Continuer à pratiquer les exercices de Falun Gong en prison

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Le Falun Gong est une voie de cultivation du corps et de l'esprit, incluant l'amélioration du xinxing et la pratique d'exercices.

Les pratiquants de Falun Gong sont souvent questionnés lorsqu'ils sont illégalement arrêtés : " Pratiquerez vous encore ? " Certains ont été jetés en prison simplement pour avoir répondu " Oui " Des responsables du parti posent la même question aux pratiquants dans les prisons et les camps de travaux forcés, et la première chose qu'ils ordonnent aux pratiquants de faire est d'écrire des déclarations de garantie (d'abandonner la pratique)

Comme c'est absurde d'essayer de contraindre un pratiquant à dire qu'il ou elle ne pratiquera plus le Falun Gong ! L'intention sinistre du parti est de faire que les pratiquants renoncent à leurs croyances et leurs consciences. Mais les pratiquants suivent leur propre chemin, continuant de pratiquer les exercice malgré d'inimaginables difficultés et cela terrifie le parti.

La pratiquante Mme Li Xiuhong de la ville de Tonghua, province de Jilin a été sauvagement torturée pour avoir fait les exercices dans le camp de travaux forcés pour femmes de Heizuizi à Changchun. Elle s'est levée tôt le matin du 4 juin 2008 pour faire les exercices. Les gardes l'ont frappée avec cinq matraques électriques chargées à fond, un par un. Yan Lifeng, l'un d'eux, a dit : " Le site Minghui a dit que nous vous électrocutons avec quatre matraques électriques. Ce n'est pas assez-- Nous allons en utiliser cinq cette fois-ci." Les gardes Ye Yin et Wei Dan lui ont donné des coups de pieds pendant qu'elle était soumise aux décharges. Ye Yin lui a demandé " Continueras-tu de pratiquer ? Elle l'a aussi violemment frappée au visage avec les poignées d'une paire de ciseaux, lui a coupé les cheveux et l'a frappée si fort qu'elle a perdu conscience. L'attaque à la matraque électrique a duré une journée entière. L'odeur de chair brûlée remplissait la pièce.

Ensuite, les gardes ont attaché Mme Li à un lit du mort et immobilisé ses bras et ses jambes avec des menottes et une ceinture. Incapable de bouger, elle devait être nourrie et avait un sceau placé sous elle pour ses besoins. La limite pour utiliser le lit du mort sur un seul détenu est de sept jours, mais elle y est restée deux semaines. Elle était libérée pour pouvoir prendre une douche, puis de nouveau attachée. Son dos est devenu complètement insensible avec le temps, et ses jambes étaient violettes par manque de circulation. Son cœur battait anormalement, et sa pression artérielle était instable . Elle a développé un énorme abcès dans la région du coccyx. Ils n'ont détaché ses jambes que lorsque du pus est sorti des abcès et l'ont attachée de nouveau une fois que l'infection calmée. Les barres de métal du lit du mort ont rendu ses muscles endoloris. Et la peau près de son coccyx est devenue noire et insensible.

Mme Li Xiuhong a été d'abord attachée au lit du mort au tout début du mois de juin 2008. Wang Lei a refusé de laisser quiconque essuyer sa sueur en juillet ou lui donner une éponge ou changer ses vêtements. Elle est restée menotté en septembre et en octobre, ce qui signifie qu'elle ne s'est pas douchée pendant deux mois. Parce qu'elle continuait de refuser d'écrire les déclarations de garantie, elle est restée sur le lit neuf mois, jusqu'au 31 mars 2009.

Elle a fait les exercices immédiatement après avoir été détachée du lit. Les gardes ont ordonné à la codétenue Wang Yuqin de lui attacher les bras et les jambes avec des lanières de tissus coupés dans des couvertures. Ils l'ont aussi battue et bousculée. A un moment sa tête a cogné le coin pointu du lit en métal. Wang Yuqin a dit à ses collègues, Wu Cuie et Liu Fengqin : " Frappez ses jambes jusqu'à ce qu'elles cassent si elle pratique de nouveau les exercices " Elle a dit aussi à une voleuse, Yang Yingxia : " Si elle fait les exercices, vous pouvez la frapper à mort et ne pas vous inquiéter pour cela, car le gouvernement s'occupe des droits du Falun Gong en ce moment même, afin qu'ils n'aient nulle part où faire appel, nous pouvons tout leur faire sans craindre les conséquences."

