Comment les malfaiteurs dans les commissariats de police, les camps de travaux forcés et le comité du Parti dévastent la conscience et assassinent l'esprit

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Ci-dessous une histoire vraie concernant la persécution sauvage et impitoyable d'une pratiquante de Falun Gong, Mme Wang Zhijun, qui a finalement trahi sa conscience et qui, d'une bonne et honnête personne, est devenue une personne qui diffame le Falun Gong et persécute les pratiquants pour venir en aide à ses bourreaux. Elle n'a pas le courage d’admettre qu’elle a été torturée en raison de la contrainte et de la pression qui lui ont été imposées par ses bourreaux.

Wang Zhijun vivait à Zhangjiakou, province de Hebei. Les malfaiteurs du commissariat de police de Laoyazhuang, du centre de détention de Shisanli, du commissariat de police de Maludong, du camp de travaux forcés de Gaoyang et du comité du Parti de l'usine de machinerie de Yanxing dans la province de Hebei sont responsables de cette tragédie.

Le 8 décembre 2001, le mari de Wang Zhijun a été sauvagement battu et enlevé par des malfaiteurs lors d’un affichage de tracts de clarification de la vérité au village de Ningyuan. Il a été envoyé au commissariat de police de Laoyazhuang. Quand Wang Zhijun est allée au commissariat de police en soirée et a demandé à voir son mari, au début, la police lui a menti et a nié que son mari était incarcéré-là. Plus tard, ils ont dit, « Revenez demain et alors vous pourrez le ramener à la maison. »

Mme Wang est retournée le lendemain et a trouvé son mari menotté à un Banc du tigre. Son visage était noir et bleu, le tour de ses yeux était noir et ses lèvres étaient gravement enflées. Un policier a demandé à Wang Zhijun des détails sur l'unité de travail de son mari, « Si vous nous le dites, nous le libérerons ». Cependant, quand elle les lui a révélé, le policier a refusé de libérer son mari. Elle a demandé, « Comment se fait-il que vous ne teniez pas parole? » Les policiers ont dit, « Voila comment nous vous traitons, vous, les pratiquants ; nous vous mentons, tout simplement! »

Wang Zhijun a continué à exiger la libération de son mari. La police l'a détenue, en violation de la constitution chinoise et l’a fouillée. On lui a pris la clef de sa maison et plus de 40 yuans en liquide. Ils l’ont escortée à la maison et ont saccagé le domicile de la famille. Lorsque Mme Wang a ramassé le portrait du Maître que la police avait jeté par terre, on l’a giflée à plusieurs reprises jusqu'à ce qu’elle voit des étoiles et que ses oreilles bourdonnent. On a déchiré tous ses vêtements. On a saccagé son domicile et enlevé la documentation de Dafa. On a également volé un meuble télé, trois enregistreurs, un lecteur de VCD, les livrets de comptes bancaires de la famille et leurs photos de mariage.

La police a ramené Wang Zhijun de nouveau au commissariat de police. Au début, on lui a menti et on l'a menacée, essayant de l'obliger à indiquer la source des documents de Dafa. En raison de son refus de parler, les malfaiteurs l'ont verbalement maltraitée et l’ont battue. Ils lui ont fait subir des électrochocs à la tête et au cou. Li Gang, le chef politique, a bâillonné Mme Wang avec une écharpe en la serrant fort sur sa bouche. Il lui a écartée les bras et l’a obligée à mettre ses bras autour d'un banc. Alors il l'a menottée de façon à ce qu'elle ne puisse ni se tenir debout ni s'asseoir. Un soir, deux ou trois policiers ont torturé Wang Zhijun pendant plus de deux heures dans la neige et ont essayé de l'inciter à renoncer à sa croyance.

La police a torturé Wang Zhijun plusieurs fois et a envoyé des collaborateurs pour la soumettre à un lavage de cerveau. Une fois, le chef du commissariat de police, le directeur politique en chef, Li Gang et six policiers ont battu et donné des coups de pied à Mme Wang jusqu'à ce qu'elle perde connaissance. Le jour suivant, le 17 décembre 2001, les malfaiteurs l’ont envoyée, elle et son mari, au centre de détention de Shisanli.

