Le camp de travaux forcés de Shuangkou dans la ville de Tianjin est un repaire de perversité utilisé pour persécuter les pratiquants.

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Le camp de travaux forcés de Shuangkou situé dans le quartier de Beichen de la ville de Tianjin est un repaire de perversité où les pratiquants de Falun Gong sont cruellement persécutés. Des milliers de pratiquants y font l’expérience d’une persécution effroyable. Les tortures incluent des coups avec des matraques électriques, des coups de bâtons, des coups sur le visage à l’aide de lanières de pneus, la privation de sommeil, l’interdiction d’utiliser les toilettes, les insultes, être forcé à garder la même position pendant longtemps, des coups brutaux, du travail forcé et le lavage de cerveau. Ils menacent et trompent également les membres des familles des pratiquants de Falun Gong pour les faire participer à la persécution. Ce qui suit n’est qu’une infime partie de la persécution dont j’ai été témoin dans la camp de travaux forcés de Shuangkou.

Des détenus frappent publiquement à mort M. Chen

Il y a deux ans, quand des criminels désignés par les gardes insultaient et salissaient le Maître et Dafa, M. Chen Baoliang, un pratiquant du quartier de Beichen dans la ville de Tianjin, s’est levé et leur a dit calmement, ”Vous pouvez vous disputer si vous avez des raisons suffisantes, mais n’insultez pas comme bon vous semble”. Simplement pour avoir dit cela, les criminels ont battu M. Chen à mort. Les gardes ont plus tard emmené son corps à l’hôpital et ont eu un certificat médical qui disait que M. Chen était mort d’une ”attaque cardiaque”. Les meurtriers n’ont pas été tenus responsables de leurs actions. Au contraire, ils ont été relâchés trois mois avant le terme de leur peine comme récompense pour avoir ”activement soutenu les agents du gouvernement”.

M. Chang Tianxiang est brutalement battu

Quand le bureau 610 a été établi dans la ville de Tianjin, le camp de travaux forcés de Shuangkou a également ouvert un cours de lavage de cerveau de 100 jours. Les gardes de la police ont préselectionné quatre criminels comme hommes de main, qui étaient encouragés à utiliser la violence contre les pratiquants de Falun Gong.

Un jour ces criminels ont trainé M. Chang Tianxiang dans des toilettes, l’ont déshabillé, poussé au sol, et frappé en utilisant un bloc de bois. Alors qu’ils le frappaient toujours, ils ont demandé ”Tu vas encore pratiquer?” Quand il a répondu ”Oui” ils ont continué la torture. Par conséquent, M. Chang a été battu jusqu’à tomber dans le coma. Ils l’ont réanimé avec de l’eau froide et l’ont de nouveau battu jusqu’à ce qu’ils soient exténués. Ensuite ils ont trainé M. Chang qui en était à son dernier soupir jusque dans sa cellule et l’ont laissé allongé sur le sol. M. Chang est toujours illégalement détenu dans le camp.

Les gardes responsables de cela sont Zhen, Yao Chunlai, He Jun entre autres. Les hommes de mains sont Chang Guanghua, Liu Kun, Yu Xiang et San’er (surnom).

Les gardes retirent les pendules pour empêcher les pratiquants d’envoyer des pensées droites à la même heure que tous les autres pratiquants du monde.

Pour protester et dénoncer la persécution, tous les pratiquants détenus envoient des pensées droites toutes les heures, ce qui effrait les forces perverses. Quand ils ont enlevé les montres et confisqué tous les radios-réveille, les pratiquants ont utilisé tous les moments disponibles pour envoyer des pensées droites. Les gardes sont devenus même plus effrayés, donc ils gardent leurs yeux sur les pratiquants. S’ils trouvent quelqu’un en train de concentrer ses pensées, ils vont crier ”Pas d’envoi de pensées droites”.

Les gardes sont fiers de leurs actes pervers.

Fin 2003 le garde Fu s’est vanté de ses expériences précédentes en matière de persécution de pratiquants. Il a dit qu’avant, il était responsable du lavage de cerveau des pratiquants et qu’il était tellement en colère quand il ne pouvait trouver davantage d’arguments pour se justifier qu’il a soudainement donné un coup de pied dans le visage d’un pratiquant. Deux morceaux de chair ont été arrachés du visage du pratiquant et se sont collés à la chaussure du garde quand il a mis son pied par terre. Quand le garde parlait de cela, son visage était empli d’exaltation et ne montrait aucune culpabilité.

Il y a deux autres gardes malffaisants dans la troisième division du camp de travaux forcés de Shuangkou, Wu Mingxing et Han Jinxi.

Actuellement, il y a des douzaines de pratiquants illégalement détenus dans le camp de travaux forcés de Shuangkou, dont Ma Jian, Wu Jianzhong, Cheng Jilin, Liu Bowen, Zhu Qinghe, Chang Tianxiang, Huang Liqiao, Luo Yuanbei, Fang Keshan, Cao Chengyue et Xu Xiaolong entre autres. Parmi eux, M. Ma Jian a été forcé de divorcer, laissant ses parents âgés et en mauvaise santé tous seuls à la maison. Cependant, M. Ma cultive toujours fermement Dafa malgré une persécution si rude.

Traduit le 16 décembre 2005 de l’anglais
GLOSSAIRE

Version anglaise disponible sur :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2005/12/5/67558.html

Version chinoise disponible sur :
http://minghui.ca/mh/articles/2005/11/16/114647.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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