Wang Yuqin a versé de l'eau sur le sol après avoir vu Mme Li faire les exercices le 6 septembre 2009, l'a envoyée à terre d'un coup de pied, l'a plaquée au sol de sorte que ses vêtements soient trempés et l'a trainée dans une flaque d'eau. Puis elle a jeté Mme Li dans le couloir.

Lorsque Mme Li a pratiqué les exercices comme d'habitude le 25 avril 2009, une condamnée Zhang Lijuan, qui purgeait une peine pour fraude financière, lui a attrapée la tête et l'a cognée contre une balustrade. Lorsqu'elle a frappé la tête de Mme Li, son visage s'est écrasé contre un tuyau de chauffage, et sa bouche saignait. Zhang Lijuan l'a aussi poussée au sol devant tout le monde, la frappant dans le dos. La détenue Lin Yuxue a frappé et blessé Mme Li à plusieurs reprises. Lui écorchant une fois le cou, provoquant des ecchymoses.

Mme Li a persisté à faire les exercices bien qu'ayant enduré des tortures brutales. Il y a de nombreuses personnes comme Mme Li qui mettent leurs vies en jeu pour défendre leur droit à croire ce qu'ils ont choisi . Les vrais pratiquants de Falun Gong ne se sont jamais pliés sous la pression quelle qu'en soit la forme.

Guards at Jidong Prison in Beixinbao Township, Huailai County, Beijing, would not let practitioner Mr. Chen Aili sleep. They isolated him and demanded to know whether he would continue to practice. Whenever they asked, Mr. Chen would say, "Yes." The guards said, "You can't practice, even if you say yes." He replied, "But I'll still say yes!" The guards ordered inmates to pour boiling water on his head. The instant he came to, the guard seized the moment and asked, "Will you still practice?" He said, "Yes," before losing consciousness again. He was tortured with another pot of boiling water. Mr. Chen screamed in horrific pain, yet as soon as he caught his breath, he said, "Yes!" The guards ran out of ideas and gave up trying to "reform" him.

Les gardes à la prison de Jidong dans la commune de Beixinbao, comté de Huailai, à Pékin ne voulaient pas laisser dormir M. Chen Aili. Ils l'ont isolé et lui ont demandé s'il continuerait à pratiquer. Chaque fois Monsieur Chen disait: " Oui ". Les gardes disaient " Vous ne pouvez pas pratiquer même si vous dites oui." il a répondu : " Mais je continuerais à dire oui ! ". Les gardes ont ordonné aux détenus de verser de l'eau bouillante sur sa tête. Au moment où cela s'est produit, le garde a saisi cet instant pour demander : "Continuerez vous de pratiquer ? " Il a dit : " Oui " avant de perdre à nouveau conscience. Il a été torturé avec une autre casserole d'eau bouillante. M. Chen a hurlé dans une douleur terrible, puis dès qu'il a reprit son souffle, il a dit "Oui ! " les gardes étaient à court d'idées et ont renoncé à essayer de "transformer."

Les fonctionnaires du parti communiste sont effrayés lorsque les pratiquants disent : " Oui je pratiquerais " . Compte tenu de l'état d'esprit que le parti communiste a instillé en eux, ils ne peuvent pas comprendre la signification profonde de la pratique. Lorsqu'ils échouent à soumettre les pratiquants à leur volonté après avoir utilisé toutes sortes de méthodes de tortures, Ils restent désarmés devant une telle détermination et intégrité.

Le mot " oui " venant des pratiquants de Falun Gong choque et effraie les malfaiteurs , car il montre leur grande détermination.


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