Wang Zhijun a fait une grève de la faim pour protester contre la persécution illégale au centre de détention. La police a donné l‘ordre aux détenus Shi Jumei et Wang Yumei de traîner Wang Zhijun hors du bureau, où on lui a pincé le nez et ouvert la bouche de force pour le gavage forcé d’une solution concentrée d'eau salée. Elle a lutté et l'eau salée lui a pénétré dans le nez, et ses vêtements ont été complètement imbibés. Une autre fois, lorsqu’elle étudiait les enseignements de Dafa avec d’autres pratiquants, le policier Guo l’a sortie de force, l’a poussée par terre, lui a piétiné la tête et a donné l’ordre à plusieurs détenus de la fouiller.

La famille ne pouvait supporter de ne rien faire tandis que Wang Zhijun et son mari étaient torturés, ainsi ils ont invité les policiers à des repas somptueux à leurs frais. La police a extorqué plus de 10.000 yuans à la famille, et les autorités du centre de détention ont extorqué 300 yuans en « frais de nourriture » avant que le couple ne soit libéré vers le 7 janvier 2002. Les jambes de Wang Zhijun étaient noires et bleues. La police a extorqué encore 5 000 yuans avant de rendre la bicyclette, des appareils et autres articles qui avaient été pris chez Wang Zhijun.

A partir de cette date, les malfaiteurs du commissariat de police de Laoyazhuang ont souvent menacé et ont continué à profiter financièrement de Wang Zhijun et de sa famille. En outre, ils sont souvent allés chez les parents de Wang Zhijun pour les harceler et les intimider. Les malfaiteurs de l'usine de machinerie de Yanxing, et de l'unité du travail de Wang Zhijun et de son mari, ont également donné l’ordre à la famille de surveiller le couple en les menaçant de punition grave, y compris de renvoi de leur travail si ils ne se soumettaient pas.

Afin de résister à la persécution, Wang Zhijun est allée Place Tiananmen pour dire au monde que le Falun Dafa est grandiose. Elle a été battue et a reçu des coups de pied par des policiers clandestins à Pékin et a été envoyée à un centre de détention de Pékin. Comme elle a refusé d'être photographiée, les policiers lui ont saisi et tiré les cheveux et lui ont frappé la tête contre un mur. Les malfaiteurs du commissariat de police de Maludong dans la ville de Zhangjiakou et de l'usine de machinerie de Yanxing l'ont prise et l'ont retenue au commissariat de police de Maludong. Le chef politique Deng Daping a interrogé Mme Wang. Deng Daping et les policiers Li Gang et Ma Yunqi du commissariat de police de Laoyazhuang ont fabriqué un faux document qui imposait une « amende » d’un montant de 10 000 yuans à Wang Zhijun et ils l’ont forcée à le signer. Ils ont ri de façon hystérique quand ils ont obtenu sa signature. Par la suite, ils l’ont transférée au centre de détention de Sisanli. Quelques jours plus tard, elle a été condamnée à 3 ans de travaux forcés et a été envoyée au camp de travaux forcés de Gaoyang.

A son arrivée, la gardienne Liu Huili a donné l'ordre de lui enlever tous ses vêtements et a menacé de la faire battre par des détenus si elle n'obéissait pas. Liu Huili a fouillé toutes ses affaires, y compris ses produits d’hygiène féminine. Elle lui a pris sa nourriture, son détergent et d’autres articles d'utilisation quotidienne. Le gardien Zhao Yanping a secrètement interrogé Wang Zhijun, l’a battue et lui a donné des coups de pied et l’a menacée en raison de son refus de coopérer.

À une occasion, les détenus Kan Chunying et le Li Yuping, qui avaient été envoyés pour surveiller Wang Zhijun, l'ont vue émettre des pensées droites. Ils l'ont traînée dans un coin des toilettes et lui ont donné de violents coups de pied à l’abdomen jusqu'à ce qu'elle en saigne et éprouve de grandes douleurs. Wang Zhijun refusait de réciter les règles du camp de travail alors Zhao Yanping l’a menottée et l’a frappée avec un éventail plié. Elle a également tenté de la troubler par des mensonges.

Les gardiens ont envoyé quatre collaborateurs pour raconter des mensonges tordus et lire des articles qui diffament le Dafa pendant neuf jours consécutifs. Les collaborateurs ont pris chacun leur tour pour soumettre Wang Zhijun à un lavage de cerveau vingt-quatre heures sur vingt-quatre, jusqu'à ce qu'elle soit au seuil d'un effondrement mental complet. Les gardiens Ma Li et Zhao Yanping ont dit aux collaborateurs, « Vous pouvez la torturer si elle est têtue. » Wang Zhijun a subi des mauvais traitements physiques ainsi qu’une énorme contrainte psychologique et elle a finalement écrit les trois déclarations contre sa conscience.

