Les paupières percées avec une aiguille et étouffé avec de la fumée : Les tortures que Wang Bingwen endure au camp de travail forcé de Qindhao (Photos)

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Alors qu’il était illégalement détenu au camp de travail forcé de Qindhao pendant plus de deux ans, le pratiquant de Falun Dafa Wang Bingwen a souffert des traitements inhumains dévastateurs et choquant. Afin de "Transformer" Wang Bingwen, la police l'a privé de sommeil pendant 14 jours consécutifs, ils l'ont étouffé avec de la fumée, brûlé, transpercé avec des aiguilles, et battu. Après avoir été battu au point d'en perdre connaissance, ils ont continué à le battre pour le maintenir éveillé. Ils l'ont attaché sur un tabouret pour qu'il ne bouge pas du tout. En conséquence, les muscles de Wang Bingwen se sont sérieusement atrophiés.

M.Wang Bingwen, 33 ans, était l'ex-chef de la Section feu, de la Branche de Sécurité publique de la ville de Qindhao, province du Shandong. Après avoir été arrêté par le commissariat de rue Jinkou dans le district sud, agglomération de Qindhao, il a été forcé à subir la "rééducation par le travail " pendant trois ans le 6 août 2003. Il est toujours détenu dans le camp de travail forcé de Qindhao de la province du Shandong.

Dans le camp de travail, Wang Bingwen n'a pas coopéré avec la soi disant " transformation ". La police a continuellement utilisé toutes sortes de façons pour le torturer. Pour protester contre la persécution, Wang Bingwen a fait une grève de la faim pendant aussi longtemps qu'un an et demi. La police a hurlé avec violence que tant qu'il continuerait a respirer, ils ne le relâcheraient jamais.

Non seulement Wang Bingwen a été brutalement battu par le détenu Tan Junwei ( qui a été plus tard libéré du camp de travail forcé) et d'autres détenus en 2003, mais il a aussi été plusieurs fois violemment battu et maltraité par les gardes assistants Feng Zengwei, Shang Jingguo et d'autres. Pour réduire sa peine de prison, Shang Jingguo, sous l'instigation de la police, a privé Wang Bingwen de dormir en frappant sa tête, en l'étouffant avec de la fumée, en utilisant un briquet pour le brûler et en perçant ses paupières avec une aiguille.

Au début 2004, les persécuteurs ont privé Wang Bingwen de dormir pendant 14 jours consécutifs. Ils ont continuellement passé le soi disant " VCD de transformation" et ils l'ont forcé à le regarder. S'il clignait des paupières, les gardes le battaient immédiatement. Pendant la période la plus froide de l'hiver, ils ont fait s'asseoir Wang Bingwen sur le lit et ils ont versé de l'eau froide sur sa tête lorsqu'il était en grève de la faim. La continuelle privation de sommeil a fait que Wang Bingwen a été fréquemment dans un état de désorientation. Un jour de 2004, Shang Jingguo a battu Wang Bingwen si sévèrement qu'un officiel appelé Xu Changcun a promis que s' il " venait à bout " de Wang Bingwen, sa peine de prison serait réduite significativement, et Xu pourrait être promu sous-directeur du camp.

Pour protester contre le travail forcé et la persécution illégaux, Wang Bingwen a fait une grève de la faim pendant une longue période, ce qui a fait qu’il est devenu très faible. Cependant, pour atteindre le but de la " transformation", les persécuteurs ont utilisé la soi-disant conduite stricte à long terme. Wang Bingwen a été détenu seul dans une petite cellule avec toutes les fenêtre fermées. Il devait se soulager dans cette pièce, et personne n'était autorisé à le contacter. Il était attaché sur un tabouret jour et nuit dans la même position, incapable de bouger. Cela a amené ses muscles sévèrement s'atrophier.

