Juin 2005 : 230 cas de morts vérifiées parmi les pratiquants de Falun Gong incarcérés (Photos)

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

En juin 2005, les décès de pratiquants de Falun Gong en Chine en raison de la persécution ont été vérifiés. Depuis que le régime de Jiang a commencé sa persécution du Falun Gong, le 20 juillet 1999, les pratiquants ont été torturés à mort et leur décès ont été vérifiés à travers les canaux civils.

Des 230 décès par la torture, vérifiés en juin, 59 ont eu lieu entre janvier et mai 2005 et 15 ont eu lieu en juin 2005. Soixante-deux pour cent (62%) des pratiquants torturés à mort étaient des femmes et soixante-trois pour cent (63%) avaient plus de 55 ans. En outre, selon les statistiques préliminaires du site Internet de Minghui/Clearwisdo, au moins 271 pratiquants sont morts sous la persécution entre janvier et juin 2005 et parmi eux, 230 cas de décès ont été vérifiés.

Ces 230 décès à cause de la persécution s’étalent dans 24 provinces, villes et régions autonomes. De ces victimes, 43 pratiquants étaient de la province de Hebei, 26 de la province de Jilin, 21 de la province de Liaoning, 18 de la province de Shandong, 18 de la province de Heilongjiang, 16 de la province de Sichuan, 13 de la province de Henan, 13 de la province de Jiangsu, 11 de la province de Hunan, 9 de la province de Hubei, 7 de Pékin, 5 de la région autonome de Xinjiang, 5 de la province de Gansu, 3 de la région autonome de la Mongolie Intérieure, 3 de la province de Guangdong, 3 de la région autonome de Guangxi, 2 de la province de Yunan, 2 de la province de Jiangxi, 2 de la ville de Chongqing, 1 de la province de Anhui, 1 de la ville de Tianjin, 1 de la province de Shannxi, 1 de la province de Shanxi et 1 de la province de Zhejiang. Encore cinq autres cas n’ont pas pu encore être documentés, en ce qui concerne le secteur impliqué, à cause du blocage d'information du PCC (Parti communiste chinois).

Ces pratiquants ont subi une torture physique sauvage et un tourment mental inhumain avant de mourir.

Cet article se concentre sur deux cas. Le cas de Gao Rongrong, ancienne comptable à l'Institut de Beaux-Arts de Luxun et le cas de Han Junmiao, ancienne directrice du bureau de recrutement du Bureau d'éducation du comté de Xiong dans la ville de Baoding.

Le Bureau 610 a assassiné Mme Gao Rongrong après que les autorités du camp de travaux forcés l’aient défigurée

Mme Gao Rongrong n’avait que 37 ans et travaillait comme comptable à la Division financière de l'Institut de Beaux-Arts de Luxun dans la ville de Shenyang, province de Liaoning. En juillet 2003, Gao Rongrong a été arrêtée et envoyée au camp de travaux forcés de Longshan. Afin de lui faire abandonner le Falun Gong, Tang Yubao, le chef adjoint de la division No.2 et le chef d'équipe Jiang Zhaohua, ont fait subir à Gao Rongrong des chocs avec des matraques électriques sans arrêt pendant sept heures, à compter de 15h:00, le 7 mai 2004. Le visage de Gao Rongrong a été sévèrement défiguré. Ses cheveux étaient collés dans le pus et le sang de la peau de sa face calcinée. Son visage gonflé ne montrait que de simples fentes à la place des yeux et sa bouche était également tordue en raison de l’enflure. Même les détenus de sa propre cellule ne pouvaient la reconnaître.

Gao Rongrong, comptable à l’Institut de Beaux-Arts de Luxun à Shengyang

Gao Rongrong a été torturée le 7 mai 2004. Son visage était couvert de cicatrices de brûlures. Cette photo a été prise 10 jours après cette torture.

Le soir du 7 mai 2004, Gao Rongrong a sauté de la fenêtre du 2e étage du bureau de ses bourreaux pour éviter de plus amples persécutions. Plus tard, on a diagnostiqué 2 fractures de la région pelvienne (bassin), une jambe sévèrement brisée et l’os de son talon droit était fendu.

