Couverture des médias

  • Des preuves directes prouvent que les victimes des prélèvements d’organes sont des pratiquants du Falun Gong (Photo)

    Le rapport révisé ajoute plus d'éléments enregistrés de preuves obtenues grâce à des appels téléphoniques des enquêteurs aux hôpitaux chinois et a publié les statistiques. L'enquêteur M a appelé les médecins pratiquant des greffes dans environ 80 hôpitaux à travers la Chine. Les médecins de dix hôpitaux ont admis qu'ils utilisent les pratiquants du Falun Gong comme fournisseurs d'organes. Cinq hôpitaux ont dit qu'ils peuvent obtenir des pratiquants comme fournisseurs d'organes. Quatorze hôpitaux ont admis qu'ils utilisent les organes provenant de prisonniers. Dix hôpitaux ont dit que la source de leurs organes est un « secret d'état » et qu’ils ne pouvaient pas le révéler par téléphone.
  • Le rapport d'enquête révèle une sombre machination: l'armée du PCC a été impliquée dans la collecte d'organes sur une grande échelle

    La version révisée du rapport d'enquête indépendante canadienne, publié le 31 janvier 2007, a révélé une importante et sombre intrigue: le système militaire du Parti communiste chinois (PCC) a été impliqué dans les crimes de collecte d'organes à grande échelle sur les pratiquants de Falun Gong vivants.
  • Spero News (TX) : Meurtres en Chine pour prélever des organes humains

    Les enquêteurs canadiens ont publié leur mise à jour le 31 janvier qui contient malheureusement des allégations choquantes au sujet du gouvernement totalitaire chinois. Ce qu'on suspecte et redoute depuis longtemps, il apparaît que la Chine ajoute à son catalogue de crimes contre l’humanité, celui de « prélever des organes », c’est à dire, de prélever sans leur consentement les organes de personnes vivantes.
  • China Press (Malaisie) : les enquêteurs canadiens publient leur rapport sur les prélèvements d’organes

    Le 2 février, China Press, le deuxième plus grand journal chinois en Malaisie, a rapporté que David Kilgour, l'ancien député canadien et secrétaire d'état pour la région Asie-Pacifique et David Matas, un avocat international renommé des droits de l'homme ont récemment présenté "Prélèvements sanglants ", la version révisée de leur rapport sans précédent sur les prélèvements d'organes en Chine. Selon China Press, l'Armée de libération communiste chinoise prélève les organes sur des victimes, qui sont la plupart du temps des pratiquants de Falun Gong, afin de pratiquer des greffes d'organes sur beaucoup de patients y compris des étrangers.
  • VOA : Deux enquêteurs canadiens exhortent le public à ne pas se rendre en Chine pour des greffes d'organe

    Selon un article de Voice of America (VOA) du 2 février, les canadiens David Kilgour et David Matas ont publié 16 articles de matériel additionnel à leur rapport qui a été publié l'été dernier. Avec ces nouveaux éléments, ils essayent de dire au public que le prélèvement d'organe est un phénomène largement répandu en Chine. Les éléments supplémentaires comprennent ce qui suit : le nombre total d'établissements médicaux en Chine capables d'effectuer des transplantations de foie est passé de 22 en 1999 à 5.000 en 2006; le revenu provenant des opérations de prélèvement d'organe pour l'Hôpital Général de la Police Armée à Beijing a presque doublé comparé au revenu de 2003.
  • France : Dans son supplément sur la Peine de Mort, Ouest France dénonce le trafic d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine

    L'article souligne le fait que si le régime chinois veut faire croire que « la loi interdit la commercialisation d’organes humains » et que « la faute revient à quelques chirurgiens peu scrupuleux », la réalité est tout autre. Les transplantations se font avec l’aval du gouvernement, dans des hôpitaux militaires et dans le plus grand secret. Ce commerce est en fait trop lucratif pour que le gouvernement ait envie d’y mettre fin. Les exécutions capitales sont planifiées en fonction de la demande d’organes et la persécution du Falun Gong est finalement un moyen pour le gouvernement et le système communiste de s'enrichir.
  • The Epoch Times :Un rapport affirme que les autorités chinoises continuent de tuer les pratiquants de Falun Gong pour leurs organes (Photo)

    Après avoir publié leur premier rapport le 6 juin 2006, les auteurs, David Matas, un avocat international des droits de l'homme, et David Kilgour, l'ancien Secrétaire d'Etat canadien pour la Région Asie Pacifique, ont voyagé dans près de 30 pays afin de mener davantage de recherches et faire connaître au public leurs découvertes. Ils ont reçu beaucoup de commentaires, quelques critiques et un grand nombre de preuves additionnelles depuis la publication de leur rapport, a dit Matas lors d'une conférence de presse au Parlement Hill. Ils sont également entrés en contact avec beaucoup de témoins, a-t-il ajouté. Le nouveau rapport, intitulé "Prélèvement sanglant", présente des "cas encore plus surprenants pour nos conclusions".
  • FOX News: Une étude : L'armée chinoise prélève des parties des corps de prisonniers vivants , en particulier des membres du Falun Gong

