La mère persécutée à mort, le fils est arrêté dans la région autonome de Mongolie

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Nom : Hu Suhua (胡素华)
Genre : Féminin
Âge : 56 ans
Adresse : district de Hongshan, ville de Chifeng, Région autonome de Mongolie intérieure
Profession : Inconnue
Date du décès : 4 mars 2010
Date de la dernière arrestation : 3 juin 2006
Dernier lieu de détention : Camp de travaux forcés de Masanjia dans la ville de Shenyang, province du Liaoning (马三家劳动教养院)
Province : Région autonome de Mongolie intérieure
Persécution endurée : Chocs électriques, privation de sommeil, lavage de cerveau, coups, suspendue par les menottes, incarcération solitaire, torture, gavages, contrainte physique, domicile pillé, interrogatoire, détention , déni d’utilisation des toilettes

M. Bai Jida, un pratiquant de Falun Dafa de la ville de Chifeng dans la Région autonome de Mongolie intérieure, a été illégalement arrêté par la police le 27 janvier 2012. Sa mère, Hu Suhua, elle aussi pratiquante de Falun Dafa, a été persécutée à mort par les agents du Parti communiste chinois (PCC) à Hohhot le 4 mars 2010.

M. Bai, dans les 31 ans, travaillait pour le gouvernement de la ville. Il utilisait QQ, un programme de chat en ligne, pour dire aux gens la bonté du Falun Dafa et la tyrannie du PCC . En conséquence, la police a commencé à le surveiller et l’a arrêté dans le district Songshan de Chifeng le 27 janvier. Le policier Xu Guofeng a dit que l’information postée par M Bai sur Internet avait été vue par plus de 10 000 personnes.


La mère de M. Bai a été persécutée à mort pour sa foi

Mme Hu Suhua a obtenu une nouvelle vie en pratiquant Falun Dafa. Mais sa vie a pris fin entre les mains du PCC.

Mme Hu Suhua, mère de M. Bai


Selon son propre récit de son vivant, Mme Hu avait de nombreuses maladies impossibles à guérir avant qu’elle ne commence à pratiquer Falun Dafa,qui l’avaient torturée au point qu’elle devienne désespérée et envisage le suicide plusieurs fois. Après avoir entrepris la pratique de Falun Dafa, ses maladies avaient miraculeusement disparues, établissant une fondation pour sa ferme croyance en Dafa.


Mme Hu n’en pas moins été persécutée pour ses convictions et sous la pression son mari a demandé le divorce. Elle a été envoyée deux fois en camps de travaux forcés. En 2000, elle a été détenue au Camp de travaux forcés de Tumuji dans la Région autonome de Mongolie intérieure, et plus tard transférée au Camp de travaux forcés pour femmes de Hohhot. En 2006, elle a été détenue au Camp de travaux forcés de Masanjia dans la ville de Shenyang, province du Liaoning.


Mme Hu a été soumise à une extrême torture aux mains du PCC. À la fin de l’automne 2000, elle a été privée de sommeil pendant huit jours consécutifs au Camp de travail de Tumuji. La nuit, les gardes l’ont menottée à des barreaux en fer à la fenêtre arrière du couloir, l’exposant à des températures glaciales.


Dans le camp de travaux forcés de Hohhot, Mme Hu a été menottée à un lit pendant 25 jours. Elle ne pouvait pas se lever, s’asseoir, ni s’étendre. Sa compagne de cellule devait l’aider pour ses besoins. Ses jambe et ses pieds sont devenus si enflés que marcher lui est ensuite devenu difficile. En mai 2001, elle a été menottée à un lit pendant 38 jours. Quelquefois elle n’était pas autorisée à avoir de nourriture, et quelquefois elle n’avait droit qu’à une mince tranche de pain. Malgré cela, elle a fermement refusé de renoncer à sa foi en Falun Dafa. Cela a encoléré les gardiens qui ont ajouté plus de briques sous les pieds de son lit afin que la couche soit plus haute, causant davantage de souffrance à Mme Hu.


Le 3 juillet 2001, les gardes ont battu les pratiquants de Falun Dafa. Après trois passages à tabac ce jour-là, Mme Hu a perdu conscience. Son corps était noir et bleu suite aux coups et couvert de croutes.


En novembre 2001, lorsque Mme Hu a été détenue dans la division N°1 du Camp de travaux forcés de Hohhot, elle a refusé de faire le travail d’esclave (envelopper 10.000 paires de baguettes par jour). En conséquence, les gardes Zhang Guihua, Zhang Siqin, et Liu Lang l’ont menottée aux barreaux de la fenêtre de l’atelier. Le temps dehors était extrêmement froid, et on l’a laissée avec ses seuls sous-vêtements. Toutes les fenêtres ont été ouvertes, et le chauffage éteint. La porte de devant a été verrouillée, et les détenues criminelles ont été envoyées pour la surveiller de l’autre côté de la porte 24h sur 24. Mme Hu était laissée menottée durant la journée. La nuit, alors qu’elle n’était plus menottée, elle n’était pas autorisée à s’étendre pour dormir ; Elle devait s’asseoir par terre dans l’atelier. Dehors, le vent était si froid qu’il vous glaçait jusqu’aux os. Les gardes et les détenues criminelles portaient tous des vestes isolées, mais Mme Hu n’avait quasiment rien sur elle. Elle a été persécutée ainsi pendant deux semaines.


Après avoir été relâchée du camp, le PCC a exilé Mme Hu à Hohhot, où elle a été suivie puis arrêtée par la police en 2010. Les agents ont fouillé sa maison en location. Mme Hu a été persécutée à mort le 4 mars 2010. son corps avait de larges cicatrices rondes autour de tuméfactions symétriques sur le devant et le dos du corps. Les cicatrices étaient pourpres et noires.


Parties impliquées dans la persécution :
Le poste de police dans le district de Songshang, dans la ville de Chifeng, dans la Région autonome de Mongolie
Qing Ruisong, capitaine: +86-476-8408818-2008 (bureau), +86-13904761500 (mobile), +86-15304766161 (mobile)
Xu Guofeng, lieutenant: +86-476-8408818-2041 (bureau), +86-13848995333 (mobile), +86-13848880567, +86-13654763355 (mobile)

Veuillez-vous référer à l’article chinois pour davantage de parties impliquées dans la persécution.

Version chinoise

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