Les autorités du camp de travail l'ont envoyée à l’Hôpital Général de l’Armée de Shenyang et plus tard l'ont transférée à l'hôpital de police de la ville de Shenyang. Le 18 mai, Gao Rongrong a été envoyée à la salle 533 de la Division d'Orthopédie No. 2, de l’hôpital No.1, affiliée à l'université médicale de la Chine.

Après plus de trois mois de mauvais traitements, le 9 août 2004, Gao Rongrong a commencé à uriner du sang. Elle ne pouvait ni manger, ni boire et n’avait que la peau et les os. Elle avait les yeux creux. Elle ne pouvait pas les fermer et avait l’air horrible. Le docteur a dit qu'elle pouvait mourir n'importe quand et de nombreux avis sur son état critique ont été publiés. Cependant, le Bureau juridique de la ville de Shenyang, le directeur en chef du camp de travaux forcés de Longshan, ont refusé de la libérer et ont donné l’ordre au médecin de garde de lui donner des soins d’urgence si elle perdait connaissance et qu’elle ne serait pas libérée, même si elle mourait.

En dépit d’une surveillance policière des plus étroites les compagnons pratiquants sont venus à la rescousse de Gao Rongrong, à l'hôpital, le 5 octobre 2004.

Après avoir fait connaître à la communauté internationale le visage défiguré de Gao Rongrong, beaucoup de personnes au cœur de bonté ont exprimé leur irritation et leurs inquiétudes. Les services gouvernementaux chinois impliqués ont non seulement, pas poursuivi les responsables de la torture de Gao Rongrong, mais Luo Gan, le chef du Bureau 610 central, a personnellement mis en marche une revanche contre Gao Rongrong en déclarant : « Cet incident a causé beaucoup trop de remous dans la communauté internationale. » Il a ordonné à ses subordonnées de « prendre soin de son cas ». Le Ministère pour la sécurité publique et le Bureau judiciaire de la ville de Shenyang a étiqueté No. 26, son évasion en tant que cas prioritaire de la plus haute importance. Un Groupe spécial relatif à son cas a été établi au bureau de sécurité de la ville de Shenyang et le bureau juridique de la ville a publié un « Avis pour de l'aide dans cette enquête. » Les pratiquants de Dafa qui ont sauvé Gao Rongrong, y compris Feng Gang, ont été arrêtés et ils sont présentement brutalement torturés.

Le 6 mars 2005, Gao Rongrong a été de nouveau arrêtée. Cette fois les bourreaux ont fait de leur mieux, pour faire « disparaître » Gao Rongrong. Les autorités du camp de travaux forcés de Zhangshi, le camp de travaux forcés de Masanjia, le Département juridique de la province de Liaoning, le Bureau de ré-éducation de la province de Liaoning et les gens de l'Institut de Beaux-Arts de Luxun ont fait les commentaires similaires à ceux du gouvernement au sujet de Gao Rongrong. Personne n’a dit , ni mentionné où elle se trouvait, ni dans quel état elle se trouvait.

Les parents de Gao Rongrong sont allés au camp de travaux forcés de Masanjia de nombreuses fois pour s’enquérir de son état et pour la rencontrer. Su Jing, femme chef du camp de travail a menti et a dit que Gao Rongrong n’était pas là et que le gouvernement étudiait son cas et qu’elle-même, ne pouvait voir Gao Rongrong. Plus tard, elle a changé son histoire et a dit : « Gao Rongrong est ici et elle mange bien. Elle est en grande forme! » Wang, un autre chef du camp de travail a dit à ses parents le 4e jour de l'hospitalisation de Gao Rongrong : « Nous n'avons jamais voulu l'accepter pour commencer. Ce sont ces 'Autorités supérieures ‘ qui nous ont forcés à l’accepter. Ce sont elles qui doivent décider si oui ou non, vous pouvez la voir ou si elle doit être libérée.

