Les gardes de ce camp de travail affichent la bannière « Éducation, transformer à laide de la persuasion et sauver les gens » pendant quils trompent, torturent et détruisent pour atteindre leur but de forcer les pratiquants de Falun Gong à renoncer à leurs croyances. Pendant lhiver, les gardes de la prison enlèvent les vêtements dextérieurs des pratiquants résolus et les laissent geler à lextérieur toute la nuit. Le matin, les gardes les ramènent dans une pièce vide, et plusieurs gardes, tous en même temps, les choquent avec des bâtons électriques. Les gardes ont tordu la chair des pratiquants avec des pinces, ont rempli leurs bouches, nez, yeux et oreilles de piment extra fort, ils ont mis leurs mains et leurs pieds dans des anneaux de métal et les ont suspendus pendant plus de trois jours et trois nuits; ils ont rempli leur bouche de serviettes sanitaires récemment utilisées; et ils les ont nourri de force avec des excréments humain dilués alors que les pratiquants avaient entrepris une grève de la faim.
Les gardes de la prison ont à tour de rôle attaqué les pratiquants qui restaient déterminés. Chaque pratiquant était assigné à un groupe nommé « Groupe daide et déducation » consistant à trois gardes, un homme et deux femmes, un « enseignant régulier, » et de deux à trois « enseignants assistants.» Tout dabord, un collaborateur (ancien pratiquant de Falun Gong qui sest égaré dû à des lavements de cerveau et à la torture) et la tête du groupe tentent de faire un lavage de cerveau au pratiquant. Si ce pratiquant ne renonce pas à ses croyances, des moyens plus durs sont alors adoptés. Une fois une pratiquante ayant comme nom de famille Xu a été amené dans une pièce qui devait bientôt être démolie. Cétait au milieu de lhiver. Elle a été menotté en position assise aux cercles de métal dun lit, incapable de bouger ou de dormir. Le leader du groupe et les enseignants régulier lont à tour de rôle, jour et nuit, calomnié, battu de coups de poing et de coups de pied avec leurs bottes, ont choqué ses mains, ses pieds, sa poitrine, son dos et même lintérieure de sa bouche avec des bâtons électriques. Sa langue était couverte dampoules et ses mains et ses pieds étaient enflés et blessés. Elle a été torturée de cette façon pendant 54 jours.
Une pratiquante du nom de famille Cui (62 ans) a été traînée du troisième étage chaque jour à lextérieur ou dans une pièce froide et mouillée. Deux « enseignants réguliers » ont remplis sa bouche et ses narines de piments extrêmement forts et ont choqués sont corps à laide dun bâton électrique jusquà ce quelle soit couverte de bleus et que lodeur de chair brûlée remplisse lair ambiant. Mme Cui est restée ferme dans sa croyance. Les gardes de prison ont alors tordus ses doigts, ses orteils et sa chair avec des pinces. Chaque jour Mme Cui a été torturée jusquà ce quelle ne puisse plus se tenir debout. Les gardes ne lont pas laissée partir et lont torturée pendant plus de 10 jours avec toutes sortes de moyens. Ils lont traînée à lextérieur chaque nuit et lont renvoyée dans sa chambre chaque matin. Ils lont forcée à se plier en deux jusquau sol pour sentir des excréments humains ayant tout juste été déterrés du trou de toilette.
Les cheveux de certaines pratiquantes ont été complètement rasés. Certaines pratiquantes ont été battues jusquà ce quelles perdent connaissance. Elle ont alors été éveillées avec de leau froide ou par quelquun leur pinçant le point dacupuncture philtrum (entre le nez et la lèvre supérieure) pour ensuite être forcées à écrire les « quatre lettres » (déclaration promettant de ne plus pratiquer, venir en appel, distribuer du matériel de clarification de la vérité, ou de sassocier à des pratiquants de Falun Gong). Ceux qui ont refusé décrire ces lettres ont été torturés de nouveau. Une pratiquante du nom de famille de Li, dans la cinquième brigade, a été torturée pendant tellement longtemps quelle était au seuil de la mort. La police a alors averti sa famille de venir la chercher. Elle est morte peu de temps après. La pratiquante Zhang Xiuqin a été torturée jusquà ce que deux de ses côtes soient brisées.
