Persécuter le Falun Gong en recrutant ouvertement et en récompensant des truands

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

En 1998, la Chine a signé la Convention Contre la Torture et autres Traitements ou Châtiments Cruels, Inhumains et Dégradants. Sous les règles despotiques du régime de Jiang, cependant, la Chine a renoncé à cette promesse faite au monde, transformant la convention en un morceau de papier sans valeur en arrêtant et torturant les gens seulement parce qu'ils croient en "Vérité, Compassion et Patience."

Le rapporteur des Nations Unies Theo Van Boven avait originellement planifié d'aller en Chine au mois de Juin pour enquêter sur l'existence de la torture, mais le Gouvernement Chinois a de nouveau ajourné sa visite, disant, "Nous ne sommes pas prêts." Un tel cycle de promesses et d'ajournements s'est répété pendant dix ans. Encore plus absurde est l’affirmation du Gouvernement Chinois que leur ajournement répété de l'enquête de Boven est simplement une indication de l'attention qu'ils y prêtent. Sur la base de ces excuses excessives et de ces ajournements, on peut imaginer à quel point le statut quo des conditions de torture en Chine doit être sérieux.

Quel que soit le jour, les cas de persécution contre les pratiquants de Falun Gong en Chine repris sur Internet attirent tout de suite votre attention. Y sont décrites des tortures barbares comme le gavage forcé et les aiguilles toxiques. Meng Xiao du District de Qingbaijiang de la ville de Chengdu été torturé à mort; Lu Xingguo a été battu à mort au Camp de Travaux Forcés N.3 de Qingpu, dans la ville de Shanghai. On a confirmé la mort de plus de 1000 pratiquants de Falun Gong dans cette persécution. Elles ont toutes été vérifiées par des témoins ainsi que l'heure, l'endroit, et le nom des victimes.

L'auteur de cet article a découvert que sur 100 cas de morts choisis au hasard à partir de reportages sur Internet, quatorze ont été battus à mort durant les quinze jours de leur arrestation. Cela indique combien les morts sous la torture sont amères et tragiques en Chine. Les cas de torture, de persécution, et de mort augmentent année après année. Selon le reportage sur Internet, il y avait 1750 rapports de persécution contre les pratiquants en 2000. Le nombre arrivait à 8 299 en 2002 et à 11 155 en 2003, et avait déjà atteint les 9 127 durant le premier semestre de 2004. Et ces rapports sont justes la pointe de l'iceberg, plus qu'il n'en faut pour accuser le dictateur chinois Jiang Zemin du crime de génocide.


I. Qui a Planté les Graines de la Haine envers le Falun Gong?


Ceux qui sont responsables de faire appliquer les lois ne détestaient pas le Falun Gong à l'origine. Alors qui a poussé ces gens à devenir des bourreaux? Qui a planté les graines de la haine envers le Falun Gong chez ces gens? Pourquoi la persécution est-elle apparue? Une des raisons est que les médias contrôlés par le régime de Jiang ont diffamé et calomnié le Falun Gong. Une autre raison plus importante est que Jiang Zemin a utilisé des incitations monétaires, poussant d’honnêtes officiers chargés d’appliquer la loi à devenir des "tueurs à gages."


Utiliser une Politique d'Implications et Faire Pression sur les Subordonnés pour Inciter à la Haine

En Décembre 1999, le "Bureau 610" (1) a informé les officiers locaux que si le nombre de pratiquants de leur Province allant à Pékin pour faire appel surpassait un certain quota; alors le secrétaire du parti de chaque province devait écrire une auto critique. Wu Guanzheng, l'ancien secrétaire du parti de la Province du Shandong a dit au cours d'un meeting, "Tous les officiers de chaque ville doivent être avertis de la gravité des conséquences de ne pas se conformer aux demandes du gouvernement central."

En d'autres termes, il a dit à son personnel, "Vous serez licencié avant que je sois forcé de faire mon auto critique, alors vous feriez mieux d'exécuter les ordres du comité central à la lettre si vous voulez garder votre poste."


