Détentions illégales et emprisonnements

  • M. Fan Yiming, célèbre artiste peintre chinois est emprisonné pour sa pratique du Falun Gong (Photo)

    À la mi-juillet 2008, la police de Pékin a arrêté le célèbre artiste peintre, M. Fan Yiming et l’a condamné à deux ans de travaux forcés. L’œuvre de M. Fan a été exposée en Chine et à l’étranger, et de nombreuses personnes célèbres en Europe et en Amérique achètent ses œuvres . En 2001, il a reçu une commande de portrait pour l’ancien Premier ministre britannique, M. Edward Heath et pour diriger des échanges culturels et artistiques entre la Grande-Bretagne et la Chine
  • Mme Bian Lingyun a développé une tumeur mortelle alors qu’elle se trouvait dans le centre de détention Ganqika

    Le fils de Mme Bian n’a plus pu aller à l’école suite au vol de sa pension scolaire. L’époux de Mme Bian, M. Song Junfang, s'est rendu avec son fils à la section de la sécurité intérieure des services de police , afin de demander la libération de son épouse et le retour de leur argent et de leurs biens. M. Song a questionné la police: ‘’Quelle loi mon épouse à t-elle violé ?’’ Il n’y a pas eu de réponse. Plus tard, M. Song a demandé : ‘’Pourquoi mon épouse a t-elle été emprisonnée sans avoir commis aucun crime, alors que les voleurs sont libres ? Que fait le gouvernement ? Où est la justice ?’’ La police n’a pas répondu. M Song a demandé : ‘’Pourquoi avez-vous pris notre argent durement gagné,’’ La police a répondu : ‘’Vous déclarez que vous avez gagné l’argent. Mais vous n’avez aucune preuve. Nous devons enquêter.’’
  • La persécution de mes parents

    Depuis 14 ans, je suis séparé de mes parents qui vivent en Chine. Si j’avais su avant de venir aux États-Unis que mes parents seraient torturés et emprisonnés après mon départ, je ne suis pas sûre que j’aurais eu le courage de partir. Pendant 14 longues années je n’ai pas pu partager ma vie avec mes parents. Alors qu’ils luttaient pour leurs vies, j’ai été angoissée sans pouvoir rien faire pour les aider et n'arrivais à ressentir aucune joie dans ce pays libre.
  • Une femme âgée de 68 ans est détenue, torturée, et condamnée à sept ans de prison

    Mme Tang Liwen, pratiquante de 68 ans de la région autonome de Mongolie Intérieure, a été arrêtée par le personnel du Parti communiste chinois (PCC). Elle a été en prison pendant neuf mois. Sa santé et son état mental ont été dévastés. Il y a quelques jours, elle a été condamnée à sept ans de prison et emmenée dans la prison pour femmes de l’agglomération de Hohhot, région autonome de Mongolie Intérieure.
  • J'ai été témoin des abus infligés à des compagnes de pratique dans la prison pour femmes du Sichuan

    J'ai été détenue trois ans dans la prison pour femmes de la ville de Yangmahe, agglomération de Jianyang, province de Sichuan, parce que je pratique le Falun Gong. J'ai subi et j'ai été témoin de la persécution des pratiquantes de Falun Gong par des gardes et des criminels. Plus de 100 pratiquantes étaient détenues dans cette prison.
  • M. Yan Zhijun et plusieurs pratiquants du Comté de Tonghe, Province du Heilongjiang, ont été arrêtés et se sont fait extorquer de l'argent

    Le 29 juillet 2008, Liu Peimin de la Division de la Sûreté Intérieure du Département de Police du Comté de Tonghe, le Chef du commissariat de police de la Commune Fulin, Chi Haibo, et le policier Zhang Xueyan sont entrés au domicile du pratiquant M. Yan Zhijun dans la Commune de Fulin. Ils ont tenté de l'embarquer. Les deux jeunes soeurs de M. Yan et d'autres membres de sa famille, qui ne sont pas des pratiquants, ont essayé de le protéger. La police a alors appelé des renforts et de nombreux fonctionnaires de police ont sauvagement embarqué M. Yan ainsi que ses deux soeurs. Les sœurs ont été relâchées dix jours plus tard.
  • Complément d’information sur la mort de Mme Wang Yanfeng dans le centre de détention de l’agglomération Guangshui; sa compagne de pratique Sheng Cuilian est dans un état critique en détention, les visites de la famille sont refusées.

    Aprés que Mme Wang décède en garde-à-vue, le Bureau 610 de l’agglomération Anlu, ne voulait pas que les pratiquants de Falun Dafa révèlent la vérité. Ils ont donc menti, déclarant qu’il y avait des pratiquants faisant appel aux plus hauts niveaux, et a ordonné à la communauté locale et aux employés de surveiller strictement les pratiquants locaux, ne permettant aucune activité, voyage, et absolument aucun appel. Pendant ce temps, ils ont incinéré le corps de Mme Wang et ont apporté ses cendres chez elle dans la municipalité Jieguan. Ils ont surveillé étroitement son domicile et n’ont permis à aucun pratiquant d’assister au service funéraire. Ils ont étroitement surveillé les téléphones des pratiquants et n’ont pas permis à la famille de Mme Wang de contacter quiconque ou de révéler les détails de sa mort.
  • Mme Wang Yanfeng meurt dans le Centre de Détention de l'agglomération de Guangshui, Province du Hubei

