Nom : Zheng Xiangxing (郑祥星)
Genre : Masculin
Âge : Inconnu
Adresse : Canton de Tanghai, Province du Hebei
Profession : Propriétaire d'entreprise
Date de la dernière arrestation : Le 25 février 2012
Dernier lieu de détention : Prison de Baoding (保定监狱)
Agglomération : Baoding
Province : Hebei
Persécution endurée : Condamnation illégale, torture, détention
Le pratiquant de Falun Gong M. Zheng Xiangxing, un honnête propriétaire d’entreprise, a été arrêté par les agents de police de la ville de Tangshan le 25 février 2012. Depuis lors, 3 000 résidents locaux ont signé et apposé leurs empreintes de pouce sur des pétitions demandant la libération de M. Zheng. Mais les autorités ont ignoré la volonté du public et continué à méconnaître la loi. M. Zheng a été
M. Zheng Xiangxing |
À 8h00 le 28 octobre 2012, les autorités de la prison de Baoding se sont précipitées chez M. Zheng dans le canton de Tanghai, ville de Tangshan, pour chercher leur membres de famille. Ils leur ont dit que M. Zheng était tombé l'après-midi du 26 octobre et souffrait d'une hémorragie sévère du cerveau. Il a alors subi une opération du crâne sans que personne de la famille ne soit présent. Selon la vidéo enregistrée fournie par les responsables de la prison, M. Zheng a vomi trois fois le soir du 26 octobre, avant d'aller aux toilettes, où il est tombé du à une faiblesse extrême. Quand il est tombé, il s'est d'abord assis puis s’est allongé sur son dos. Il n'a pas été emmené au Premier hôpital central de Baoding avant 11h00 le jour suivant. Quand M. Zheng est arrivé à l'hôpital, ses pupilles étaient dilatées et il était incontinent. Il y a eu un retard de 15 heures dans le traitement.
Une section d'os a été enlevée de chaque côté du crâne de M. Zheng pendant la chirurgie. Les autorités de l'hôpital ont dit que la section sur le côté droit du crâne avait été enlevée pour atténuer la pression intracrânienne, que le crâne avait été fracturé sur le côté gauche, ce qui avait provoqué l'hémorragie intracrânienne avec presque 100 millilitres de sang. Ils ont aussi mentionné que la cause de la fracture sur le côté gauche du crâne était un coup sévère à la tête. Il est possible que M. Zheng ait déjà eu la blessure de tête avant de tomber. Ses vomissements continuels avant d'aller aux toilettes ont été peut-être provoqués par la pression croissante causée par l'hémorragie. Le fait qu'il ait d'abord atterri sur son séant et qu'ensuite le dos de sa tête ait cogné le sol indiquait que sa chute n’avait pas été rapide et n’avait pas pu lui fracturer le crâne. S'il avait été blessé dans la chute, la localisation de la blessure aurait été à l'arrière de sa tête.
M. Zheng est actuellement dans un état critique. Ses membres de famille ont demandé sa libération, mais les autorités carcérales n'ont pas accepté. De nombreux policiers gardent l'hôpital. Les autorités de la sécurité publique locale de Tangshan se sont aussi manifestées. Le monde extérieur ne peut pas entrer en contact avec les membres de famille de M. Zheng et un couvercle a été déjà mis sur toute information concernant M. Zheng.
M. Zheng est le propriétaire d'un petit magasin d'appareils électriques dans la dixième exploitation du canton de Tanghai. Lui et sa femme ne vendent jamais de produits contrefaits et fournissent un bon service et la livraison à leurs clients. Ils installent et montent les télés qu'ils vendent jusqu'à ce que les clients soient satisfaits. Comme ils dirigent un commerce honnête, leurs affaires étaient florissantes. Les gens du coin recommandent tous son magasin pour les vélos électriques et les réfrigérateurs, parce qu'il ne vend jamais de contrefaçons et répare aussi bénévolement les vélos de ses clients. Ses clients peuvent avoir confiance.
Un peu après 6h00 le 25 février 2012, Li Fuguo, le chef du canton de la division de sécurité intérieure de Tangshan et plus de 10 policiers du commissariat de la dixième exploitation, conduits par le directeur, ont envoyé un agent de police féminin pour tromper M. Zheng à ouvrir la porte de sa maison, disant qu'elle avait besoin de lui pour réparer son vélo électrique. Ils ont alors arrêté M. Zheng. Pendant ce temps, un groupe de gens a confisqué beaucoup de choses du magasin de M. Zheng. Les habitants étaient furieux et ont dit que les policiers étaient un groupe de "super bandits."
Les habitants ont collecté des signatures et des empreintes de pouce pour réclamer la libération de M. Zheng |
Une pétition a été signée par 562 résidents locaux qui ont apposé leurs empreintes de pouce demandant la libération de M. Zheng, largement reconnu pour être une bonne personne qui suit les principes de Vérité-Compassion -Tolérance. Cela a eu de grandes répercussions à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine. Après avoir appris que M. Zheng était dans un état critique suite à la torture, 1 200 résidents de deux cantons et huit communes de Tangshan et de Qinhuangdao ont de nouveau adressé une pétition aux autorités et demandé sa libération. Les autorités insistant pour porter de fausses accusations contre M. Zheng, 979 résidents d'un canton et six communes de la ville Tangshan ont pétionné pour la libération immédiate et sans condition de M. Zheng.
