1. La persécution de Yang Ruichun
Mme Yang Ruichun, 55 ans, était retraitée de l’entreprise de fournitures cantonales et de marketing. Elle habitait au n°6 Est, unité 2, bâtiment à droite, district de Xiyuan. Avant de pratiquer le Falun Dafa, Yang Ruichun avait eu une attaque cérébrale, dont elle avait pleinement récupéré. Après le 20 juillet 1999, la police locale, la police du village et la police cantonale ainsi que des personnes de son entreprise sont sans cesse, venues chez elle, pour la déranger, la surveiller jour et nuit et diffuser son nom par haut-parleur dans tout le village. Ils l’ont forcée à abandonner ses livres de Falun Gong, à trouver quelqu’un qui garantisse qu’elle n’irait pas faire appel à Pékin, à signer une banderole calomniant Maître Li, le fondateur du Falun Dafa et pour finir ils lui ont pris sa carte d’identité.
Vers 10h, le 8 juillet 2008, le chef de la police de Chengguan, Gao Huaiying, ainsi que Liu Mengsheng et une autre personne ont fait irruption chez elle et ont commencé à lui poser des questions telles que si elle pratiquait encore le Falun Gong, est-ce qu’elle commencerait à leur clarifier la vérité. Finalement, ils ont dit qu’ils allaient revenir, puis ils sont partis.
Vers 6h du matin, le 22 juillet 2008, plus de 20 personnes, dont Bai Jinkai, le directeur de l’entreprise de fournitures cantonales et de marketing, Liu Maosong et la police du département de police d’Anxin et du commissariat de Chengguan sont allés chez elle et l’ont surprise en ouvrant la porte. Ils ont fouillé sa maison illégalement et ont menacé d’emmener son fils. Les anciennes maladies de Yang Ruichun sont revenues à cause du stress et elle a perdu connaissance. Le personnel du PCC l’a emmenée jusqu’en bas des six étages, ils l’ont mise dans la voiture, puis l’ont emmenée sur une civière au département de police d’Anxin. Ils l’ont emprisonnée au centre de détention d’Anxin. Yang Ruichun a été choquée à trois reprises pendant cette période. Dans le même temps, la police lui a confisqué son ordinateur, son imprimante et ses livres de Dafa et ils ont ôté l’antenne satellite de son balcon.
Le 25 juillet 2008, une fois que sa famille a promis de l’empêcher de pratiquer le Falun Gong, Yang Ruichun a été autorisée à retourner chez elle, où elle était surveillée 24h sur 24.
Le mari de Yang Ruichun a disparu il y a plus de dix ans alors qu’il conduisait son taxi et on n’a plus rien su de lui depuis. Toute la famille de Yang Ruichun était dans une situation difficile. Grâce à l'énergie et la force acquise de la pratique de Dafa, Yang Ruichun a élevé ses deux enfants, malgré la pression d’avoir si peu de rente outre sa propre petite affaire. Parce que la police a souvent pénétré illégalement chez elle, elle était dans un état de stress aussi bien physique que mental. A 16h, le 6 mars 2009, Yang Ruichun est tombée dans les escaliers de son immeuble. Elle est morte d’une attaque cérébrale selon les fonctionnaires de l’hôpital.
2. La persécution de Mme Jin Guifang
Mme Jin Guifang, 67 ans, était femme au foyer dans le village de Dongliuzhuang, cité d’Anxin, canton d’Anxin. Elle a commencé à cultiver le Falun Dafa en 1995. Peu de temps après avoir commencé la cultivation, les maladies qu’elle avait eues comme un anévrisme cérébral ont disparu sans aucun traitement médical. Le 1er octobre 2000, elle est allée à Pékin faire appel. La police civile locale l’a suivie, l’a emmenée devant la cour de Pékin, puis l’ancien président du département de police du canton d’Anxin, Tian Yueying, l’a ramenée dans sa ville d’origine, où elle a été gardée au centre de détention du canton. Là, la police et les prisonniers ont battu cette vieille femme. Ils ont fouillé son domicile et l’ont envoyée dans un camp de travaux forcés pendant un an. Elle a été traduite en procès public en même temps que des criminels sur le terrain de sport de l’école primaire n°1. On l’a forcée à rester debout sur un camion, portant un grand signe disant « membre de la secte perverse du Falun Gong ». Deux policiers l’ont également tirée par les bras, dans une autre tentative de l’humilier. Elle a pu rester hors de prison parce que le camp de travaux forcés de Baoding l’a rejetée à cause de sa haute pression sanguine.
Le 22 février 2001 au matin, Jin Guifang et ses deux filles non-pratiquantes, Wang Wenping et Wang Wenhong, ont été envoyées dans une classe de lavage de cerveau à l’école cantonale de formation des enseignants. Là elles ont été persécutées par Tian, le secrétaire adjoint du Parti, chargé de persécuter les pratiquants de Falun Gong de la ville d’Anxin et par Shen Wanshan de l’entreprise de gérance Synthesis. En mai, elle a été transférée dans le nouveau centre de lavage de cerveau récemment construit à proximité du centre de détention du village, appelé classe d’éducation de la loi par les autorités. Jin Guifang a résisté à la persécution, elle a alors été frappée et injuriée par les membres du Bureau 610 et par la police. Afin d’essayer de faire renoncer Mme Jin et ses deux filles au Falun Gong, le Bureau 610 a encouragé les membres de la famille à aider. Ils les ont mises en isolement. Wang Wenhong a alors souffert d’effondrement mental après avoir enduré autant de persécution. Elle semblait se parler et se sourire à elle-même. Et puis il n’y avait aucune fourniture pour les besoins féminins, dont elle avait besoin. Les trois femmes ont fortement insisté pour qu’elle soit libérée, mais le Bureau 610 a refusé. Le chef du Bureau 610, Kang Huihe, a constamment changé les moyens utilisés pour les persécuter. On leur a changé leurs repas, elles n’avaient que deux repas par jour, avec seulement un petit pain minuscule comme nourriture. Cette méthode de privation a duré plus d’un mois. Elles ont terriblement maigri après plus d’un mois de privation.
Kang Huihe, en charge du Bureau 610, a traîné cette vieille femme par ses habits avec des pinces. Le policier Liu Guangqi a donné des coups de pieds dans la jambe de Mme Jin. Pendant la période de détention, le personnel du PCC lui refusé toute visite de la part des membres de sa famille pratiquant le Falun Gong. Pour finir, ils ont envoyé Mme Jin au camp de travaux forcés de Baoding pour encore la persécuter.
Quand Jin Guifang est revenue du camp de travaux forcés de Baoding, elle a sans cesse été harcelée par le PCC. A cause de la peur qu’elle ressentait après avoir été aussi longtemps persécutée, et du traumatisme à la tête sous la torture, elle est décédée d’une maladie du cerveau en septembre 2006.
Traduit de l’anglais en Suisse le 19 avril 2009
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2009/3/13/197050.html
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