    Aux alentour de 15h l'après midi du 4 septembre 2008, les agents du " Bureau 610 " de l'agglomération de Guanshui, ceux de la Sécurité Intérieure de l'agglomération de Anlu et les fonctionnaires locaux de la ville de Jieguan ont arrêté Mme Wang et Mme Sheng à nouveau. Fang Hong, de la sécurité intérieure, a brutalement battu Mme Wang lors de l'arrestation. Les deux femmes ont été détenues au Centre de Détention de l'agglomération de Guangshui, où elles ont de nouveau fait une grève de la faim afin de protester contre la persécution. Elles ont été cruellement battues à chaque fois qu'elles refusaient de manger. Elles étaient toutes deux extrêmement faibles, et Mme Wang est décédée le 24 septembre 2008.
  • Jiang Derong dans un état critique à la prison de la ville de Daqing

    Il y a environ un an, M. Jiang a commencé à montrer des signes de tuberculose pulmonaire - un résultat direct de l'abus physique et mental enduré en prison. À plusieurs occasions ses membres de famille ont essayé de le faire sortir pour raisons médicales. Mais en raison du parcours du combattant qu'ils ont du traverser ils n'ont jamais réussi à assurer sa libération. Les parties responsables de la persécution de M. Jiang ont refusé toute responsabilité pour son état proche de la mort et n’ont fait que se rejeter mutuellement la responsabilité. Ils n’ont fini par le libérer qu’aujourd’hui, presque un an plus tard, pour un traitement médical.
  • Le centre de lavage de cerveau du “Petit immeuble blanc " de la ville de Baoding où les pratiquants du Falun Gong sont brutalement persécutés

    Le centre d’éducation du système légal de la ville de Baoding, également connu sous le nom de " petit immeuble blanc" de la ville de Baoding, province du Hebei, détient actuellement 11 pratiquants de Falun Gong. on y utilise des méthodes brutales pour essayer de “transformer” les pratiquants de Falun Gong.
  • Mme Wang Liqiu soumise au lavage de cerveau dans la prison pour femmes de Jilin

    Le 14 mars, la famille de Mme Wang a été informée qu’elle avait été emmenée à la base de la police canine dans le district Chuanying, agglomération de Jilin, le 13 février—le jour où elle avait disparue. Les agents qui l’ont arrêtée ont forcé huit bouteilles d’une solution de moutarde dans le nez de Mme Wang, entraînant un état de choc. Après avoir versé de l’eau froide pour la réveiller, ils ont continué de la torturer jusqu’à ce qu’elle soit à l’article de la mort. Même dans cet état, et sans aucune preuve du moindre méfait, Mme Wang a été à nouveau illégalement condamnée à trois ans dans la prison pour femmes de Heizuzi, province de Jilin, le 23 novembre 2007.
  • Mme Tang Liwen jugée par la cour de Mongolie Intérieure

    Mme Tang a été détenue plus de huit mois. Ses membres de famille sont allés trouver divers services gouvernementaux pour demander sa libération. Son mari de 78 ans, est sous la surveillance de la police depuis l’intensification de la persécution liée aux Jeux Olympiques. La police locale et les fonctionnaires du parti se sont relayés pour aller à leur domicile le harceler, l’empêchant de vivre une vie normale.
  • Une lettre écrite en prison par Liu Fengmei à sa famille

    Au procès plusieurs pratiquants ont expliqué les tortures auxquelles ils avaient été soumis et ils ont montré à la cour des cicatrices d'électrocution par des matraques électriques. Pas un seul juge n’est venu regarder. Ils étaient complètement indifférents. En fin de compte, les juges ont donné publiquement lecture d'un rapport fabriqué par la police déclarant qu'ils n'avaient obtenu aucune confession en recourant à la torture. Ce qui niait ouvertement les faits présentés par l'avocat de Pékin et ne faisait que soutenir les mensonges inventés de toute pièce. Certains des policiers m'ont dit personnellement: " Je peux vous arrêter, vous battre, et vous condamner. Vous n'avez nulle part où faire appel. "
  • Mme. Zhang Yunxian de la province de Shaanxi reste emprisonnée après avoir purgé une peine de sept ans

    Mme Zhang Yunxian, 60 ans, est allée à Pékin demander justice pour le Falun Gong le 25 décembre 1999. La police l'a arrêtée place Tiananmen le 1er janvier 2000 et l'a emprisonnée pour sept ans. Ils l'ont d'abord détenue dans un camp de travail forcé pendant un an puis l'ont incarcérée à la Prison des femmes de la province du Shaanxi pour cinq ans. Les gardes ont ordonné aux détenues de l'attaquer verbalement et physiquement, et ils lui ont mis des fers pesant près de 25 kilos. Une fois ils lui ont menotté les mains derrière son dos pendant 16 jours. Elle a fait une grève de la faim pour protester de la persécution et les gardes l'ont gavée avec des drogues toxiques.
  • Mme Dong Keping du comté de Xiong, province du Hebei est détenue, sa vie est en danger

    Mme Dong Keping a commencé une grève de la faim pour protester contre la détention illégale. En ce moment son état est critique, mais les fonctionnaires du centre de détention ont refusé de laisser sa famille lui rendre visite. Ils manquent tellement à la belle-mère que la maladie de cette dernière a empiré. Elle a perdu le contrôle de sa vessie et a d'énormes difficultés à marcher. Leur jeune fille est très déprimée. Son jeune esprit est énormément choqué et blessé.