Une pratiquante électrocutée avec des matraques électriques, s’enfuit grâce à l’aide de personnes bienveillantes

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Ceci est l’expérience d’une pratiquante de la Province de Hebei. Elle est allée à Pékin, il y a plus de quatre ans de cela, pour apprendre aux gens trompés par la propagande du gouvernement les faits concernant Falun Dafa et dévoiler la persécution dont il est l’objet. Les autorités l’ont arrêtée et l’ont emmenée au poste de police du comté de Shunyi dans la banlieue de Pékin. Elle a été cruellement électrocutée avec des matraques électriques et est presque morte de la torture, mais elle pu s'échapper grâce à l’aide d’un vieil officier de police au bon cœur.

Pour éviter davantage de harcèlements et de persécution , nous utiliserons le pseudonyme de Melle Wang Xianghua pour cette pratiquante..


Electrocutée avec des matraques électriques jusqu’au seuil de la mort.

Aux alentours du 23 avril 2001, Melle Wang Xianghua et plusieurs autres pratiquants sont allés à Pékin pour demander justice et dire aux gens la vérité sur le Falun Gong. Le Bureau des Appels est "jumelé " avec un poste de police. Quiconque fait appel est arrêté, donc au lieu de s'y rendre, ils ont déployé des banderoles sur la Place Tiananmen. Melle Wang tenait une banderole et criait en courant : " Falun Dafa est bon ! " Des voitures de police et des officiers de police en civil l’ont pourchassée. Les officiers l’ont faite trébucher et elle est tombée. Tous les pratiquants ont été emmenés au poste de police de Tiananmen et enfermés dans une cage en métal et dans la soirée furent envoyés au poste de police du Comté de Shunyi non loin de Pékin.

Melle Wang Xianghua fut menottée et plusieurs officiers l’emmenèrent dans un bureau où portes et fenêtres étaient bien fermées. Un officier lui demanda : " D’où venez vous ?" Elle l’ignora. Les officiers de police ramenèrent au moins deux matraques électriques et les utilisèrent en continu sur son visage, son cou et en d’autres endroits de son corps. Elle serra les dents et garda le silence. Ils lui menottèrent les mains derrière le dos et la forcèrent à se coucher à plat sur le sol puis recommencèrent à l’électrocuter.

La police ne s’arrêta qu’après un long moment et continua de l’interroger. Melle Wang refusa de parler. Un officier pris une tasse d’eau bouillante, souleva sa chemise, et versa l’eau sur son cou. Puis, il colla la matraque sur sa peau pour l’électrocuter. Après environ quatre heures de torture, les batteries des deux matraques se sont déchargées. Les officiers partirent recharger les matraques électriques. Un officier ramena un fascicule et lui dit, "Regardez, ils nous ont tout dit " Melle Wang l’ignora et n’ouvrit pas les yeux. Elle pensa, " Maître m’a sauvé la vie ! Je dois demander justice pour Dafa et pour Maître ! Même si je sacrifie ma vie pour sauvegarder Dafa, je n’impliquerai personne d’autre, parce que je sais que si je dis mon adresse, beaucoup de personnes dans mon entourage, incluant mes collègues et superviseurs seront impliqués et persécutés ".

Elle n’avait aucune peur. Son coeur demeurait imperturbable peu importe ce que disait la police. Un officier de police devina par hasard son adresse, mais elle resta calme et n’ouvrit même pas les yeux. Les officiers de police voyant qu’il n’en tirerait aucune information, ils continuèrent donc à la torturer avec les matraques électriques.

Quand elle avait des convulsions dues au courant électrique, les officiers en toute hâte desserraient les menottes. Après un laps de temps assez long son état s'améliora un peu. Une personne ayant bon cœur dit : " Elle a une maladie cardiaque. Ne l’électrocutez plus !" Quelqu’un d’autre dit : “Pourquoi l’avez vous électrocutée à ce point ? »

A ce moment là, son visage et son cou étaient couverts de cloques et de sang. Ils essuyèrent le sang avec sa chemise. Un jeune officier dit : " Et alors ? La vielle dame avait des cloques plus larges que celles qu’elle ". Aussitôt que Melle Wang cessa d’avoir des convulsions, un officier l’électrocuta au visage, au cou et sur tout son corps encore et encore avec une matraque électrique. Ses yeux et ses muscles faciaux tressautaient et sa bouche d’un coté avait des mouvements incontrôlés.

Il était très tard et la plupart des officiers partirent se coucher. Deux officiers transportèrent Melle Wang dans un autre bureau et la placèrent sur une chaise. Craignant qu’elle ne s’échappe, ils la menottèrent à la chaise.

Quitter le commissariat de police grâce à l’aide de personnes au bon coeur

Trois officiers la surveillaient. Un vieil officier était très gentil. Il avait sympathisé avec des pratiquants de Dafa. Il servit de l’eau à Melle Wang et lui apporta une serviette. Elle voulu vomir et il dit : " Vous pouvez vomir là, allez-y". Il vit que sa respiration était très rapide et craignit qu’elle meure. Il ne ferma pas les yeux de toute la nuit.

