Leçons de la vie : La richesse est dans le contentement

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Depuis que je suis devenu un pratiquant, j'ai choisi de vivre dans la simplicité. Je puis me permettre d'avoir une voiture, mais je préfère vivre une vie simple et effectuer mes déplacements en métro et en autobus. Si je dois aller dans un endroit rapidement, j'appelle un taxi. Je trouve qu'un style de vie simple est une manière de mener ma vie plus relaxée. Le plaisir d'une vie matérialiste est passager. C'est la richesse d'une vie spirituelle et un esprit de satisfaction qui nous bénira avec une joie durable. Une vie véritablement riche vient d'un esprit satisfait. Beaucoup de mes collègues ont travaillé dur afin d'acquérir de somptueux appartements. Un fois que ce souhait devient réalité, le prochain objectif est d'obtenir une luxueuse Mercedes Benz. Même si pour finir ils ont tous d'énormes hypothèques qui leur enlèveront 30 ans de salaire, ils ont toujours beaucoup, beaucoup de désirs matérialistes inassouvis. En résultat de leurs poursuites sans fin, ils se plaignent sans arrêt de ne pas avoir assez d'argent à dépenser. Ils vivent une vie très fatigante. Ils peuvent présenter les signes d'une personne "riche", mais ils ne mènent pas une vie riche du tout.

Quand nous dormons la nuit, nous n'avons pas besoin d'un espace plus grand qu'un matelas. A chaque repas, chacun de nous n'est capable de consommer qu'une quantité limitée à la fois, pas beaucoup plus qu'une portion d'adulte. Comment se peut-il que nous ayons besoin de plus de pièces ou d'argent ? La possession de plus ne nous rend pas riches. Ralph Waldo Emerson, un célèbre auteur américain, a dit "[...] les pauvres sont seulement ceux qui se sentent pauvres, et la pauvreté consiste en sentiments pauvres" (Extrait de "La vie domestique" dans Société et solitude). C'est seulement lorsque nous apprenons à être contents et à aimer ce que nous avons que nous pouvons découvrir les joies du coeur et que nous sommes capable de dire adieu à la frustration et aux plaintes pour de bon.

Voici un ancien conte chinois. Il était une fois dans la Chine ancienne un vieux bûcheron qui buvait dans un ruisseau de montagne. Il y découvrit du sable d'or brillant rassemblé au fond d’un réservoir. Il était agréablement surpris de sa découverte. Il commença par remonter le ruisseau et rassembler le sable d'or qui s'était accumulé au fond du réservoir toutes les deux semaines. Sa vie devint de plus en plus confortable. Tout d'abord, il garda le secret pour lui seul. Mais un jour il le partagea avec son fils. Celui-ci invita immédiatement son père à élargir l'ouverture dans la roche pour faire arriver plus d'eau de source. Il pensait que davantage d'eau amènerait plus de sable d'or. Quand ils eurent élargi l’ouverture, le ruisseau devint plus grand mais l'eau cessa de charrier le sable d'or.

La morale de l'histoire est que lorsqu'un homme est dominé par l'avarice, sa bonne fortune est perdue pour toujours. Si un homme refuse de se satisfaire et d'aimer ce qu'il possède, il épuisera sa vie entière dans les poursuites matérielles mais ne deviendra jamais un homme véritablement riche.

Traduit de :
http://www.zhengjian.org/zj/articles/2005/7/7/33001.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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