Un jour, j’ai compris quelque chose : En fin de compte, ce que l’on cultive, c’est notre croyance (en Dafa et envers notre Maître). Sans cette croyance, nous ne suivrions pas « Authenticité, Compassion, Patience » dans chaque action ; sans cette croyance, nous ne pourrions pas nous cultiver solidement au beau milieu des tribulations actuelles ; sans cette croyance, nous ne sentirions pas l’urgence de sauver les êtres vivants, et ne nous ne traiterions pas chaque personne prédestinée que nous rencontrons chaque jour avec compassion ; sans cette croyance, nous ne serions pas capables de faire avec fermeté les choses que Maître nous a demandées de faire.
C’est seulement lorsque nous suivons les exigences de Dafa et de Maître qu’une telle croyance est une vraie croyance et une croyance juste. Cela nous permet de bien suivre le chemin qui nous attend.
Traduit de l’anglais en Europe le 05 janvier 2005 :
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