La droiture triomphe du mal - Histoires d'un centre de rééducation pour toxicomanes

Le régime de Jiang a fréquemment détenu les pratiquants du Falun Dafa en bonne santé et innocents dans des centres de réadaptation pour toxicomanes, provoquant la résistance à la fois du public et des pratiquants du Dafa. Ce qui suit sont des histoires de ce qui s'est passé dans un de ces centres.

Des gens bienveillants prennent position pour le Falun Dafa

Pendant le nouvel an chinois en 2001, la division numéro 2 des femmes du centre de réadaptation pour toxicomanes a convoqué une réunion. Le chef Liu a vicieusement calomnié le Falun Dafa. Immédiatement les pratiquants se sont levés et ont dit, "Falun Dafa est bon! Tous les pratiquants de Dafa sont de bonnes personnes." Un groupe d'officiers de police et de toxicomanes ont commencé à donner des coups aux pratiquants. Un policier m'a traîné par les cheveux de la salle de conférence tout le chemin jusqu’au bureau. Une touffe de cheveux a été arrachée et je me suis effondré par terre. Un officier de police a essayé d'arrêter les coups, et un groupe de toxicomanes masculins dans les cellules de l’autre côté du couloir a crié, " Arrêtez de battre les pratiquants du Falun Gong! Ils sont tous de bonnes personnes, Falun Dafa est bon!" Le chef Liu a été effrayé et est immédiatement parti. Depuis lors, personne n'a convoqué aucune réunion pour calomnier Dafa.

La puissance d’agir ensemble comme un seul corps

Tous les pratiquants qui étaient détenus au centre de réadaptation pour toxicomanes étaient d’accord qu'il était erroné de nous détenir là, nous ne devrions pas reconnaître la persécution contre le Falun Dafa et les pratiquants du Dafa. En conséquence, nous avons refusé de porter les uniformes assignés aux toxicomanes et refusé de répondre à l’appel de nos noms. A chaque fois que les toxicomanes étaient appelés à une réunion, nous récitions la Loi de Bouddha de Zhuan Falun [ le texte principal du Falun Gong ] et Hong Yin [ une collection de poèmes de Maître Li] ensemble et à voix haute. Nous avons également insisté pour pratiquer l’ensemble des cinq exercices du Falun Gong chaque jour.

Si la police battait n'importe quel pratiquant de Dafa, le reste de nous nous rassemblions dans le grand hall pour pratiquer les exercices ensemble et demander que la personne qui torturait des pratiquants de Dafa soit traduite en justice. Plus de 40 pratiquants ici se sont unis en un seul corps pour travailler ensemble. Nous avons documenté les faits des mauvais traitements de la police envers les pratiquants du Dafa, et inséré les messages "Falun Dafa est bon" ou "Falun Dafa est la voie juste" dans les produits que nous étions été forcés de fabriquer. Les produits ont été envoyés partout dans le pays et le centre a reçu le feedback à propos des messages. La police n'a pas osé faire quoique ce soit à ce sujet.
A chaque fois que quelqu'un venait au centre en visite ou pour inspecter, nous criions, "Falun Dafa est bon, nous sommes maltraités." Bien que la police a strictement contrôlé l'utilisation des stylos au centre, des slogans clarifiant la vérité pouvaient être vus sur les murs. Quand la police nous a interrogés et nous a demandés de signer les comptes-rendus des interrogatoires, nous les avons déchirés en morceaux.

Quand la police a voulu électrocuter des pratiquants de Dafa avec des bâtons électriques, tous les pratiquants récitaient ensemble à voix haute les Hong Yin du maître,

"Vivre sans recherches,
Mourir sans regrets;
Enlever toutes les pensées illusoires,
Cultiver Bouddha n'est pas difficile."

Ils ont mis de côté leurs bâtons électriques et nous ont suppliés d'arrêter de réciter.