Des histoires au sujet de conduites filiales exemplaires abondent dans l’histoire de Chine. Les Vingt quatre exemples de piété filiale ont été choisis et compilés par Guo Jujing de la province Fujian durant la Dynastie Yuan ( 1280-1368 Après J.C) alors qu’il pleurait la mort de son père. Il a raconté les exploits filiaux d’enfants envers leurs parents depuis l’époque de l’Empereur Primordial Shun jusqu’à sa propre époque. Meme de nos jours, ces histoires forment une part importante de la vertu Chinoise traditionnelle.
Jiang Shi était un fils qui vivait durant la Dynastie Han. M. et Mme Jiang étaient tous deux dévoués à servir la vieille mère de M. Jiang. La vieille femme avait une curieuse habitude de ne pas vouloir boire de l’eau du puits. Elle préférait l’eau de rivière, parce que le courant rapide de la rivière produisait de l’eau plus claire, et elle trouvait sa saveur meilleure que celle de l’eau du puits
La rivière la plus proche était à plus de 2 kilomètres de la maison familiale, mais Mme Jiang se porta volontaire pour parcourir la distance chaque jour avec des seaux à la main pour ramener de l’eau fraîche de la rivière pour sa belle-mère. Personne ne l’avait jamais entendu se plaindre de l'inconvénient ; elle était heureuse de servir sa belle-mère.
La mère de Jiang Shi aimait aussi manger du poisson frais. Dans le but d’accéder à ses vœux, M. et Mme Jiang Shi ramenaient aussi du poisson frais de la rivière, puis le préparait de la façon qui lui plaisait. Puis ils invitaient toutes les femmes âgées du voisinage a profiter du repas avec leur mère parce qu’elle aimait avoir de la compagnie pour dîner.
M. et Mme Jiang Shi ont agi de cette façon pendant plusieurs années, et n’ont jamais exprimé du mécontentement ou du ressentiment pendant leur travail. Un jour, une source jaillit droit derrière leur maison, et son goût était tout comme celui de la rivière courante. Aussi étrange que cela puisse paraître, deux carpes bondissaient hors de la source chaque jour, comme si elles attendaient que Mme Jiang les joindre au repas. Après cela, le couple n’eut plus a se déplacer si loin pour servir leur mère, et sans autant d’efforts fatiguants, ils purent encore lui porter son eau fraîche et son poisson frais.
Une strophe en leur honneur dit :
Le fils se réjouit dans son respect filial ;
La fille, de même, ne voit pas de difficultés à servir ;
Chaque matin la carpe arrivait bondissant
de la source à la douce rosée dans leur jardin arrière.
Traduit de l’anglais http://www.pureinsight.org/pi/articles/2005/5/16/2980.html
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