Cette méthode de parvenir au succès au prix de ne plus distinguer le bien du mal, et de protéger ses propres intérêts au prix d’exercer une pression aléatoire sur ses subordonnés par tous les moyens possibles, a fait que la Province du Shandong a atteint le taux le plus élevé de pratiquants morts sous la persécution de toutes les provinces. Ainsi, en Octobre 2003, 93 pratiquants de Falun Gong ont été persécutés à mort dans la province du Shandong. Rien que dans la ville de Weifang, on a confirmé la mort de 30 pratiquants suite à la persécution, mettant la ville en première position parmi les villes aussi peuplées dans la nation.

Ainsi, Wu Guanzheng a été félicité par Jiang Zemin et promu au comité du Bureau Politique. Li Changchun, l'ancien secrétaire du parti de la Province du Guangdong, a personnellement énuméré une liste de pratiquants de manière à être félicité par Jiang Zemin et à être promu. Il a fait pression sur certains départements, en disant, "Pourquoi n'avez-vous pas arrêté cette personne? Pourquoi n'avez-vous pas condamné cette autre personne?" Durant le Festival du Printemps de 2004, le comité du Parti de la Province du Hebei a donné l'ordre à la ville de Xingtai de "finir l'enquête"des pratiquants qui avaient réussi à diffuser la vérité du Falun Gong à la télévision de Xingtai et de Sharhe. Sinon, le maire était limogé de son poste. Pour protéger ses propres intérêts, le maire a donné encore davantage de pression sur ses subordonnés, donnant une limite de temps encore plus courte et des punitions encore plus sévères. Ainsi, ses subordonnés ont fait de même avec les leurs. Le résultat final a été une bousculade effrénée.

Un pratiquant a été enlevé par la police du commissariat local de nombreuses fois. Quand il a demandé à la police qu'est-ce qu'il y avait de mal à pratiquer le Falun Gong, l'officier a répondu, "Je ne sais pas ce qu'il y a de mauvais à pratiquer le Falun Gong, mais parce que vous pratiquez le Falun Gong, ma bonification, a complètement disparu. Si vous continuez à pratiquer le Falun Gong, je serai limogé.


Les Quotas de Transformation Conduisent le Personnel Exécutant les Lois à infliger des Tortures Systématiques


Le régime de Jiang force les pratiquants à abandonner leur croyance en Vérité, Compassion et Patience. C'est appelé "transformation". Jiang Zemin a lié les salaires de la police à leurs quotas de transformation, déclarant que ceux qui atteignaient le quota seraient promus et que ceux qui ne l'atteignaient pas seraient rétrogradés. Motivée par les gains personnels, la police n'a pas pu voir l'intention perverse derrière le régime de Jiang, qui est de convaincre l'ensemble du personnel exécutant les lois à persécuter le Falun Gong. Les pratiquants résolus dans leur croyance entraînant moins d'argent dans leur poche, les policiers ont commencé à haïr de plus en plus le Falun Gong.

Les administrateurs et la police du Camp de Travaux Forcés de Masanjia ont mené leur "éducation" de la façon suivante:

"N'avez-vous pas dit que je vous ai persécuté? Aujourd'hui je vais vraiment vous persécuter."

"Si vous refusez d'être transformé, je vais vous mettre dans un état dans lequel vous ne pourrez ni mourir, ni vivre."

"Qu'est-ce que la tolérance? Cela signifie que vous ne pouvez pas me poursuivre même si vous êtes violée."


"Vous voulez tous faire de bonnes actions. Quelle sorte de bonnes actions? La meilleure bonne action que vous puissiez faire est de mourir. Savez-vous combien d'argent, d'hommes et de ressources vous économiserez à la nation si vous mourrez? Voilà pourquoi c’est la meilleure action possible !

Comment les gens qui tiennent de telles paroles traitent–ils les pratiquants qui persistent dans leur croyance? Ils les "torturent systématiquement et cruellement" Un pratiquant a dit, "Je ne savais pas ce que vivre en enfer voulait dire jusqu'à présent. Je n'ai jamais vu tant de gens idiots et inhumains dans le monde jusqu'à ce que j'arrive à Masanjia et rencontre les autorités là-bas."

Ce sont les quotas de transformation qui ont conduit les gardiens et la police à exécuter de si cruelles tortures.

