Le camp de travaux forcés de Masanjia utilise des moyens cruels pour soumettre à un lavage de cerveau plus de 1300 pratiquantes de Dafa emprisonnées

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Dans la 2ème brigade féminine du camp de travail de Masanjia, plus de 1300 pratiquantes de Dafa sont illégalement détenues. Incitées par les directeurs du camp de travail, Su Jing et Wang Naimin, les gardiennes de prison commettent des offenses criminelles en persécutant des pratiquantes de Dafa. Les méthodes qu'elles emploient sont extrêmement cruelles.

Chaque jour, de 5 heures du matin jusqu’à 21 heures, comme torture physique les gardiennes de prison forcent les pratiquantes de Dafa à s’asseoir sur une planche. Pendant cette période, elles ne sont pas autorisées à parler, ni à se lever. Les pratiquantes de Dafa qui sont déterminées à continuer à pratiquer sont soumises à diverses tortures. Elles sont forcées de subir un lavage de cerveau ; forcées à rester debout ou à s’accroupir pendant de longues périodes ; forcées à s’asseoir pendant de très longues périodes sur des tabourets durs et sans dossier ; et forcées de porter des chaînes jour et nuit. Les gardiennes incitent également les collaboratrices (les anciennes pratiquantes de Dafa qui sous pression se sont retournées contre Dafa) à frapper les pratiquantes de Dafa. Si une pratiquante de Dafa commence une grève de la faim pour protester contre la persécution, les gardiennes administrent le barbare et violent gavage forcé.

Depuis novembre 2002, les gardiennes de prison diffusent des enregistrements et des vidéos audio qui calomnient Dafa. De plus, elles attachent les mains et les jambes des pratiquantes et les forcent à écouter. Souvent des pratiquantes sont torturées jusqu'à ce qu'elles perdent conscience. Les collaboratrices versent alors de l'eau froide sur elles. Une fois que les pratiquantes reprennent conscience, plus de tortures leur sont infligées. Les gardiennes utilisent des matraques électriques pour choquer les pratiquantes, les forcent à s'asseoir sur des bancs de tigre [Petits bancs de fer étroits, sur lesquels on reste avec les jambes tendues et liées. Habituellement quelques objets durs sont insérés sous les jambes ou les chevilles de la pratiquante pour que ce soit plus dur pour elles de supporter ce mauvais traitement], et les empêchent d’utiliser les toilettes.

Dans le camp de travaux forcés, afin de persécuter spécifiquement les pratiquantes de Dafa, ils ont construit une cellule étanche, la pièce en plaques de fer n'a pas de fenêtre. Il est difficile d’y respirer. Quand certaines pratiquantes de Dafa proclament, « Dafa est bon, » elles sont traînées dans cette cellule. Peu importe si on crie fort, on ne peut pas entendre au dehors; d'ailleurs, c’est extrêmement accablant. Certaines pratiquantes de Dafa qui cultivent résolument Dafa ont été emprisonnées dans la pièce en plaques de métal et ont été attachées sur un tabouret où elles souffraient, incapables de se déplacer, 24 heures sur 24. Des pratiquantes sont forcées de passer de 10 jours à un ou deux mois comme cela et ne peuvent plus marcher après être sorties.

03 août 2003

http://minghui.org/mh/articles/2003/8/4/55106.html
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/8/19/39271.html

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