Vers la fin de lannée dernière, onze pratiquantes de Chicheng ont été kidnappées dans leur maison et amenées au camp de travail forcé. Lorsquelles ont été amenées au quatrième étage, plusieurs gardes les ont battues simultanément jusquà ce que leurs visages soient enflés. Les gardes ont tentés de les forcer à délaisser leurs croyances, clamant que si elles ne se reformaient pas, elles seraient choquées avec des bâtons électriques, les unes après les autres. Ces pratiquantes étaient toutes des femmes de maison venant de la campagne. Les gardes les ont battus de 7 ou 8 heures le soir jusquà tôt le lendemain matin. Les pratiquantes au deuxième et au troisième étages pouvaient entendrent les gardes crier et les bruits des coups.
En 2002, dû au soi-disant « ratio élevé de réformes ,» le camp de travail forcé de Gaoyang a été interviewé à plusieurs reprises par les journalistes des stations de télévision de la province de Hebei et de la Chine centrale. Des gardes de prisons provenant de partout au pays sont venus au camp de travail forcé pour apprendre leurs techniques cruelles. Chaque fois que les gens venaient faire des interviews au camp, les gardes ont isolés les pratiquantes déterminées dans des chambres et les ont surveillées de près pour prévenir toutes autres personnes de les voir. Quand les journalistes ont demandé aux pratiquantes à propos de leur vie dans le camp de travail forcé, les gardes sarrangeaient pour filmer ces pratiquantes alors quelles ramenaient de la nourriture de la cuisine des officiers du camp. Une fois, des autorités plus élevées ont demandés à ce quune étude des pratiquantes du camp soit réalisée. Le camp de travail forcé a alors sélectionné nombres de pratiquants pour répondre aux questions. Le directeur de léducation de lescadron des femmes ont tout dabord sélectionnées certaines pratiquantes pour leur donner le questionnaire dinspection et leur ont dit comment répondre aux questions. Pendant linspection réelle, plusieurs gardes ont surveillé de près les pratiquantes et ont noté celles qui avaient répondu aux questions de façon authentique. Après que les groupes dinspection soient partis, les pratiquantes qui avaient révélées la situation réelle du camp de travail forcé ont été envoyées au bureau une à une pour y être punie.
Le chef des gardes de prison a souvent utilisé différents moyens pour forcer les pratiquants à effectuer des tâches personnelles, tel que faire des édredons de coton ainsi que laver leur vêtements et leurs couvertures. Ils forçaient les pratiquantes à effectuer ces tâches chaque jour. De plus, les pratiquantes devaient acheter le savon et le détergent trop cher avec leur propre argent. Les pratiquantes étaient même forcées à laver les cheveux de certains des leaders. (Note : Les pratiquantes de Falun Dafa devraient résister à la persécution et aux insultes avec la pensée droite.)
Toute les fois quune délégation de hauts placés venait inspecter la camp de travail forcé de Gaoyang, le labeur exigé était annulé pour la journée et les pratiquantes étaient forcées de chanter, danser, performer des danses chinoises et jouer du tambour à la taille, prétendant quelles étaient très heureuses. Les pratiquantes déterminées étaient menottées à leur lit et torturées pendant plusieurs jours. Les pratiquantes détenues étaient forcées à faire plus de dix heures de dur labeur chaque jour. Même les pratiquantes de 50 et 60 ans ont été forcées à effectuer un travail dur et intensif.
Date originale de larticle : 8/12/2003
Traduit au Canada le 18/8/2003
Version chinoise :
http://www.minghui.org/mh/articles/2003/7/21/54356.html
Version anglaise :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/8/13/39080.html
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