ?
  • Anciennes histoires de 'cultivation' - Le Maître taoïste Su Xian Gong

    Un jour, Su Xian Gong était occupé à nettoyer sa chambre, ranger sa maison, et réparer la barrière. Des amis lui demandèrent, “Attends tu la visite de quelqu’un ?” Su Xian Gong répondit : “Les immortels arrivent.” Immédiatement, un nuage de lumière pourpre et de brume s’étendit dans le ciel au nord est. Plus de dix grues blanches volaient dans le nuage en direction de la maison de Su Xian Gong et se posèrent légèrement devant l’entrée...
  • Un nuage blanc à un moment peut ressembler à un chien gris le moment suivant

    Wang Jiyou était un poète de la Dynastie Tang. Il vécut dans la pauvreté et gagna sa vie en vendant des sandales de paille. Sa pauvreté le satisfaisait et il se consacrait à rechercher le Tao. Il aimait lire des livres et écrire des poèmes pendant son temps libre. Son épouse ne put pas supporter une vie dans la pauvreté et le quitta. Beaucoup de gens firent des remarques peu charitables à son sujet, mais Du Fu écrivit un poème pour le consoler. " Un nuage blanc à un moment peut ressembler à un chien gris le moment suivant. Les choses dans la vie peuvent changer de la façon la plus imprévisible. Ce n’est que le cours naturel de la vie ".
  • Ancienne histoire de "cultivation" : Le taoïste Zhang Liang

    Dans l’enfance de Zhang Liang, un jour de neige et de vent, il se trouva passer près du Pont Yishui de la ville de Xiapi. Là il rencontra un vieil homme qui portait un chemise jaune et un capuchon noir. Le vieil homme lança délibérément du pont une de ses chaussures et dit à Zhang Lian : " Petit garçon, s’il te plaît va ramasser ma chaussure pour moi. " Zhang Liang n’hésita pas. Sans craindre le danger de glisser dans la rivière ou d’être exposé au vent froid, il descendit et ramassa la chaussure du vieil homme. Ce dernier ne prit pas la chaussure mais offrit son pied à Zhang Liang et lui demanda de lui mettre la chaussure. Avec simplicité, Zhang Liang aida respectueusement le vieil homme à enfiler sa chaussure. Le vieil homme sourit et dit : " Petit tu es vraiment prometteur. Viens ici demain matin et je t’enseignerais certaines choses. "