D’une voix faible elle lui raconta des histoires où la bonté était récompensée et que le fruit de la méchanceté était la punition. Il fut ému par ces histoires. Melle Wang saignait et vomissait. L’officier mit la serviette tâchée de sang par terre afin que les autres puissent la voir. Ses pieds avaient tellement gonflés que les chaussures étaient devenues trop petites, il lui apporta donc du papier journal qu’il mit sous ses pieds. Il voulut appeler un docteur mais elle l’en empêcha car elle ne voulait pas déranger quelqu’un à une heure aussi tardive. Elle savait que Maître veillait sur elle et elle pensait, " Je dois partir d’ici au lever du jour ".

Juste aux aurores Melle Wang eût encore une série de convulsions. Elles durèrent un long moment. Le vieil officier de police dit , " Je vais leur demander de vous libérer ". Elle répondit : “ Vous serez certainement béni d’avoir traité avec bonté les pratiquants de Dafa. "

Il partit à la recherche d’un docteur. Les deux autres officiers qui avaient pour tache de surveiller Melle Wang se réveillèrent et se plaignirent, " C’est trop dur de gagner 500 yuans*, elle est trop coriace ", cela voulait dire que chaque officier pourrait recevoir une prime de 500 yuans si il pouvait obtenir du pratiquant son adresse. Le régime communiste contraint la famille des pratiquants ou les employeurs à payer cette somme. Les officiers de police battent et torturent les pratiquants avec une telle férocité, rien que pour "gagner " cet argent. L’un d’entre eux donna un coup de pied à Melle Wang et dit alors qu’elle était en pleine crise de convulsions, "Allez continue et meurs ! On te traînera dehors et on brûlera ton corps ! "

Le docteur est venu et lui fit un Electrocardiogramme (ECG). Il demanda aux officiers : " Quelle est la cause de toutes ces blessures ? " Melle Wang avait des cloques très étendues sur son visage et sur son cou, et ses mains et ses pieds étaient effroyablement enflés. Les officiers eurent peur d’avouer que les blessures étaient le résultat des chocs électriques, donc ils répondirent: " On n’en sait rien ! »" Après l’ ECG le docteur demanda : " Depuis combien de temps est-elle comme ça ? " Le vieil officier qui la surveillait dit " Depuis 5 heures, ce matin, donc il y a environ trois heures. " Le docteur dit : "Dépêchez vous de l’emmener à l’hôpital ! " Les officiers furent d’accord mais refusèrent de l’emmener à l’hôpital. Puisque Melle Wang n’avait pas donné son adresse, personne ne voulait payer pour ses frais médicaux.

La raison qui a poussé les officiers à agir de façon aussi extrême était de la forcer à dire son adresse, ainsi chacun d’eux aurait pu empocher les 500 yuans. Maintenant, non seulement ils ne pourraient pas obtenir le bonus espéré, mais ils auraient également à payer des frais médicaux pour elle. Ils refusèrent catégoriquement de débourser de l’argent de leurs propres poches. Ils devraient également exposer au grand jour leurs crimes en l’envoyant à l’hôpital. Ils en parlèrent à leurs supérieurs et demandèrent à Melle Wang, "Pourriez vous marcher si on vous laissait partir ? " Wang Xianghua dit en son cœur : " Avec la protection de Maître, je serais certainement capable de marcher. "

Deux officiers la transportèrent dans une voiture. Le vieil officier, un responsable de division, et un jeune officier l’emmenèrent à la gare routière du comté de Shunyi. Le jeune officier regarda malicieusement Melle Wang et lui demanda son adresse. Le responsable de division dit :" Le chef a dit de ne plus le lui demander. " Le jeune officier arrêta donc de la questionner.

A la gare routière du Comté de Shunyi, le jeune officier demanda à Melle Wang 100 yuans pour qu’il puisse lui acheter son billet. Il n’a pas acheté le billet et en plus il ne voulait pas lui rendre son argent. Le responsable de division lui dit d’une voix sévère :" Rends lui son argent". Il lui rendit rapidement. Melle Wang fut contente pour le responsable de division et le vieil officier, car ils lui avaient rendu justice.


Ils ne purent acheter un billet à la gare routière du Comté de Shunyi, dont ils allèrent à un endroit appeler Hebei et achetèrent là un billet pour elle. Les officiers lui rendirent les 90 yuans restants. Le chef de division et le vieil officier dirent : " Dans votre état, restez chez vous et pratiquez. Ne ressortez plus ! Ne savez vous pas que nous sommes dans la période " Frappez Fort" ? Nous savons tous ce qu’est le Falun Gong, mais nous ne pouvons pas parler ! "

Melle Wang vit qu’ils étaient de bonnes personnes. Elle demanda au vieil officier de lui prêter son portable afin qu’elle puisse appeler sa famille. " Ce n’est pas que je ne veux pas que vous l’utilisiez. Mais si vous passez un coup de fil, votre numéro sera enregistré sur mon portable et ils découvriront votre adresse à mon retour au commissariat. Ne passez aucun coup de fil. Rentrez juste chez vous. "

Melle Wang les salua d’un geste de la main avant de monter dans le bus. Les bons cœurs et les bonnes pensées de ces gens certainement leur apporteront à eux ainsi qu’à leur famille un meilleur futur !

Note:
1. Le Yuan est la monnaie Chinoise ; 500 yuans est égal au revenu moyen mensuel d’un employé citadin en Chine.

Version Chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/1/12/118479.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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