    Le système militaire de la Chine récolte des organes de prisonniers vivants non consentants, principalement des pratiquants de Falun Gong, pour les transplantations à grande échelle - y compris pour des bénéficiaires étrangers- selon une étude. Le second rapport de Matas et Kilgour, publié aujourd'hui, comprend des interviews avec des bénéficaires d'organes dans 30 pays et des personnes hospitaliers qui se sont occupés de plus de 100 patients qui avait subi des opérations de greffes douteuses en Chine.
  • Reuters : L'équipe des droits du Canada dénonce le "Tourisme d'organes" en Chine

    Le Canada et les autres pays devraient décourager ou empêcher leurs citoyens d'aller en Chine pour obtenir des organes humains dont les "donneurs" peuvent avoir été tués afin que leurs organes puissent être prélevés, a dit mercredi un équipe d'avocat des droits de l'homme. L'ancien Secrétaire d'Etat canadien pour l'Asie et le Pacifique David Kilgour et l'avocat David Matas ont présenté un rapport lequel disent-ils arrive à l'inéluctable conclusion que les dissidents du Falun Gong et d'autres prisonniers en Chine sont tués pour leurs organes.
  • Epoch Times : Le régime chinois admet prélever les organes des prisonniers

    CHINE—Au milieu du mois de janvier 2007, le site Internet chinois de la BBC a publié une interview concernant la collecte d'organes en Chine. Pour la première fois, le porte-parole du Ministère de la Santé en Chine, Mao Qunan, a admis la pratique des prélèvements d'organes sur les prisonniers exécutés en Chine, ce qu'il avait publiquement désavoué auparavant. Cependant, Mao a esquivé les preuves clés de la collecte d'organes sur les pratiquants de Falun Gong et a démenti cette accusation.
  • Edmonton Sun, Canada : Les Albertains participent aux prélèvements d’organes illicites : Kilgour

    David Kilgour, l’ancien député d'Edmonton a dit « Un nombre inconnu de riches habitants de l'Alberta sont allés en Chine acheter des organes vitaux prélevés sur les partisans exécutés du mouvement proscrit du Falun Gong. Et il veut que les crimes contre l'humanité cessent. Il a dit que de nombreux organes se vendent jusqu'à $70.000. « Seuls les étrangers dans des endroits comme l’Alberta peuvent se permettre de se les payer. » Kilgour, l’ancien secrétaire d'état pour la région Asie-Pacifique, a dit qu'il a voyagé dans plus de 30 pays tout en enquêtant sur les allégations qu'un réseau souterrain de chirurgiens, d’infirmières et de personnel chinois d'administration d'hôpitaux prélèvent des organes pour la vente.
  • Bayerwald Echo (Allemagne) : Couvrir la Journée des Droits de l'Homme

    Samedi, un film a été projeté en tant que partie d'un atelier de Falun Gong afin de commémorer la Journée Internationale des Droits de l'Homme. Le D. Kiehl, un membre de la "Coalition d’Investigation sur la Persécution du Falun Gong" a parlé de la répression, de la persécution et du génocide du peuple tibétain, ainsi que de la persécution des chrétiens et des pratiquants de Falun Gong par le Parti communiste de la Chine. Par exemple, il est impossible d'expliquer la provenance des 41,000 organes utilisés pour la transplantation en Chine entre 2000 et 2005.
  • Exposer les mensonges du PCC à partir de deux éléments d’informations

    Le bilan des droits de l’homme de la Chine qui collecte des organes humains et les vend pour le profit a suscité la condamnation du monde entier. Deux exemples récents extraits des média chinois montrent comment le PCC s’efforce de dissimuler ses crimes de prélèvements d’organes criminels sur des pratiquants de Falun Gong en vie.
  • République Tchèque : L’enquêteur Indépendant canadien présente son rapport sur les allégations de collecte d’organes à un séminaire et une conférence de presse au Parlement Tchèque

    “Ils prennent vos deux reins, votre cœur et votre peau, vos cornées et votre foie puis ils jettent votre corps dans l’incinérateur.» “C’est une forme de mal encore jamais vue sur cette planète » a dit David Kilgour en parlant de cette pratique révoltante de collecte d’organes sur des personnes vivantes qui se déroule dans des centres de détention, des camps de travail et même dans des hôpitaux à travers la Chine avec l’accord tacite des administrations de l’état . Le 16 novembre, l’enquêteur indépendant et ancien membre du gouvernement canadien a présenté son rapport au Parlement Tchèque où un séminaire sur la collecte forcée d’organes sur des prisonniers de conscience en Chine avait lieu sous les auspices de la députée Mme Catherine Jacques.
  • Taiwan : La station de diffusion Radio Centrale rapporte que la Chine continentale devrait permettre l’investigation de tous les endroits utilisés pour l'emprisonnement des pratiquants de Falun Gong

    La station de diffusion Radio Centrale rapportait le 28 décembre 2006 que la délégation Asie de la Coalition d'investigation sur la persécution du Falun Gong a été établie le 10 décembre, journée internationale des droits de l'homme. La délégation a respectivement tenu des conférences de presse à Taiwan, au Japon, en Corée, en Malaisie, Hong Kong et Macao , le matin du 19 décembre. La délégation se compose de 116 personnes, y compris des personnalités des secteurs de la politique, de la médecine, du droit , et des organisations non gouvernementales. La persécution du PCC est si grave que d'autres pays asiatiques prêtent attention à la question et invitent fortement la Chine à permettre l’enquête et à arrêter de telles atrocités.