Frankfurter Allgemeine Zeitung (Allemagne): Les organes de prisonniers exécutés ne suffisent pas pour les transplantations

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L’article indiquait qu’en Chine : “Le nombre spécifique de prisonniers exécutés ces dernières années est un sujet de discussion épineux entre le régime du PCC et les Organisations internationales de Droits de l’homme. " Bien qu’ayant le plus grand nombre estimé de prisonniers exécutés chaque année en Chine, la source de nombreux organes pour la transplantation ne peut pas être expliquée.

“ Il y a quelques mois, le PCC a publiquement admis le fait qu’il avait prélevé les organes de prisonniers exécutés. L’explication du gouvernement était que grâce à cette méthode les prisonniers exécutés contribuaient à la société. Outre cela, avant de prélever les organes, ils obtenaient le consentement écrit de ces prisonniers exécutés " autant qu’il leur était possible. " Mais quelle que soit la façon dont on regarde une telle chose, un prisonnier exécuté n’a que deux reins et un foie. Toutefois, sur les « marchés » de la Chine, il y a un grand nombre d’organes venant de personnes vivantes. Zhang Erping, un ancien diplomate chinois qui vit aujourd’hui aux USA a dit : " Peu de chinois sont près à donner leurs propres organes, presque personne. "

Selon le RAPPORT SUR LES ALLEGATIONS DE PRELEVEMENT D’ORGANES DE PRATIQUANTS DE FALUN GONG EN CHINE par David Matas, avocat au Canada, David Kilgour, ancien Secrétaire d’Etat du gouvernement du Canada pour la région Asie Pacifique : “Les pratiquants de Falun Gong sont assassinés avec préméditation sans aucune formalité légale. Le but est de prélever leurs organes pour la vente."
Le RAPPORT révélait que la persécution du Falun Gong a atteint un pic en 2001. Il citait un chirurgien chinois qui a avoué à sa femme qu’il avait déjà prélevé des cornées sur 2000 personnes détenues. Après les opérations, les victimes ont toutes perdu leur vie. Deux ans plus tard, bien qu’ayant été récompensé par de grosses sommes d’argent, il ne voulait plus continuer.

L’article ajoutait : “Kilgour et Matas ont envoyé des personnes, prétendant être des patients, qui ont téléphoné aux hôpitaux en Chine en posant des questions sur les transplantations d’organes. Le personnel des hôpitaux aurait répondu qu’ "ils garantissaient de leur fournir les organes dont ils avaient besoin. Ce qu’un patient pouvait faire c’était de venir en Chine. "

Quand les patients d’autres pays doivent attendre jusqu’à dix ans, le temps d’attente pour obtenir un organe en Chine est inhabituellement court du fait de l’existence de banques d’organes humains, qui rendent l’approvisionnement possible. [Kilgour et Matas] ont dit : "Seuls ceux qui ont une source d’approvisionnement en organes stable et abondante sans dépendre des dons d’organes peuvent faire cela."

L’article citait aussi un élément de preuve nouvellement ajouté par Kilgour : " Kilgour a donné un exemple d’une personne qui était spécialement allée à Shanghai pour une transplantation de rein. Afin de trouver un organe compatible pour son patient, le médecin lui avait fourni en succession et transplanté huit reins jusqu’à ce que son corps accepte un organe."

Traduit de l'anglais de : http://en.clearharmony.net/articles/200704/38936.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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