Ce que craint la police des prisons dans le notoire camp de travail force de Tuanhe

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7/31/2003

Grâce aux efforts de clarification de la vérité, de plus en plus de pratiquants qui s’étaient égarés ont reconnu les mensonges que les autorités et ceux qui travaillent pour eux leur avaient fait croire de force. Alors que de plus en plus de pratiquants sont revenus sur la voie droite de ‘cultivation’, la police de prison du camp de travail forcé de Tuanhe a de plus en plus peur.

1. Peur des appels téléphoniques clarifiant la vérité
Le chef de la cinquième brigade a dit aux pratiquants : “un jour à midi, en 2001, j’ai reçu un bref appel téléphonique dans mon bureau, m’avertissant que c’est la loi de l’univers que les bonnes actions sont récompensées par le bien et que les méfaits aient aussi leur rétribution. Mon interlocuteur me demandait de ne pas prêter assistance au mal. Cet appel m’a terrifié, je n’ai pas pu faire la sieste [une habitude dans certains endroits de Chine de faire une pause de plusieurs heures à la mi journée] J’ai débranché la ligne et changé de numéro pour empêcher d’autres appels. les appels de pratiquants fonctionnent vraiment bien pour restreindre les mauvaises personnes.

2. Peur que leurs mauvaises actions soient exposées

Des prisonniers relâchés du camp de travail ont été fouillés méticuleusement. Durant les fouilles corporelles, ils ont été complètement déshabillés. Chaque recoin, manche, col, chaussure, tout a été passé au crible. Les affaires des pratiquants étaient confisquées s’il y avait quelque chose d’écrit. Ils avaient peur que les pratiquants ne rapportent la vérité de la persécution dans le camp de travail forcé et ne l’expose au monde.

3. Peur de la discussion entre pratiquants

Le contrôle dans le camp de travail forcé est devenu de plus en plus serré. Les pratiquants ont non seulement l’interdiction de se parler entre eux durant les activités quotidiennes, mais ils n’ont pas même le droit d’aller dans la salle commune. Ils doivent rester assis séparément et sont surveillés par la police lorsqu’ils vont dehors. Les pratiquants déterminés sont détenus individuellement dans des chambres sans pouvoir voir qui que ce soit.

4. Peur d’être transférés dans des brigades qui persécutent les pratiquants de Falun Gong

Deux chefs d’équipe discutaient entre eux : « Regarde : Quelle chance a le chef de la cinquième brigade Yang Baoli. D’ici quelques jours il sera muté à la tête de la septième brigade. Il peut se détendre maintenant. Qui voudrait être en charge des brigades qui persécutent les pratiquants de Falun Gong ? Si tu mets trop de pression, tu seras exposé s’il arrive quelque chose. Si tu le fais souplement, les plus hautes autorités ne seront pas contentes. Elles veulent atteindre leurs quotas de transformation. Qui peut bien s’occuper de ces brigades ? Tout le monde veut les éviter. Il semble que de moins en moins de gens veulent assister le mal.

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