Méthodes de torture utilisées au camp de travaux forcés de Jinzhou – 2e Partie (photos de reconstitution)

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1ère partie : http://fr.clearharmony.net/articles/200512/23788.html
(suite)

Méthode de torture n°8 : Envelopper le corps dans une couverture épaisse et appliquer des électrochocs à haut voltage

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Quand ils utilisent cette méthode de torture, les gardiens frappent le pratiquant avec des bâtons en bois et ensuite ils enveloppent le pratiquant dans une couverture épaisse, la tête à l'intérieur et les pieds qui sortent. Les pratiquants peuvent à peine respirer. Deux gardiens sont assis sur la couverture et appuient fort sur la tête et la poitrine, tandis qu'un autre gardien choque les pieds de la victime avec une matraque électrique. En l'espace d'une demi-heure la victime perd connaissance. Au moment où la victime reprend connaissance, les gardiens lui donnent des coups de poing au visage jusqu'à ce que sa bouche saigne, son visage soit enflé et qu'il ait perdu des dents.

Méthode de torture n°9 : Appuyer sur les globes oculaires et les parties génitales

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C'est aussi une méthode très cruelle de torture. Les gardiens enferment le pratiquant dans une cage métallique, les deux mains menottées aux barreaux de la cage. Un gardien maintient la tête de la victime depuis l'extérieur de la cage et appuie très fortement sur les globes oculaires de la victime avec les deux pouces. La victime ressent une douleur extrême et perd la vue pendant plus d'une demi-heure. (Le gardien Liu Dong a torturé les pratiquants avec cette méthode.) Les gardiens brûlent aussi les doigts des pratiquants et appuient fort sur les parties génitales des pratiquants.

Méthode de torture n°10 : Accroché

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photo 43 menotté à l'horizontale photo 44 suspendu par les menottes

Méthode pour accrocher I : Les mains du pratiquant sont menottées et il est accroché par les menottes à une porte en fer. Les gardiens, en présence de Zhang Haiping et Jin Fuli, frappent cruellement le pratiquant. Pour montrer leur loyauté à leurs supérieurs, les gardiens mettent une matraque électrique dans la bouche du pratiquant et lui font des chocs dans la bouche. La victime souffre de graves douleurs. Il faut beaucoup de temps pour récupérer.

Méthode pour accrocher II : Cette torture est également connue comme « menotté de travers ». Le pratiquant est menotté à une porte métallique, une main en haut et l'autre en bas. Ses épaules sont étirées en travers au maximum. Il ne peut pas bouger, se redresser ou changer de position. La majeure partie du poids corporel est mis seulement sur une jambe et il ne peut pas tenir la tête droite, ce qui rend la respiration difficile. La douleur est atroce.

Méthode pour accrocher III : Cette torture est également connue comme menotté à l'horizontale. Les bras du pratiquant sont étirés horizontalement au maximum et menottés à une porte métallique. Après un long moment dans cette position, les épaules de la victime sont disloquées ; les bras sont engourdis et la victime bouge avec de grandes difficultés.

Méthode pour accrocher IV : Cette torture est également connue comme « suspendu par les menottes ». Les bras du pratiquant sont maintenus ensemble, étirés et menottés à une porte métallique.

Méthode de torture n°11 : « Arracher les racines »

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Le pratiquant doit croiser les jambes dans la position du double lotus, ensuite on l'aplatit par terre face contre terre. Les bras du pratiquant sont alors tordus dans le dos et poussés aussi haut que possible vers la tête. Un des gardiens piétine alors les bras du pratiquant, tandis qu'un autre lui piétine le dos et qu'un troisième lui marche sur la nuque. Puis les gardiens frappent le pratiquant dans le dos avec un bâton en bois. Les détenus Wang Jing, Shen Chuang, Guo Laowu et Han Shuping ont aussi participé à cette torture des pratiquants.

Méthode de torture n°12 : Frapper les côtés

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Un gardien saisit la nuque du pratiquant par derrière et le tire en arrière sans avertir. Puis deux détenus frappent les côtés du pratiquant avec leurs poings.

Méthode de torture n°13 : Gavage

Voici les étapes de la torture :

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1. Les bras du pratiquant sont fixés aux accoudoirs d'une chaise métallique et placés dans des anneaux métalliques. Ses jambes sont maintenues en place par des bandes de cuir et des anneaux métalliques. La partie supérieure du corps est attachée au dos de la chaise avec des bandes de cuir. Ainsi le pratiquant est fixé solidement à la chaise. Voir photo 49.

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2. Si le pratiquant refuse de coopérer, le médecin de la prison pince et blesse le visage du pratiquant (les parties en-dessous des pommettes). Les gardiens utilisent le manche d'un tournevis pour frapper le visage du pratiquant et pour le forcer à ouvrir la bouche. Voir photo 50.