Fin 2002, le Département de Police de la Province du Liaoning a publié des "ordres secrets": un quota de transformation de 95%. Mais le chef du Centre de Détention de Jinzhou Zhang Haiping a dit qu'ils devaient atteindre les 100% pour convenir à ses supérieurs. Le Centre de Détention de Jinzhou a divisé sa force de police en groupe de deux ou trois. Ces groupes tournaient toutes les trois heures, jour et nuit sans interruption, torturant les pratiquants de Falun Gong qui refusaient d'abandonner leur croyance.

Le Camp de Travaux Forcés de Longshan de la ville de Shenyang a renforcé ses lavages de cerveaux et sa persécution contre ceux qui pratiquent le Falun Gong depuis 2004 parce qu'il tente de remporter le titre de "Camp de Travail le Plus Civilisé au Niveau de la Province." Depuis le mois d'avril, cette politique a causé la mort du pratiquant Wang Xiuyuan et le défigurement du pratiquant Gao Rongrong. Su Jing, la dirigeante de l'Institut numéro 2 du Camp de Travaux Forcés de Masanjia, a mis au point de nombreuses tactiques pour persécuter les pratiquants. Ses mains sont couvertes de leur sang. Beaucoup ont été persécutés à mort ou sont devenus handicapés. Elle a été félicitée par ses supérieurs et même par Luo Gan à cause de sa cruauté et de son "efficacité". En 2001, elle a reçu le titre de "Héros de Première Classe" et un bonus de 20 000Yuan (500 Yuan est le revenu moyen pour un travailleur urbain en Chine). Tous les autres policiers à Masanjia ont reçu le titre de "Héros du Groupe de Seconde Classe."

La police sait que ses crimes seront jugés un jour dans le futur, alors ils incitent les prisonniers à commettre des crimes à leur place, les convainquant qu'en torturant les pratiquants leurs peines de prison seront réduites. La police a déplacé ses responsabilités sur les prisonniers. Les prisonniers détenus dans les camps de travaux forcés, les prisons, et les centres de détention à Harbin sont devenus des pseudo gardiens, utilisant plus de 200 instruments de tortures pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Alors que la "Section Modèle et Avancée" du Camp de Travaux Forcés de Xishanping était supposée être un groupe de soi disants "assistants" choisis dans tout le pays, la plupart d'entre eux sont des criminels qui ont été condamnés pour consommation abusive de drogue, trafic de drogue, vol, viol et jeux d'argent.


Les"Quotas de Mort" Ont Donné le Feu Vert aux Tortures Systématiques


Sous un tel programme de torture systématique, il est inévitable que des gens meurent. La politique de Jiang Zemin est de "Détruire leurs réputations, de les ruiner financièrement, et de les annihiler physiquement." Les "quotas de mort" ont donné le feu vert au plan de tortures systématiques. Dans la ville de Hegang, dans la Province du Heilongjiang, la police qui a persécuté le pratiquant Tan Yanjun a dit, "Le secrétaire du parti du comité de la ville Zhang Xingfu a dit qu'il y avait un quota de morts pour les pratiquants de Falun Gong et que le supérieur assumerait la responsabilité de tout ce qui se passera." Quand le pratiquant de 45 ans Lu Xingguo a été battu à mort dans le District numéro 3 du Camp de Travaux Forcés de Qingpu le 15 Octobre 2003, le Chef de Section Xiang Jianzhong a dit, "Nous avons reçu des ordres de nos supérieurs disant qu'un taux de morts de 5% était normal. Si quelqu'un est battu à mort, il mourra en vain. Nous n'avons pas peur si les gens meurent."