L’ancienne unité de travail de Gao Rongrong, l’Institut de Beaux-arts de Luxun de la ville de Shenyang a clamé faussement dans un document paru, plus tard en mars 2005 que Gao Rongrong avait quitté la
Chine.

Le 6 juin 2005 Gao Rongrong a été envoyée à l’hôpital No. 1 affiliée au centre médical universitaire de la Chine pour soins d’urgence. Le médecin traitant a dit : « Gao Rongrong était dans un état critique lorsqu’on nous l’a confiée. » Le 16 juin, Gao Rongrong est décédée à l’âge de 37 ans après avoir souffert de nombreuses tribulations.

Selon des témoins, l'hôpital n'a pas fourni de traitements nécessaires à Gao Rongrong et ni ne l'a fait manger. Un de parents de Gao Rongrong possédant des connaissances médicales a immédiatement précisé que Gao Rongrong n'avait pas reçu assez de suppléments alimentaires et que ceux qui lui avaient été administrés n'étaient pas appropriés à son état. Le parent a conclu que Gao Rongrong a souffert d’atrophie musculaire systémique due à la malnutrition à long terme.

Selon le médecin, un examen médical a indiqué des anomalies au cerveau de Gao Rongrong. Il soupçonnait qu’on lui avait injecté des drogues destructrices.

Vers les 9:00 heures, au matin, le 12 juin, après avoir reçu un avis, les parents de Gao Rongrong se sont précipités à l'hôpital. Ils ont vu que Gao Rongrong était au seuil de la mort après avoir été diagnostiquée d’un effondrement systémique. Son poulx était très faible et elle respirait à l’aide d’un réservoir d'oxygène. Elle n’avait que la peau et les os. Elle était sans connaissance et n’avait plus aucune réaction aux stimuli externes. Les cicatrices sur son visage causées par les chocs étaient encore profondes et effrayantes. Même alors qu’elle était dans cet état, Gao Rongrong était toujours surveillée et gardée par une vingtaine de personnes. Ils étaient assez sans coeur pour oser même demander au docteur à plusieurs reprises en présence de ses parents : « Quand peut-on s’attendre à ce qu’elle meure? »

La famille de Gao Rongrong a demandé aux fonctionnaires du camp de travail de Masanjia et aux fonctionnaires de l'hôpital le profil et les dossiers médicaux de Gao Rongrong, mais leur demande a été refusée. Même plusieurs jours avant que Gao Rongrong ne soit décédée, les bourreaux ont commencé à faire courir dans le voisinage que Gao Rongrong « s’était suicidée en faisant une grève de la faim »

Après la mort de Gao Rongrong le Bureau 610 et la police ont interdit à la famille de voir son corps et les ont forcés à laisser à la police le soin de surveiller et de manipuler son corps. Ils ont même essayé d’intercepter les reçus pour l'Accord sur le dépôt de la dépouille et l’Avis sur l’entrée et la sortie de la dépouille du congélateur, afin qu’ils puissent faire incinérer le corps à la morgue de la ville de Shenyang. Leur peur de rétribution et leur intention d’esquiver toutes responsabilités pour la mort de Gao Rongrong est très visible.

Han Junmiao a été torturée à mort pour avoir refusé de se faire « transformer » ( Réformer )

Mme Han Junmiao avait 53 ans et était la directrice du bureau de recrutement du Bureau d'éducation du comté de Xiong, ville de Baoding. Avant qu'elle ne commence à pratiquer le Falun Dafa, elle souffrait de plusieurs maladies, telles qu’une maladie cardiaque, une affection hépatique, l’enflure des jambes et d’autres. Ces états ont disparu après qu'elle ait commencé à pratiquer le Falun Gong. Elle a bénéficié mentalement et physiquement de la pratique. Elle a travaillé diligemment et était bien aimée et respectée de ses collègues et ses supérieurs au travail. En 1998 la salle de bains dans le bureau d'éducation avait besoin de réparations. L'eau sale se répandait partout durant cet été chaud et personne s’en occupait. Han Junmiao s’en est occupée elle-même sans aide et elle a même pavé le plancher de briques. En tant que Directrice de recrutement, elle n'a jamais accepté de pot de vin ou tiré profit des avantages normalement liés à sa position.

