Illustration de torture n° 19 : Passage à tabac brutal
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Les policiers persécutent sans vergogne les pratiquantes de Falun Gong. Ils les déshabillent puis les battent. Les passages à tabac leurs laissent coupures et contusions sur tout le corps. Un grand nombre de pratiquantes sont des femmes relativement âgées. Beaucoup de pratiquantes ont été battues à mort; cependant, la police a dit à leurs familles qu'elles étaient mortes de crise cardiaque ou ont inventé d'autres histoires. Quelquefois, la police a incinéré les corps sans permettre aux membres de famille de les voir.
Illustration de torture n°20: Suspension en l'air
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C'est une torture très cruelle. Les mains des pratiquants sont attachées avec des cordes minces puis elles sont suspendues pendant plusieurs heures, ou même plusieurs jours. Parfois, la corde est si serrée qu'elle casse; parfois elle entaille la chair. Certains pratiquants ont perdu connaissance en étant suspendus. Dans de nombreux cas, les pratiquants ont été accrochés par leurs menottes, ce qui a provoqué la fracture des os. Après la torture, certains pratiquants ont souffert de blessures aux mains et aux bras. Ils ont eu du mal à utiliser leurs mains et leurs bras pendant une longue période de temps. Certains ont souffert de blessures sévères à leurs bras et leurs mains et sont devenus handicapés.
Illustration de torture n°21 : Menotté dans le dos avec une main passée par-dessus l'épaule opposée
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Les mains des pratiquants sont menottées derrière leur dos avec une main par-dessus l’épaule opposée. D’abord, les policiers font tomber les pratiquants à terre sur leur estomac puis leur montent sur le dos, ensuite ils tirent les deux menottes pour les fermer. Cela provoque une douleur extrême.
Illustration de torture n°22: S'asseoir sur un petit tabouret
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Ce n'est pas un tabouret ordinaire. Il y a de très petits carrés sculptés ou moulés sur la surface. Les policiers attachent les pratiquants de sorte qu’ils ne puissent pas se lever. Après s'être assis sur le tabouret pendant quelque temps, les petits carrés entrent dans la chair, faisant saigner et suppurer les fesses. C'est une torture très cruelle.
Illustration de torture n°23: Privé de sommeil, forcé à rester debout (immobile)
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La police ordonne aux détenus criminels de surveiller les pratiquants 24 heures sur 24. Les pratiquants sont privés de sommeil pendant plusieurs jours consécutifs ou même 15 jours. Cependant, les détenus se relaient pour se reposer. Quand les pratiquants sont assoupis, les détenus les piquent avec des aiguilles. Certains pratiquants ont été poignardés si souvent que cela a résulté en de sévères tremblements.
Illustration de torture n°24: Gavage avec des fèces
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La police gave de fèces le pratiquant, ils lui mettent même des fèces sur le corps et sur le visage.
Illustration de torture n°25 : Cloué avec des épingles de poussée
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Les policiers de la ville de Shenyang, Province de Liaoning, ont attaché plus de 100 épingles de poussée sur le corps des pratiquants.
Illustration de torture n°26: Exposé à des temps extrêmes
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Par des températures de-20 à-30oC en hiver, les pratiquants ne sont autorisés à porter que des sous-vêtements en étant forcés à rester dehors pendant des périodes de temps prolongés.
Illustration de torture n°27 : Cachot d'eau
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Les pratiquants sont déshabillés et mis dans des cellules pleines d'eau sale jusqu'à la poitrine. Les cellules sont sombres sans aucune lumière du soleil. Le temps de torture dépend entièrement de l'humeur des policiers. Certains pratiquants ont été torturés à mort et certains ont eu des ulcérations cutanées suite à une torture prolongée.
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