Les policiers de la prison de Dabei de la ville de Shenyang ont dit, "Il n'y aura aucun problème quoi que nous fassions aux pratiquants de Falun Gong. Ils ne peuvent pas sortir d'ici en vie s'ils refusent d'être réformés. Nous n'avons pas d'alternative. Jiang Zemin nous privera de nourriture si nous ne faisons pas cela." Durant les six derniers mois de 2002, plus de dix pratiquants de Falun Gong ont été persécutés à mort dans la prison de Dabei. Le pratiquant de Falun Gong Zhong Hongxi du village de Qianyu, de la ville de Tiefa dans la Province du Liaonning, a été torturé à mort au Camp de Travaux Forcés de Wujiabao le 13 Avril 2003. Le camp de travaux forcés a déclaré, "Nous n'endosserons aucune responsabilité si nous battons les pratiquants de Falun Gong à mort conformément au quota de morts assigné par les autorités." Le pratiquant de Falun Gong Chen Duo de la ville de Shantou, de la Province du Guangdong, a été détenu à la prison de la ville de Shantou le 26 Mai 2004, et a été battu de nombreuses fois par les policiers. Il est mort le 9 juin. Mais les policiers ont menacé les membres de sa famille en disant, "Nous avons battu votre mari à mort et respecté le quota qui n'était pas atteint auparavant. Comment oseriez-vous dire quoi que ce soit? Est-ce que vous voulez mourir vous aussi?"

Peng Kaifa, le Vice-Secrétaire du Parti du Comté de Qiyang,, dans la Province du Hunan, a dit ouvertement au personnel exécutant les lois, "Ce que vous ferez aux pratiquants de Falun Gong est au-dessus des lois. On ne vous demandera pas d'assumer la responsabilité si quoi que ce soit devait se produire." Peu de temps après, le pratiquant du Comté de Qiyang, Jiang Laisheng a été battu à mort. Les camps de travaux forcés pouvaient appeler pour un quota de morts particulier si leur taux de morts excédait le quota existant. Le 20 Avril 2003, le département en charge du camp de travaux forcés, après une longue discussion, a donné une permission au Camp de Travaux Forcés pour femmes de Zhenszhou Shibalihe d'obtenir un double quota de morts quand ils useraient de la violence pour forcer les pratiquants de Falun Gong à abandonner leur croyance en la pratique.

Quand ont dit à chaque officier exécutant les lois que ses bénéfices et promotions seront basés sur le fait qu'il a satisfait aux demandes de son supérieur ou non, quand ont dit à ces officiers que les actions excessives sont encouragées et qu'ils n'en seront pas tenus responsables, et quand on leur dit qu'ils n'ont pas à se restreindre eux-mêmes de mener des tortures systématiques mais qu'on leur garantira une immunité sous le quota de morts, la cruauté de la torture et la dureté des crimes seront sans bornes! Ne sont-ils pas en train de devenir les cruels officiels du gouvernement de l'époque actuelle, comme Zhou Xing et Lai Junchen étaient à leur époque?


La Loi ne Protège Jamais Ceux qui Pratiquent le Falun Gong

Des personnes demandent, "Comment une telle tragédie humaine a-t elle pu se produire? Pourquoi les gangsters qui ont commis tant de crimes ont été félicités et récompensés au lieu d'être punis? Pourquoi les médias n'ont-ils pas exposés ces crimes?" Dans la persécution du Falun Gong, la loi ne les a jamais protégés. Faire appel est un droit civil. Mais si vous faites appel pour le Falun Gong, vous serez condamnés à des travaux forcés. Le droit de croyance est un droit de l'homme qui est garanti dans la Constitution Chinoise. Mais si vous persistez dans votre croyance en Vérité, Compassion et Patience, vous finirez par être torturé et même tué.

Le système de réforme des travaux forcés en Chine viole l'Article 37 de la Constitution de la République Populaire de Chine, l'Article 8 de la Loi Législative de la République Populaire de Chine, l'Article 10 de la Loi Administrative Punitive de la République Populaire de Chine, et l'Engagement International sur les Droits Civils et Politiques signés par la Chine en 1998. Néanmoins, le système existe encore.


Les mots suivants sont peints en grosses lettres sur l'immeuble principal du Camp de Travaux Forcés de Shuanghe à Qiqihar: " Camp de Travaux Forcés Moderne et Civilisé" en haut et "Exécution de la Loi Juste et Civilisée" en dessous. En février 2004, les officiers du camp ont torturé chacun des 30 pratiquants de Falun Gong diligents. Les méthodes de tortures ont inclus le fait d'être menotté à des fers, la posture à moitié accroupi, "le Vol de l'Avion", la "Pendaison" et les chocs avec des bâtons électriques. Le chef de Section Wang Mei a hurlé, "C'est autorisé par la province! La province autorise de vous battre et d'utiliser la torture! Si vous n'êtes pas réformé, il n'y aura aucune issue. Vous ne pourrez défendre votre cause où que vous alliez!" C'est la justice camp de travaux forcés et la loi exécutive civilisée.