Les agences du maintien de l'ordre du PCC ont ignoré la loi et condamné M. Zheng à 10 ans de prison. Ce qui a accru l'indignation parmi la population locale. Certains ont maudit : "Le PCC est ridicule."Une grand-mère de 70 ans a dit :" Une bonne personne est condamnée à 10 ans de prison. Quelle sorte de monde est-ce cela ? Cette société est sans espoir." Davantage de résidents locaux ont fait une pétition avec leurs empreintes de pouce pour demander la libération de M. Zheng. Après que Minghui ait rapporté la pétition de 3 000 signatures, encore 755 résidents de quatre cantons ont signé la pétition. Certaines personnes ont non seulement signé et apposé leurs empreintes de pouce, mais ils ont aussi laissé leurs numéros de téléphone portable et certains ont directement écrit après leurs signatures leurs demandes de libérer M. Zheng.
Un résident a dit : "J'ai vécu jusqu'à cet âge et j'ai signé mon nom tant de fois, malgré seule celle-ci est significative."En signant la pétition, une femme au foyer a dit : "Je n'ai pas peur de cautionner la libération d’une bonne personne. Je signerai mon nom et laisserai mon empreinte de pouce. Comment pourrai-je ne pas aider une si bonne personne ?"
Un résident a dit : "Nous avons appris par le biais de connexions personnelles dans le système de la sécurité publique qu'ils n’observent aucunes procédures légales en condamnant les pratiquants de Falun Gong —Cela est fait secrètement."
M. Zheng était auparavant une vraie brute. Selon sa femme, il se battait, créait des troubles sans cesse et même la police ne pouvait pas le contrôler. Jusqu'à un jour en 2001, il a frappé un agent de police et a été détenu pendant trois jours. Les trois jours qu'il a passés dans le centre de détention ont été le tournant de sa vie. Il a partagé une cellule avec un pratiquant de Falun Gong et a été profondément ému par sa sincérité et sa gentillesse et les principes par lesquels il vivait. Une fois rentré chez lui, M. Zheng a commencé à chercher des livres de Falun Gong pour les lire. Il s'est non seulement débarrassé progressivement de ses mauvaises habitudes, mais a aussi dit à ses copains gangster de se débarrasser de leurs mauvaises habitudes et d'essayer d'être de bonnes personnes. Il a mis Vérité-Compassion-Tolérance en pratique et ces principes ont été reflétés dans ses paroles et dans ses actes. Il a prouvé et montré aux autres ce que le Falun Gong apprend vraiment aux gens. M. Zheng et sa femme dirigent leur commerce avec honnêteté et considèrent les autres d’abord en toute chose, dans la famille et dans la société. La route devant leur maison était pleine de nids de poule et ils l'ont réparée avec des scories pour le bien des villageois. Ils réparaient bénévolement les appareils des villageois sans chercher à savoir à qui l’appareil appartenait et s’il avait été acheté ou non dans leur magasin. Dès que les villageois l'appelaient et lui demandait de l'aide, M. Zheng trouvait du temps pour aller chez eux et réparer l'appareil pour eux. Une personne âgée avec un enfant est allée à son magasin faire des achats, mais n’a rien trouvé qui lui plaisait. Pendant leur conversation, M. Zheng a appris que la personne âgée et l'enfant étaient venus de loin, il a tenu à les ramener chez eux en voiture. Après l'arrestation de M. Zheng, la personne âgée ne pouvait pas arrêter de pleurer en mentionnant cet incident. Une fois, une personne âgée malade est tombée sur la route devant son magasin. M. Zheng a immédiatement amené l'homme à l’hôpital pour un traitement médical. Les villageois ont tous été témoins et se sont souvenus des changements de M. Zheng. Après l'arrestation, les villageois ont écrit trois lettres de caution et rassemblé 562 signatures et empreintes de pouce demandant sa libération.
Depuis son opération du crâne nécessitée par la torture, M. Zheng est à présent dans un état critique et sa vie est menacée. Des voix demandant une enquête des parties responsables et que les réels coupables soient punis se font entendre partout.
Parties responsables de la persécution de M. Zheng Xiangxing :
Liu Jiaman, sous-directeur du Département de police du canton de Tanghai : +86-315-8787260 (Bureau), +86-13832986552 (Mobile)
Li Fuguo, chef de Département de police du canton de la division de sécurité intérieure de Tanghai : +86-13832886232 (Mobile)
Sun Jingsen, chef adjoint du Département de police de la division de sécurité intérieure du canton de Tanghai : +86 - 13931504463 (Mobile)
Liu Jianhua, secrétaire du parti et directeur de la prison de Baoding, Hebei, +86-312-5292801 ( Bureau) : +86-13315272001 (Mobile)
Liu Zhanglong, commissaire politique de la prison de Baoding, Hebei, +86-312-5923003 ( Bureau) : +86-13653323308 (Mobile)
Zhou Yanping, assistant gardien de la prison Baoding Hebei, +86-312-5923005 (Bureau) : +86 - 13663300015 (Mobile)
Traduit de l'anglais
http://en.minghui.org/html/articles/2012/11/20/136377.html
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