Beijing devient la capitale de la terreur dans la persécution de ceux qui croient en "Vérité-Compassion-Tolérance"

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Le Parti communiste chinois (PCC) n'a jamais osé reconnaître le fait que les pratiquants de Falun Gong sont persécutés en Chine. En fait, la persécution à Beijing de ceux qui croient en Vérité-Compassion-Tolérance est particulièrement grave. Des récits de première main venus de pratiquants révèlent comment les autorités à Beijing utilisent la violence pour les forcer à renoncer à leur croyance. En particulier, beaucoup d'organisations gouvernementales sont impliquées dans la brutale persécution, y compris le Département de police de la place Tienanmen, les départements de police des différents quartiers et comtés de Beijing, les centres de détention, certains hôpitaux, les prisons, le Centre d'expédition dans les camps de travail de Beijing, le Centre d'entraînement judiciaire (un centre de lavage de cerveau), et les différents bureaux de gouvernements locaux et provinciaux à Beijing En outre, le rôle que Beijing joue dans la persécution est particulièrement brutal dans la façon dont il mène les surveillances et exerce un contrôle sur la pensée des gens, créant une atmosphère terrifiante qui empêche les chinois de croire ou bien de maintenir leur croyance en Falun Gong.

La "surveillance mutuelle" empêche la protection des pratiquants de Falun Gong

Après plus de cinquante ans de campagnes politiques terrifiantes et souvent sanglantes lancées par le PCC, les chinois sont en permanence dans un état de frayeur. Lorsque la persécution des pratiquants de Falun Gong a été lancée pour la première fois, beaucoup de gens ont pensé que c'était une de ces campagnes, et que cela ne durerait pas longtemps. La plupart des gens étaient écoeurés par la persécution même s'ils ne connaissaient pas la vérité au sujet du Falun Gong. Cependant, remplis de peur et afin de s'auto protéger, ils n'ont pas osé défier publiquement les ordres venus de leur hiérarchie. Néanmoins, après avoir vu la vérité, des fonctionnaires du gouvernement ainsi que des employés ont pris des mesures alternatives afin de protéger les pratiquants de Falun Gong, en n'exécutant pas sérieusement, voir pas du tout, l'ordre du gouvernement de persécuter le Falun Gong. A Beijing, où le pouvoir du PCC est le plus hautement concentré, le fait même de prendre des mesures alternatives aussi modérées est un risque énorme pour les fonctionnaires.

Dans le District Chaoyang de Beijing, deux pratiquants ont été protégés pendant longtemps. Les officiers de police locaux de leur quartier savaient tous qu'ils étaient tous les deux de bonnes personnes. Quand les autorités ont finalement arrêté ces pratiquants, il s'est avéré que des fonctionnaires du District de Tongzhou étaient en fait responsables de cette arrestation.

Il a été plus tard confirmé que ceux qui recherchaient et arrêtaient les pratiquants venaient de quatre organisations différentes du gouvernement, comprenant le comité résidentiel local, l'association du voisinage, l'unité de travail des pratiquants, et une agence connue sous le nom de "bureau 610" laquelle a été spécifiquement créée pour persécuter le Falun Gong, avec un pouvoir absolu sur chaque niveau de l'administration dans le Parti et sur tous les autres systèmes politiques et judiciaires. Ceci était apparemment dans le but d'obliger les individus des quatre organisations gouvernementales à se surveiller les uns les autres en les mettant ensemble pour exécuter une seule tâche.

Normalement, la surveillance mutuelle est faite pour empêcher les gens de commettre de mauvaises actions, mais dans ce cas-là, elle est faite pour empêcher les gens de suivre leur conscience! Même s'il y a des gens, qui après avoir appris la vérité au sujet du Falun Gong, ne veulent pas être impliqués dans la persécution des pratiquants, en s'appuyant sur leurs expériences douloureuses et même sanglantes des campagnes politiques dans le passé, ils seront effrayés d'être dénoncés pour avoir protéger des pratiquants. Après tout, il y a toujours des gens qui veulent être promus ou bien obtenir une prime en exploitant l'opportunité de persécuter les pratiquants de Falun Gong. En outre, en se basant sur les expériences du passé en matière de différentes campagnes politiques sous le régime du PCC, se dénoncer les uns les autres, même parmi les proches, n'est pas inhabituel en Chine, laissé seul parmi les gens des différentes organisations. La méthode consistant à choisir des gens dans différentes organisations pour exécuter la persécution est une manière sinistre d'empêcher les fonctionnaires de protéger les pratiquants de Falun Gong.