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3. Si la méthode ci-dessus ne marche pas, le médecin de la prison utilise un instrument de fouilles d'environ 30 cm. de long et 4cm. de large pour lui ouvrir la bouche (photo 51). Le médecin peut également utiliser une pince pour lui ouvrir la bouche. Une fois la bouche ouverte, on laisse la pince à l'intérieur de la bouche pour appuyer contre la gorge, ce qui cause des difficultés à respirer. Les incisives sont endommagées ou peuvent même tomber à cause de la pince. Un flux important de sang sort de la bouche. Voir photos 51 et 52.

photo 53 photo 54 photo 55

4. Photos 53, 54 et 55 : Gavage. Les gardiens insèrent un tube aussi large qu'un doigt à travers une narine du pratiquant jusqu'à l'estomac. Comme forme de torture, ils insèrent et retirent le tube sans cesse, jusqu'à ce que le pratiquant souffre d'atroces douleurs et que tout son corps se convulse. Puis ils le gavent de substances puantes, non pas pour le nourrir, mais comme forme de punition.

Méthode de torture n°14 : Injection de substances inconnues

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Après le gavage, les gardiens et le médecin de la prison utilisent de très grosses aiguilles pour injecter des substances inconnues dans le ventre ou les jambes du pratiquant. Puis ils mettent le pratiquant dans une petite cellule. Après 10-20 minutes, le pratiquant va vomir et souffrir de diarrhée grave, qui va durer environ 2 heures. Puis le pratiquant va ressentir une soif intense. Certains pratiquants perdent même connaissance, bien qu'ils aient les yeux grands ouverts et fixes. Les gardiens notent les symptômes du pratiquant en détail. Nous supposons que ces tortures sont en fait des expériences avec cette substance. Cette torture dure depuis octobre 2000. Les tortionnaires sont les gardiens Zhang Haiping, Jin Fuli, Ma Yong, Shi Qingshan et plusieurs détenus. En 2005, deux supérieurs du renforcement de la loi ont aussi regardé les tortures. Les pratiquants torturés ainsi sont entre autres Shi Baodong, Wang Zhoushan, Wang Wenqing et Wang Guiling.

Méthode de torture n°15 : Poussé dans un coin

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Le pratiquant est emmené à la chambre de torture et on lui enfonce un casque sur la tête. Les gardiens lui menottent les mains dans le dos, puis le poussent dans un coin de la pièce avec un grand coffre. Ils empêchent le pratiquant de s'asseoir, de dormir ou de s'appuyer contre le mur. Si le pratiquant ferme les yeux, les gardiens vont le frapper sur le casque avec des bâtons en bois. Ils forcent également le pratiquant à regarder des programmes vidéos calomniant Falun Dafa, tournant le volume aussi fort que possible. Si le pratiquant reste ferme dans sa croyance, ils choquent le pratiquant à la tête, au visage, à la nuque, au dos ou au pénis avec des matraques électriques. Les gardiens les plus cruels sont Li Songtao, Feng Zibin, Zhang Chunfeng et Wang Jianguo. Feng Zibin a dit une fois : « Nous allons vous laisser pourrir ici si vous refusez de vous 'réformer'. »

Les dirigeants du camp de travail Zhang Haiping et Jin Fuli ont donné des instructions et les gardiens du groupe n°2 ont directement participé à torturer les pratiquants. Les gardiens sont : Li Songtao, Han Lihua, Feng Zibin, Zhang Chunfeng, Zhang Jiabin, Mu Jinsheng, Mu Huaisheng, Wang Jianguo, Yan Guosheng, Han Jianjun, Yan Tinglun et le médecin de la prison Shi Qingshan. Ces gardiens étaient divisés en trois équipes, chaque équipe avait désigné quelques détenus. Après la torture, les jambes des pratiquants devenaient noires et bleues, les os étaient déformés et ils n'arrivaient pas à marcher ou à se concentrer. Même après plusieurs semaines, et pour certains deux ans plus tard, les pratiquants n'arrivaient toujours pas à marcher normalement.

Méthode de torture n°16 : Chaise métallique et électrochocs

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Le pratiquant est fixé à une chaise métallique, ensuite les gardiens choquent le pratiquant à la nuque, au menton et au ventre sans cesse. La torture continue jusqu'à ce que le pratiquant se 'réforme'. Le pratiquant a le corps couvert de brûlures et les habits collent à la peau.

(à suivre)

Le 25 novembre 2005

11/25/2005
Traduit en Suisse le 19 décembre 2005

Version anglaise disponible à :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2005/12/17/68000.html

Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.ca/mh/articles/2005/11/27/115287.html

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