Le personnel médical dans le camp de travail forcé a aussi participé à la persécution de Wang Bingwen. Le Dr Xie a persécuté une fois Wang Bingwen en utilisant l 'acupuncture. Xie a mis des épingles sous les ongles de tous ses doigts, et la plante de ses pieds. En 2003 Xie a torturé Wang Bingwen en utilisant l’acupuncture pendant 15 jours pendant une heure et demie chaque jour. Pendant la torture, Xie tournait et poussait les épingles dehors et dedans rapidement et avec force. Quelque fois ses poignets étaient blessés comme s'ils étaient cassés lorsque Xie mettait les épingles dans ses poignets. En avril 2004, Xie a encore mis des épingles directement au bout de chaque doigt de Wang Bingwen sous ses ongles, se qui a causé des douleurs sévères et amené ses mains à saigner. Plusieurs personnes retenaient Wang Bingwen. L'officier de police Wang Yongjien a fermement saisi les joues de Wang Bingwen pour l'empêcher d'appeler. Plus de quatre mois après, les tache noires sous les ongles de Wang Bingwen étaient toujours présentes.

Yang, le directeur du bureau médical, a aussi utilisé le gavage forcé pour torturer Wang Bingwen. Le tube inséré dans son nez pour le gavage n'a jamais été changé en sept semaines. La fin du tube, long d'environ un doigt de long dans l'estomac, avait été corrodé par l’acide dans l’estomac de Wang Bingwen . Ils n’en ont pas moins poussé plus profondément le tube dans son estomac, lui faisant voir des étoiles et cracher du sang.

Les informations ci-dessus à propos de la persécution que Wang Bingwen a soufferte se sont frayées difficilement un chemin hors de Chine. Cependant ce n’est que la pointe de l'iceberg.

La fille de Wang Bingwen

L'épouse de Wang Bingwen était enceinte de trois mois lorsqu'il a été arrêté. Ils ont seulement pu se voir en décembre 2003. Etant donné qu' elle était mentalement et physiquement épuisée, elle a donné naissance à un fille prématurée en juillet 2004. Après l'exposition de la situation de Wang Bingwen qui était persécuté en 2004 et sous la pression de diverses sources, les autorités du camp de travail n'ont pas pu refuser au père de Wang de lui rendre visite une fois en juillet 2004. Par la suite, ils n'ont pas autorisé sa famille à lui rendre visite. Pour demander une réunion avec son fils, la mère de Wang Bingwen a du attendre derrière les portes du camp de travail trois jours et nuit consécutifs. L'épouse de Wang Bingwen a amené un fois leur petite fille d'un an avec sa famille et ils se sont rendus au camp de travail. Cependant, les autorités du camp de travail ne les ont non seulement pas autorisés à le voir, mais ils ont aussi appelé un véhicule de police. Alors les officiels les ont poussés de force dans le véhicule et ils ont dit qu'ils les emmenaient au commissariat. Mais sous les fortes demandes de la famille, ils les ont autorisés à rentrer chez eux.

Cette année la fille de Wang Bingwen a presque deux ans, mais elle n'a jamais vu son père. De juillet 2004 jusqu'à maintenant, 17 mois ont passé. Wang Bingwen est actuellement détenu dans l'équipe d'entraînement et il n'est toujours pas autorisé à voir sa famille. Les autorités du camp de travail ont déclaré que les rencontres étaient interdites depuis que le bureau 610 faisait la loi. Mais la famille de Wang Bingwen s'est rendue au bureau 610, et le directeur Wang a dit qu'il ne s’occupait pas de cette question et que le camp de travail était responsable de cela.

L'adresse du camp de travail forcé de Qindhao
#2, rue Shangyuan , District de Licang, ville de Qingdao , Province du Shandong, Chine
Code Postal: 266100

Numéros de téléphone à appeler
Code du pays 86 , code de la ville 532
Standard: 87657501, 87657502
Inspecteur Liu Xuyun,: 87657887
Vice inspecteur Zhu Guangchang,: 87650298
Bureau d' Administration : 87657354
Bureau d' Education : extension 8035; Yao Jinming 87081302, 87657050
Bureau Médical : extension 8063 (Le directeur Yang est responsable de l'examen physique des pratiquants et du gavage de force des pratiquants en grève de la faim .)

Version chinoise :
http://www.minghui.ca/mh/articles/2006/1/6/118146.html

Version anglaise :
http://en.clearharmony.net/articles/200604/32268.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.