Toronto : Les pratiquants protestent contre l'importation de "la même chanson " - chanson-thème étroitement liée aux brutales violations des droits de l'homme par le PCC (photo)

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Le 14 janvier, presque 100 pratiquants de Falun Gong se sont rassemblés devant le consulat chinois à Toronto pour protester contre l’importation de «la même chanson » du Parti communiste chinois (PCC) dans la communauté canadienne. La chanson a été employée par le PCC pour briser mentalement les pratiquants pendant ses tentatives de les « transformer. » Comme le pratiquant Zhaojin Zhang a dit : « Ce qui est derrière cette chanson, c’est la violence sanglante de la persécution; c'est la chanson-thème de la torture. »

Les pratiquants, devant le consulat chinois à Toronto, protestent contre la chanson-thème de la torture par le PCC, pour qu’elle ne joue pas dans la communauté locale

Zhang a dit : "Sous la menace de la torture et de la mort, les gardes chinois dans les camps de travaux forcés emploient cette chanson pour laver le cerveau des pratiquants et les forcer à échanger leur croyance et leur dignité contre la prétendue " liberté "".

La pratiquante, Mme Ding, a raconté comment " la même chanson" a été employée par le PCC pour piétiner les droits de l'homme: quand un pratiquant est illégalement envoyé à un camp de travaux forcés ou à une classe de lavage de cerveau, on donne au pratiquant une copie de "la même chanson ". " Ils vous forcent alors à la chanter; si vous n'ouvrez pas votre bouche, ils vous battent. " Une autre forme de persécution est de vous forcer de rester dans le couloir et un groupe de personnes vous chantera la chanson. En outre, après la torture, ils vous chanteront également la chanson quand ils vous forcent, avec le bâton et la carotte, à signer une déclaration de garantie pour réclamer de ne plus pratiquer le Falun Gong.

"Souvent, les gardes torturent les pratiquants pendant la nuit. Une fois, un garde a incité un détenu criminel de ne pas permettre à un pratiquant de dormir. Le matin, ils ont commencé à faire jouer la chanson pour briser la volonté du pratiquant épuisé."

Mme Sun qui habite maintenant au Canada, a été une fois arrêtée en Chine. Elle a raconté son expérience en Chine. " J'ai été condamnée au camp de travaux forcés en juillet 2001. En raison de la torture brutale, on m’a disloqué la mâchoire. Néanmoins, ils ne m'ont pas permis de dormir et ne m'ont pas amenée voir un médecin avant le lendemain matin. La troisième nuit, je ne pouvais plus soutenir la douleur; la pression non plus, alors mon cerveau est devenu engourdi à cause du manque de sommeil. En fin de compte, j'ai été forcée de signer une déclaration de garantie pour promettre de ne plus pratiquer le Falun Gong. Après avoir signé la lettre, ils ont commencé à chanter 'la même chanson.' "

" Quand j'ai lu les nouvelles qu'un concert sous le titre de « la même chanson » serait donné au Canada, les tempes ont commencé à me faire mal et j'ai senti que ma mâchoire était, à nouveau sur le point de se disloquer. Tant de douleur et particulièrement l'humiliation qui vient de la "transformation " sont revenues comme un insecte qui m’aurait mordu le cœur. J’ai ressenti à nouveau le sentiment de l'effondrement mental et une douleur insupportable. Je ne veux jamais entendre ‘la même chanson! ' "

Mme Gan, de North York, a dit qu'elle a été également illégalement détenue dans un camp de travaux forcés en Chine. " Le camp de travail avait environ 130 détenus et plus de 120 étaient des pratiquants de Falun Gong. Nous avons été forcés de faire un travail d’esclave pendant plus de 10 heures par jour et de regarder des vidéos diffamatoires contre le Falun Gong. Ils nous forçaient à écouter des chansons communistes, notamment 'la même chanson.' Un jour à midi, j'ai entendu une personne qui chantait la chanson et ensuite, elle a pleuré. Elle a pleuré pendant presque 2 heures, montrant l'impuissance, le regret et la douleur profonde de son âme. Les autorités nous ont non seulement privés de notre liberté physique, mais aussi de notre liberté de volonté ! " Mme Gan a dit : "Ils ont employé des moyens les plus méprisables, les plus sans scrupule et sales pour nous priver de notre liberté de volonté de base en tant qu’être humain. "

La pratiquante de Toronto, Xin Li, a dit : "A travers toutes les difficultés, j’ai pu finalement venir en terre libre canadienne. Toutes les fois que je me rappelle la persécution que j’ai subie en Chine, c’est toujours tellement douloureux. Dans ma mémoire, 'la même chanson' est étroitement liée à la déformation de la nature humaine et à un énorme traumatisme. Je pense que vous pouvez comprendre que la chanson m’apportera d’énorme douleur ainsi qu’à tous les pratiquants de Falun Gong. "

Traduit de l’anglais au Canada le 17 janvier 2006

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Version anglaise disponible à :
http://en.clearharmony.net/articles/200601/30987.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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