Le lavage de cerveau est largement répandu dans les campus scolaires

Il y a beaucoup d'écoles à Beijing. Normalement, on peut penser que les écoles primaires et élémentaires restent hors de la politique, tandis que les collèges sont remplis d'idées diverses, de pensées et de liberté. En Chine, il y a des écoles centenaires, dont les anciens élèves se trouvent partout à travers le monde. Cependant sous l'étroit contrôle du PCC, les campus sont devenus les endroits où on lave le cerveau des gens et où on prive les élèves ainsi que les professeurs du droit fondamental à la croyance. En fait, dans la campagne de persécution contre le Falun Gong, les écoles de tous les niveaux, même les garderies, sont impliqués et aucun étudiant ou professeur n'est épargné.

En 2003, au moins 435 pratiquants de 210 collèges ont été envoyés de force dans différentes "classes de conversion" de lavage de cerveau, dans des camps de travaux forcés et dans des hôpitaux psychiatriques. Les fonctionnaires du système éducatif en Chine ont utilisé toutes les tactiques possibles afin de systématiquement persécuter les pratiquants, y compris mettre à la porte des professeurs et priver des étudiants de leur droit à une plus haute éducation. Depuis 1999, pour la seule Université de Tsinghua, plus de 300 professeurs, membres de faculté, titulaires de doctorat et étudiants diplômés et préparant une licence, ont été illégalement emprisonnés, licenciés, renvoyés de l'école ou ont été directement envoyés dans des camps de travaux forcés. Parce que les écoles prennent comme critère d'admission ou de remise de diplôme, l'attitude des étudiants envers le Falun Gong, les membres de leur famille et ceux qui les soutiennent ont perdu leur droit à être admis dans les écoles secondaires, les collèges, les universités, les écoles diplômantes, les écoles artistiques et militaires, etc.

Comme rapporté par l'Organisation Mondiale pour Enquêter sur la Persécution du Falun Gong (WOIPFG), Chen Zhili, l'ancienne Ministre de l'Education de la Chine, a mis en place la politique de persécution de Jiang Zemin dans le système éducationnel. Elle a personnellement donné des ordres au nom du Ministère de l'Education aux bureaux d'éducation au niveau provincial, municipal, de district et de comté pour encourager les professeurs et les élèves de chaque école à publiquement dénoncer le Falun Gong. Elle a également mis en place des forums spéciaux, des réunions organisées ainsi que des conférences pour critiquer le Falun Gong et elle a fait en sorte d'obliger les professeurs et les élèves à regarder des films diffamant le Falun Gong. Dans les écoles à travers tout le pays, ils ont organisé la soi-disant campagne du "Million de signatures" contre le Falun Gong. En plus, ils ont compilé et publié des informations calomnieuses sur le Falun Gong dans les livres d'écoles et les différents examens, y compris dans les examens d'entrée au collège.

Ces mesures se sont déployées de Beijing jusqu'aux quatre coins de la Chine. En conséquence, les professeurs qui refusent d'attaquer le Falun Gong ou qui refusent d'abandonner leur croyance en Falun Gong sont licenciés ou emprisonnés; les étudiants qui refusent sont renvoyés des écoles, on leur interdit l'accès à une éducation supérieure, ou bien on les empêche d'obtenir leurs diplômes. Certains d'entre eux sont forcés de participer à des classes de lavage de cerveau, envoyés dans des camps de travaux forcés et des hôpitaux psychiatriques, ou sont torturés à mort.

Les médias étroitement contrôlés créent et promulguent un sens de la terreur

Durant la campagne de Jiang du "Million de signatures" contre le Falun Gong, on a fait pression sur un monsieur âgé et non pratiquant qui travaille au Comité d'Education de l'Etat afin qu'il signe la pétition contre le Falun Gong. Outragé, il a refusé de signer. "Le PCC est tellement corrompu! a-t-il dit.