En novembre 1999, les fonctionnaires du Secteur politique et de la sécurité du Département de police sont venus au bureau de Han Junmiao. Prétextant que Ning Hongmao, le secrétaire du Comité politique et judiciaire voulait causer avec elle, ils l'ont illégalement détenue. Dix jours plus tard les fonctionnaires du Secteur politique et de la sécurité l'ont envoyée à l'hôpital psychiatrique de la ville de Baoding où quatre hommes l'ont maintenue pour que lui soit injecté une drogue qui endommage le système nerveux central. Lorsque la drogue a pris effet Han Junmiao ne pouvait ni s'asseoir, ni se coucher. Mme Han a été ainsi torturée pendant deux semaines à l'hôpital psychiatrique et a souffert un traumatisme mental et physique grave.

Tôt en octobre 2000, Dong Aihua, Zhao Daping et Wang Jianjun du Secteur politique et de la sécurité sont venus sur les lieux du travail de Han Junmiao encore une fois et l'ont emmenée à un centre de détention. Son mari n'était pas à la maison à ce moment-là. La plus jeune de leurs filles n’avait alors que dix ans et n’a pas pu trouver sa mère lors de son retour à la maison de l'école. En novembre, Han Junmiao a commencé une grève de la faim pour protester contre sa détention illégale. Environ dix jours plus tard elle a été condamnée à trois ans de travaux forcés et envoyée au camp de travaux forcés de la ville de Baoding.

Pendant les 12 jours au camp de travaux forcés de Baoding, elle a été menottée pendant plusieurs nuits à la balustrade de l'escalier. Des dizaines de policiers l'ont poussée au plancher pour lui faire subir des chocs électriques sur la plante des pieds jusque dans le bas du dos. Par la suite, on lui a mis des matraques électriques dans la bouche. Elle a reçu des chocs électriques sur la tête et le dos. On n’a pas permis à Mme Han de dormir et elle a dû rester debout dans l’eau 24 heures sur 24 pendant 4 jours sans arrêt. Néanmoins, le camp de travail n'a pas pu ébranler sa foi en Dafa. Elle a été alors transférée au camp de travaux forcés de Gaoyang.

Au camp de travaux forcés de Gaoyang, elle a été de nouveau injectée avec des drogues qui nuisent au système nerveux central, qui pendant un certain temps l'ont rendue mentalement incohérente. Elle a été enfermée à clef dans une cage en acier pendant dix jours où elle ne pouvait ni s'asseoir ni se tenir droit debout.

En décembre 2000, pour avoir refusé d’écrire la supposée déclaration de garantie prouvant son abandon de la pratique du Falun Gong Han Junmiao a été placée dans énorme entrepôt, d’un froid glacial, sans fenêtre. Elle a été menottée à un anneau d’acier apposé au plancher de béton, et elle n’avait ainsi que la possibilité de s'accroupir. Elle ne pouvait ni s'asseoir ni se tenir debout toute la journée et était privée de sommeil. Se laver, pour l'hygiène personnelle, lui était interdit. Si une personne est soumise à ce genre de torture, elle éprouve de l'engourdissement dans les jambes après une heure de cette torture et ne peut se pencher en raison de la douleur au dos. Après 2 jours, menottée comme ceci, ses mains et ses bras sont devenus gravement enflés. Elle a été menottée de cette manière pendant cinq jours environ.

Vers le mois de juillet 2001, il faisait une chaleur étouffante. Han Junmiao a été menottée dans la cour, sous le soleil brûlant. Elle n’a pu ni se tenir debout ni encore s'asseoir de toute la journée et on lui a interdit le sommeil. Elle a été menottée ainsi pendant plusieurs jours.

