Différents journaux, différents sorts

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Le 13 mars 2009, considérant l'affaire du vol de nombreux journaux Epoch Times, la Cour Suprême de l'Ontario au Canada a décrété qu'il avait été prouvé que l'accusée, Wang Cong, avait volé les journaux Epoch Times, et devait par conséquent payer 2300 $ (Canadiens) au siège d'Epoch Times de Toronto. De plus, elle a dû également payer 4% d'intérêt, à partir du jour où elle elle a été attrapée en train de voler les journaux (le 17 avril 2008). Après avoir lu cette nouvelle, j'ai pensé que d'autres cas similaires méritaient d'être mentionnés.


1. En février 2004, la Cour Suprême de l'Ontario, Canada, a décidé que Pan Xinchun, le Vice-consul général de Toronto, avait été reconnu coupable de diffamation. Pan avait écrit une lettre au journal du Toronto Star diffamant Joel Chipkar, un pratiquant de Falun Gong local et l'accusant d'être membre d'une "sinistre secte". La Cour a ordonné à Pan Xinchun de payer 10 000 $ pour rembourser les honoraires légaux de M. Chipkar et 1000 $ de charges symboliques pour les dommages causés. La Cour a décidé que Pan ne pourrait pas utiliser le statut "d'immunité" et s'est mise d'accord sur le fait que Pan "avait agi avec malveillance et en dehors de ses fonctions consulaires. "


2. En juin 2006, un tribunal de Milan en Italie a déclaré qu'un journal européen chinois était coupable de diffamation. Dall' Alba, le directeur du journal chinois, et Jiang Ming, le journaliste (son nom de plume est Taishan) ont reçu une lourde amende en conséquence. Les pratiquants de Falun Dafa ont gagné le procès. Les accusés ont admis qu'ils avaient fait cela sous la pression et avec l'accord du Consulat chinois local.


3. Suivant les directives de son siège social à Hong Kong, le journal Ming Pao Daily a mis fin à son édition Est américaine le 31 janvier 2009, et son édition Ouest américaine le 25 février 2009.


Le Parti communiste chinois (PCC) et la clique de Jiang Zemin persécutent le Falun Gong depuis plus de neuf ans. La politique de génocide de Jiang contre les pratiquants de Falun Gong a consisté à "diffamer leur réputation, les ruiner financièrement, et les détruire physiquement." Ils ont contrôlé tous les médias en Chine afin de créer toutes sortes de fausses histoires: l'incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen, les mensonges au sujet des meurtres, ou l'accumulation de richesse etc... Le PCC voulait juste attiser la haine des gens ordinaires envers le Falun Gong. Ce faisant, la persécution s'est aussi produite outre-mer. Avec les cas des deux journaux mentionnés plus haut, beaucoup d'autres médias d'outre-mer ont directement rapporté la propagande diffamatoire du PCC contre le Falun Gong. Ainsi, au début de la persécution, beaucoup de Chinois d'outre-mer ont cru aux mensonges calomnieux du PCC et se sont montrés très hostiles envers les pratiquants de Falun Gong qui essayaient de leur clarifier la vérité avec bienveillance.


Les droits de l'homme sont des valeurs universelles. Dans les pays occidentaux, la liberté d'expression et de croyance sont considérées comme des droits de l'homme fondamentaux et sont protégées par la loi. Des interférences d'un pays étranger avec ces droits de l'homme ne sont pas autorisées. En 2001, la Jamestown foundation, une organisation bénévole indépendante, a dit que le Ming Pao Daily était l'un des journaux que le PCC essayait de contrôler. Le communiqué a dit que lorsque l'immigration accrue de Chine continentale a changé le profil de la communauté chinoise aux États-Unis, le PCC a fait des "efforts agressifs envers les médias" afin de contrôler les journaux chinois d'outre-mer, ainsi que les chaînes de télévision, et les stations de radios. Cela a été fait de différentes manières, incluant les liens économiques pour influencer les médias indépendants qui ont des relations commerciales avec la Chine, perturber les horaires de diffusion et l'espace publicitaire, fournir des programmes gratuits avec un contenu déjà préparé, et déployer le personnel gouvernemental pour travailler au sein de ces médias, parvenant ainsi à exercer une influence en leur sein.


Un autre article 'China Brief' de la fondation a révélé que "Les employés du siège du Ming Pao à New York avaient dit que leur véritable "chef" n'était autre que le Consulat chinois [à New York], et qu'ils étaient obligés de faire tout ce que le Consulat leur demandait. " Le second cas ci-dessus a aussi confirmé cela.


Il a été rapporté dans les sites internet chinois d'outre-mer que durant le rassemblement du Comité central du bureau politique du Parti communiste chinois en janvier 2009, désormais satisfaits de leur contrôle sur les médias chinois d'outre-mer, les hauts fonctionnaires du PCC ont décidé qu'il était temps de viser les médias occidentaux et de faire des investissements importants dans leurs efforts de propagande outre-mer. Mais le journal Ming Pao qui a cessé d'être publié dans l'est et l'ouest des États-Unis démontre que la propagande du PCC est allée à l'encontre de la volonté des gens et sera finalement éliminée. C'est une défaite pour les tentatives du PCC d'influencer les médias chinois d'outre-mer.


D'un autre côté, en tant que média honnête et indépendant, le journal Epoch Times soutient les valeurs humaines universelles, les droits de l'homme et la liberté, fait des reportages objectifs et authentiques, et a reçu les éloges de la communauté internationale. En 2005, Epoch Times a été reconnu par la Presse ethnique nationale et le Conseil des médias du Canada comme étant le premier journal à avoir fait une enquête approfondie au début de la propagation du SRAS en Chine. Aujourd'hui, Epoch Times possède des succursales dans 30 pays sur 5 continents, et le contenu est publié en 17 langues. Le journal Epoch Times en langue chinoise (Da Ji Yuan) est devenu le plus grand journal diffusé en langue chinoise en dehors de la Chine et de Taiwan.


Par exemple, au Canada, le premier journal Epoch Times en chinois a été publié en 2000, et à présent c'est déjà le plus grand journal en langue chinoise du Canada. Il est publié dans 7 provinces et 22 villes de grande importance. Au début, c'était un hebdomadaire. En 2004, il est devenu quotidien à Toronto et à Vancouver. Des versions française (La Grande Epoque ), et anglaise de ce journal sont aussi disponibles au Canada.


Entre le bien et le mal, il est facile de voir lequel des deux triomphe. Les gens au bon cœur devraient y réfléchir et bien se positionner pour l'avenir.

Version chinoise disponible à :
http://zhengjian.org/zj/articles/2009/3/15/58348.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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