On ne sait pas en fait combien de personnes en Chine ont refusé de signer la pétition comme ce vieux monsieur a fait, mais avec l'étroit contrôle des médias et des publications par le PCC, aucun des journaux ou des programmes de TV n'en aurait parlé même si le nombre avait été comptabilisé.

Avec le nombre toujours croissant de journaux et de programmes de TV, certaines personnes ont la fausse impression que le PCC s'améliore et que les chinois ont maintenant plus de liberté. Ceci est absolument faux.

Quand une pratiquante de Beijing est allée en visite dans son village natal dans la province du Henan, les villageois l'ont questionné au sujet du Falun Gong, "Chaque jour, les chaînes de TV rapportent que le Falun Gong est mauvais. Pourquoi les pratiquants du Falun Gong ne clarifient-ils pas la vérité à la TV?" Apparemment, beaucoup de gens ne savent pas comment opère CCTV.

En fait, le PCC maintient un contrôle absolu sur les émissions de TV, les journaux, les magazines et les autres médias. Comme le site Internet Minghui (la version chinoise du site du Falun Gong, Clearwisdom) l'a exposé, l'Agence d'Information Xinhua, l'Agence d'Information de la Chine et le Service d'Information de la Chine diffament le Falun Gong en fabriquant des soi-disant "articles d'information". Est-ce que quelqu'un peut réellement croire que les magazines littéraires et de poésie en Chine sont libres de publier ce qu'ils veulent? Le PCC permettrait-il aux chinois de naviguer librement sur le site Internet Minghui? Comment se fait-il que les héros qui se sont branchés sur les câbles de la télévision afin de diffuser la vérité sur le Falun Gong aient été emprisonnés, torturés et même persécutés à mort? Est-ce qu'une seule chaîne de TV en Chine a osé diffuser les programmes que les pratiquants diffusent ou a permis aux spectateurs de les commenter? Alors que beaucoup de pratiquants sont d'excellents étudiants et travailleurs et que beaucoup d'employés considèrent ceux qui sont des pratiquants comme des gens pleins de confiance, les médias en Chine ont-ils jamais rapporté ce genre d'informations depuis que les autorités ont commencé à persécuter les pratiquants de Falun Gong en 1999?

Avec les différents niveaux de comités du PCC à travers tout le pays, qui est le mieux placé pour mettre la main sur les publications innombrables et les médias afin d'étouffer toute voix qui objectivement et de façon impartiale rapporterait sur le Falun Gong?

Comme la WOIPGF l'a déclaré dans son rapport d'enquête:

"La WOIPFG a une fois enquêté sur les auteurs qui ont fabriqué des histoires calomnieuses sur le Falun Gong. Quand les enquêteurs leur ont demandé pourquoi, en tant que journalistes, ils fabriquaient des histoires sans se soucier de l'éthique fondamentale professionnelle, certains journalistes ont répondu, 'Nous n'avons jamais voulu écrire des articles fabriqués sur le Falun Gong. Quand nous le faisons, nous suivons simplement les instructions de notre hiérarchie. En tant que journalistes, on nous dit ce que nous devons et ne devons pas écrire. Par exemple, nous devons aller interviewer quelqu'un seulement si on nous a donné les instructions pour le faire. D'un autre côté, si on nous dit de ne pas écrire sur un sujet, nous ne pouvons simplement pas le faire!' D'autres journalistes ont affirmé, 'Concernant le Falun Gong, ce n'est pas moi-même mais je fais partie de l'organisation. Comprenez-moi, s'il vous plaît. J'écris en tant que représentant de l'Agence d'Information Xinhua, non en tant que moi-même. Il y a une grosse différence entre les deux.'"

En tant que journaliste, s'il participe à la persécution des pratiquants et ne tient pas compte de la moralité élémentaire, il commet une mauvaise action. Si ceux qui contrôlent le travail des journalistes en arrière scène le forcent à participer à la persécution, alors ils sont les responsables en chef. Inutile de dire que sans la menace inquiétante de terreur inspirée par le PCC, qui a pénétré dans l'esprit de chaque personne en Chine durant les dernières décennies, la persécution des pratiquants du Falun Gong n'aurait pas été aussi perverse.


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