Vers le 1er octobre 2002, quand les fonctionnaires du gouvernement ont inspecté le camp de travaux forcés de Gaoyang ils ont dit à Wang Zhijun d'écrire en témoignage les mots suivants : « Il n’y a pas de passages à tabac dans ce camp de travail» À ce moment-là, elle avait l’esprit clair alors elle a dit aux inspecteurs que l’on faisait subir des passages à tabac dans ce camp de travail. Ma Li et le gardien Wang Zhijun l’ont réprimandée pour avoir dit la vérité. Les bourreaux ont intensifié les lavages de cerveau et la persécution envers elle et Wang Zhijun a eu un effondrement mental. Elle est devenue tout à fait différente et a commencé à aider les bourreaux à persécuter les pratiquants. Le gardien Liang Baoke a giflé Xu Suxia, une pratiquante immuable d’une cinquantaine d’années. Liang lui a fait subir des électrochocs par matraques électriques lui laissant des boursouflures de la grosseur d’un œuf sur les mains et le gardien Zhang Yanyan l’a piétinée. Wang Zhijun a tenté de persuader Xu Suxia à renoncer au Dafa. En 2003, elle a pris part à de nombreux programmes qui attaquaient le Maître et Dafa. Une fois lorsqu’un journaliste l’a interviewée au camp de travail et lui a demandé si la torture existait, elle ne pouvait pas reconnaître qu’elle-même avait souffert en détention et elle a dit que non, la torture n’existait pas.

Torturée par sa conscience, Wang Zhijun vivait dans l'angoisse et le désespoir. Finalement, elle a été alitée. Les autorités du camp de travail ont demandé à la famille de la ramener à la maison. Guo Hai, le chef de la division d'organisation de son unité de travail, et les policiers Hua Jianying et Yang Yi l'ont contrainte à écrire une autre déclaration de garantie pour briser ses liens avec le Dafa. Ils lui ont donné l’ordre à plusieurs reprises d’écrire des rapports au sujet de ses pensées [contre Dafa]. Li Shuquan, le chef de l’usine et Gao Shanlu, le secrétaire du Parti ont envoyé des gens pour l’espionner.

Une fois le mari de Wang Zhijun avait perdu toute sensation dans ses jambes et s’est effondré au travail. Il était très malade en raison de la torture subie au camp de travaux forcés. Wang Zhijun a demandé à avoir un arrêt de travail pour prendre soin de son mari et les malfaiteurs Huang Jie, Gao Shanlu, Guo Hai et autres ont obligé son père de plus de 60 ans à la surveiller.

Numéros de téléphone pertinents :

Usine de machinerie de Yanxing :

Zhu Jingliang: 86-313-4089858 (Domicile), 86-13703139993 (Portable), 86-313-4089868 (Bureau)

Guo Hai: 86-313-4089628 (Domicile), 86-13932381600 (Portable), 86-313-4089623 (Bureau)

Hua Jianying: 86-313-4066227 (Domicile), 86-13191914862 (Portable), 86-313-4089647 (Bureau)

Fang Shuhui: 86-313-4089869 (Domicile), 86-13903130875 (Portable), 86-313-4089876 (Bureau)

Gao Shanlu: 86-313-4089459 (Domicile), 86-313-4089461 (Bureau)

Huang Jie: 86-313-4088550 (Domicile), 86-13703138723 (Portable), 86-313-4089485 (Bureau) (on l’a dupé et il ne connaît pas la vérité sur le Dafa)

Autorités au camp de travaux forcés de Gaoyang

Femmes: Ye Shuxian, Ma Li, Zhao Yanping, Zhao Yuan, Duan Guanghui, Zhang Yanyan, Liu Huili

Hommes: Liang Baoke, Yang Zemin, Wang Zhitai

Commissariat de police de Laoyazhuang:

Li Gang, chef politique : 86-13503137505 (Portable)

Ma Yunqi, policier

Deng Daping, ancien chef politique du commissariat de police de Maludong, présentement préposé au commissariat de police de Nanzhan.

* Glossaire : http://www.vraiesagesse.net/glossaire/glossaire.htm

Traduit de l’anglais au Canada le 02 avril 2005

Version anglaise disponible à:
http://clearwisdom.net/emh/articles/2005/4/2/59112p.html
Version chinoise disponible à:
http://minghui.org/mh/articles/2005/3/21/97773.html


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