La police ne pouvait toujours pas réussir à persuader Han Junmiao à changer d'avis au sujet de Dafa, même après qu'elle ait eu à souffrir la torture que le camp de travail de Gaoyang utilisait sur les pratiquants de Dafa : le Banc du tigre, le gavage d’eau poivrée, d’excréments et le Lit de mort. Les gardiens l’ont emmenée aux champs en soirée pour la battre sans pitié et pour que des serpents et de la vermine la morde. Le camp de travaux forcés de Gaoyang l’a transférée plus tard au camp de travaux forcés de la ville de Shijiazhuang pour continuer la persécution.

Après son retour à la maison, lorsque la peine de Han Junmiao touchait à sa fin, Li Chengqun, chef du Bureau 610 du comté de Xiong, a ordonné à ses subalternes de continuer à la torturer physiquement. En octobre 2004, Li Chengqun a envoyé des agents chez Han Junmiao pour l’arrêter et on l’a envoyée directement au camp de travaux forcés de Baoding. Le camp de travail a refusé de l’accepter à cause de sa faiblesse. Alors Li Chengqun a envoyé Han à la session de classes de lavages de cerveau du comté de Xiong pour une autre période de tortures cruelles.

Mme Han avait été torturée jusqu’alors, au point de ne plus pouvoir manger. Elle vomissait chaque fois qu'elle mangeait. Quelques jours plus tard, la mère de 90 ans de Han Junmiao est allée lui rendre visite. Quand elle a vu l'état terrible dans lequel sa fille se trouvait, elle les a suppliés de la laisser ramener sa fille à la maison. La mère impatiente a sorti les seuls 300 yuans qu'elle possédait et les a donnés à une gardienne du nom de Zhang Guoli. À contre-cœur, ils ont alors donné congé à Han Junmiao. Même après que Han Junmiao soit retournée à la maison, Li Chengqun du Bureau 610 n'a toujours pas voulu la laisser tranquille et a continué la persécution. Il a envoyé des gens pour l'observer toute la journée, la harceler et la surveiller et a dit : « Lorsqu’elle pourra se lever à nouveau, nous l'enverrons au camp de travail encore une fois. »

Après sa libération du camp de travail, on ne lui a pas permis de retourner à son travail. Puisque la famille devait envoyer deux enfants à l'école et son mari ne faisait pas beaucoup d’argent, ils avaient des difficultés financières. Elle a pétitionné plusieurs fois pour récupérer son travail, mais en raison de la pression du Bureau 610, sa requête a été ignorée. Au printemps 2005, Han Junmiao a commencé à se rendre au bureau chaque jour. Si son patron ne lui assignait aucun travail, elle nettoyait. Après deux mois, son patron a dit qu'il discuterait avec le Bureau 610 de la question du salaire. Le lendemain en dépit de cela, Li Chengqun et environ huit hommes sont venus chez elle. Ils ont menti à son mari en disant : « Le camp de travaux forcés de Baoding a appelé et Han Junmiao doit aller passer un examen physique. » Mme Han a refusé de les accompagner. Li a alors donné l’ordre à plusieurs hommes de la traîner et de la jeter dans le véhicule. Quand ils sont arrivés à destination, le camp de travail a refusé de l'accepter. Li a dû retourner Han à la maison et a continué à la faire surveiller constamment.

La famille entière de Han Junmiao ne pouvait pas vivre une vie normale à cause du harcèlement et des persécutions continuelles. Han Junmiao ne pouvait pas pratiquer et ni cultiver normalement et se trouvait dans une énorme détresse physique et mentale. Sa santé s’est détériorée et elle est morte tôt le matin du 6 mai 2005. Elle avait 53 ans.

Chaque cas est une dette de sang. Chaque cas représente une corde autour du cou du bourreau. La bonté sera récompensée et la perversité récoltera son propre péril. Le jour de la reddition des comptes pour le PCC lorsqu’on le jugera responsable de toutes les atrocités commises pendant cette persécution féroce est imminent.

http://www.vraiesagesse.net/glossaire/glossaire.htm

TRADUIT AU CANADA : le 12 juillet 2005

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2005/7/6/105536.html

Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2005/7/12/62813.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.