Huo, l'ancien chef du Commissariat de Nanguangchang du Département de Police de la ville de Changchun, de la Branche Kuancheng, a dit en personne comment la police avait battu le pratiquant de Falun Gong Liu Haibo à mort et comment ils ont osé dire que Liu Haibo était mort d'une "attaque cardiaque".

Le jour où Liu Haibo a été tué, Chang Xiaoping, le vice-premier secrétaire du parti du Comité de la ville de Changchun, s'est rendu à la Branche Kuancheng du département de police et a dit au chef Zhou Chunming et à son équipe comment traiter cet incident. Il a dit, "D'abord, traiter avec le Falun Gong est une tache politique difficile, mais nous ne devrions pas avoir peur si les gens meurent. Deuxièmement, Garde la confidentialité et empêchez les fuites de manière à ce que nous évitions que cela soit porté sur la scène internationale. Troisièmement, les départements de l'inspection disciplinaire et de supervision à tous les niveaux ne seront pas impliqués dans l'enquête des cas de morts du Falun Gong mais devront donner leur plus haute priorité à la situation générale."

Si des avocats veulent défendre les pratiquants, ils auront des problèmes. En avril 2003, le mandataire Wei Jun a défendu le pratiquant de Falun Gong Liang Changying de la ville de Baise, dans la Province du Guangxi et dans la Cour du District de Youjiang. Face à la défense rationnelle et basée sur les faits, le procureur public devint sans voix et enragé. Après la session de la cour, le procureur a immédiatement demandé au personnel, "Est-ce que ces règles ne stipulent-elles pas que personne ne peut plaider "l'innocence" comme défense des pratiquants de Falun Gong? Qui a donné la permission à cet avocat de défendre l'innocence d'un pratiquant de Falun Gong?" Plus tard, la police est allée au Bureau Judiciaire, chez le directeur de Wei, demandant qu'il soit suspendu et que ses qualifications lui soient retirées. Ainsi, Wei a été envoyé dans un camp de travaux forcés pour une durée de trois ans. C'est ce que le régime de Jiang veut dire par "gouverner le pays par la loi."


II. Tactiques Sournoises – Utiliser des Gangsters pour faire le Sale Travail

Engager des gangsters pour tuer les gens n'est pas quelque chose de nouveau dans la société moralement déviée d'aujourd'hui. Jiang Zemin les engage même ouvertement. Les gens qui engagent des gangsters secrètement vivent dans la peur qu'un tiers le découvre. Jiang Zemin, cependant, a ouvertement et publiquement publié des documents mentionnant des quotas pour engager des gangsters. Ceux qui engagent d'autres personnes à leur place pour faire leur sale travail le font d'une façon très limitée. Jiang Zemin, cependant, les engage à tuer les gens dans toute la Chine, et même tout autour du monde. Engager des bandits pour tirer sur les pratiquants de Falun Gong en Afrique du Sud en est un exemple récent.

Ceux qui engagent des gangsters pour tuer le font une seule fois. Jiang Zemin les a engagés pendant les cinq dernières années. Ceux qui ont furtivement employé des tueurs à gage utilisent de "l'argent sale", pendant que Jiang Zemin prend habituellement l'argent de la banque nationale, ainsi que l'argent durement gagné par le peuple, pour engager ses hommes de mains. Ceux qui engagent d'autres personnes pour faire leur sale travail recherchent habituellement des hors-la-loi. Ceux qui engagent secrètement des bandits pour faire leur sale travail seront arrêtés et punis avec leur "tueur à gage", tandis que Jiang Zemin cherche du personnel qui exécute les lois déjà en position de pouvoir, plus chacun poursuivant la célébrité et le profit, et les récompense avec de fortes bonifications, et arrangeant même pour eux la possibilité de parler honteusement de leur "bon comportement" à la télé.

Chacun refuse d'engager des bandits pour tuer les gens, mais Jiang Zemin à forcé le peuple de Chine à l'accepter. Il a justifié ses crimes en déclarant que sa souveraineté était plus importante que les droits de l'homme. Ceux qui engagent un hors-la-loi tuent habituellement une personne. Mais la politique d'engagement massive de Jiang Zemin met réellement en application un génocide. Yang Zemin, la chef de la brigade féminine du Camp de Travaux Forcés de Gaoyang, a dit, "d'un côté, je suis le chef de la brigade. Alors que de l'autre, je suis Big Brother." Une personne qui a été témoin de la façon dont le Camp de Travaux Forcés de Gaoyang dans la Province du Hebei a frénétiquement persécuté les pratiquants de Falun Gong a dit, "Il n'y a pas de justice ou de civilisation ici. Il y a seulement du sang, de la cruauté, et de la persécution."

III. Ceux qui Participent à la Persécution Doivent Trouver une Issue de Secours pour eux-mêmes s'ils Arrêtent Maintenant


Beaucoup de gens pensent que la persécution du Falun Gong (qui a été instaurée par Jiang Zemin suite à sa jalousie personnelle) vise seulement le Falun Gong et les pratiquants de Falun Gong.Ils ne réalisent pas qu'il a entraîné chacun dans ses efforts de persécution. C'est aussi une persécution contre chaque personne dans le monde, même si tout le monde ne le réalise pas.

Recruter publiquement du personnel exécutant les lois a mis en application la persécution du Falun Gong orchestrée par Jiang Zemin. Quelques-uns d'entre eux ont même pensé que c'était une bonne opportunité pour recevoir une promotion et faire fortune. Quelques-uns pensent qu'ils se contentent d'exécuter les ordres de leurs supérieurs et que cela n'a rien à voir avec eux même si le Falun Gong était rétabli dans le futur. Leur pensée est trop naïve.

Nous devons tous payer pour nos crimes. Tuer une personne ouvertement ou secrètement ou sous les ordres de quelqu'un d'autre ne fait aucune différence. Après la Seconde Guerre Mondiale, Hitler l'Allemand, Hideki Tojyo du Japon, et Mussolini de l'Italie n'étaient pas les seuls à qui l'on a fait un procès. Le 5 Avril 1976, le maire de Pékin a publié des ordres de répression envers ses supérieurs. Après que l'incident ait été maîtrisé, le maire a été limogé de son poste et plus de 100 officiers de police ont été fusillés.

Personne d'autre ne peut payer pour vos crimes. Chacun doit payer pour la vie qu'il a choisi, tout comme chacun doit payer ce dont il est propriétaire. Pour les tueurs à gage de Jiang Zemin, l'argent n'est absolument pas un passeport pour le paradis, mais un poids mort avec de sévères conséquences. Derrière chaque bonus il y a un témoin ensanglanté et des vies humaines persécutées à mort. C'est un pacte avec le diable, et le prix est sa propre conscience. Maintenant Jiang Zemin se sent menacé depuis qu'il a été suivi à la cour internationale pour crimes de génocide. Est-ce que les serviteurs de Jiang Zemin, qui l'ont aidé à persécuter le Falun Gong, ne sont-ils pas devenus les objets ornementaux qui iront avec lui dans son cercueil?

On ne peut échapper au jugement de l'histoire, qu'on soit décideur ou suiveur. Que vous l'ayez fait vous-même ou que vous ayez poussé quelqu'un à le faire à votre place, vous êtes quand même coupable! Su Jing du Camp de Travaux Forcés de Masanjia s'inquiétait parce qu'elle savait qu'elle avait fait dans de mauvaises choses. Elle a dit une fois à sa meilleure amie, "Je n'aurais pas un bon futur quoi qu'il arrive."

Ceux qui ont participé à l'exécution des tortures devraient se réveiller pour leur propre salut. Arrêter de tuer est se frayer une nouvelle voix pour soi-même et avoir une chance de se repentir et de payer pour ses crimes. Sinon, on devra subir la rétribution tôt ou tard.

Termes:

1. Le "Bureau 610" – une agence spécifiquement créée pour persécuter le Falun Gong, avec un pouvoir absolu sur chaque niveau de l'administration du Parti et de tout autre système politique et judiciaire.


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.