Poésie
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	    Poème: La promesse2004-05-23 Les siècles passent, des cycles infinis de vie, mort et renaissance.De nouvelles civilisations voient le jour, puis tombentUne histoire de luttedes polarités de la vertu et du karmaJouant  l’un contre  l’autre… Les siècles passent, des cycles infinis de vie, mort et renaissance.De nouvelles civilisations voient le jour, puis tombentUne histoire de luttedes polarités de la vertu et du karmaJouant  l’un contre  l’autre…
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	    Poème : Le temps qui passe2004-05-16 Avec le passage du temps qui se déploie,Aucun sanctuaire ou bruit d'alarme;Seul le paradigme familier de la vieille écoleMenant une pléthore de cœurs capricieux,Sans retenue à l’intérieur de son déclin.Comment ne peut on pas  voir plus loin que le lendemain ? Avec le passage du temps qui se déploie,Aucun sanctuaire ou bruit d'alarme;Seul le paradigme familier de la vieille écoleMenant une pléthore de cœurs capricieux,Sans retenue à l’intérieur de son déclin.Comment ne peut on pas  voir plus loin que le lendemain ?
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	    Poème: Avant l’Aube2004-05-03 Les coeurs s’éveillent avant l’aubePlus près, le soleil balaie chaque nuageOù l’orage et le tumulte se mêlentEnfin tranquille, nés pour les prémices au-delà des tumultesLe saule fleuritNoyés dans la lumière, les plus lumineux des jours font leur apparitionEt s’abandonnent aux mains de la lumière éternelle Les coeurs s’éveillent avant l’aubePlus près, le soleil balaie chaque nuageOù l’orage et le tumulte se mêlentEnfin tranquille, nés pour les prémices au-delà des tumultesLe saule fleuritNoyés dans la lumière, les plus lumineux des jours font leur apparitionEt s’abandonnent aux mains de la lumière éternelle
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	    Poème : Dans la lumière2004-05-01 Dans la lumièreUne erreur maintient les vies enchaînéesEst-ce permis ?La peur  pèse lourdement sur la peau nueEveil comme un éclair fulgurant,Lumière bleue-blancheOuvre la porteLa peau pourrissante comme la toile arachnéenneS’écailleEt révèle et l’être véritable apparaîtJe deviendrai qui je suis Dans la lumièreUne erreur maintient les vies enchaînéesEst-ce permis ?La peur  pèse lourdement sur la peau nueEveil comme un éclair fulgurant,Lumière bleue-blancheOuvre la porteLa peau pourrissante comme la toile arachnéenneS’écailleEt révèle et l’être véritable apparaîtJe deviendrai qui je suis
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	    Poème: Voyage Intérieur2004-04-21 Faites un pas dans la vallée où vos pensées sont néesS'il y a des pensées mauvaises et perverses, ne les reconnaissez jamais, remplacez les par des pensées bienveillantes.Ne poursuivez rien, tout ce qui vous est destiné est déjà là.Entrez dans votre être intérieur et agissez toujours en accord avec le Vrai, le Bon, la Patience.N’engendrez jamais haine ou revanche, apprenez plutôt comment pardonner . Faites un pas dans la vallée où vos pensées sont néesS'il y a des pensées mauvaises et perverses, ne les reconnaissez jamais, remplacez les par des pensées bienveillantes.Ne poursuivez rien, tout ce qui vous est destiné est déjà là.Entrez dans votre être intérieur et agissez toujours en accord avec le Vrai, le Bon, la Patience.N’engendrez jamais haine ou revanche, apprenez plutôt comment pardonner .
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	    Poème - Graine de l’incommensurable2004-04-12 Je ne suis qu’une graine des fruits de l’incommensurableNée au sein des saisons d’une splendeur éternelle et inoubliéeDes fenêtres d’un silence caché, jetée au vent,là vers  où la terre résonne Je ne suis qu’une graine des fruits de l’incommensurableNée au sein des saisons d’une splendeur éternelle et inoubliéeDes fenêtres d’un silence caché, jetée au vent,là vers  où la terre résonne
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	    Poème : La roue de la justice tourne2003-10-15 Plus vite, la roue de la justice tourneComment est-il possible que ce qui brûle en tas soient des livres parlant de moralité, de méditation,et de s’améliorer en se cultivant ? Plus vite, la roue de la justice tourneComment est-il possible que ce qui brûle en tas soient des livres parlant de moralité, de méditation,et de s’améliorer en se cultivant ?
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	    Poème - Indéfectible Foi2002-02-24 Adieu! Parents et bien-aimée,Franchir montagnes et rivières,endurer la faim et le froid,je ne regrette pas ces épreuves. Je veux seulement dire du fond de mon coeur :Falun Dafa est innocent;et libérer les êtres sensibles de la souffrance ;Je propagerai la vérité dans le monde des hommes. Adieu! Parents et bien-aimée,Franchir montagnes et rivières,endurer la faim et le froid,je ne regrette pas ces épreuves. Je veux seulement dire du fond de mon coeur :Falun Dafa est innocent;et libérer les êtres sensibles de la souffrance ;Je propagerai la vérité dans le monde des hommes.
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	    Poème de Matthias Slaats, pratiquant Belge détenu par la police Chinoise lors de l'appel pacifique deTiananmen.2002-02-23 Le cœur obscurci par les conflitsL’esprit alourdi par les aversionsLe mal et l’obscurité prospèrentLe cœur dilaté par le pardon/UL>L’esprit allégé par la toléranceLa bonté et la lumière irradientLe cœur dilaté par le pardonL’esprit allégé par la toléranceLa bonté et la lumière irradient Le cœur obscurci par les conflitsL’esprit alourdi par les aversionsLe mal et l’obscurité prospèrentLe cœur dilaté par le pardon/UL>L’esprit allégé par la toléranceLa bonté et la lumière irradientLe cœur dilaté par le pardonL’esprit allégé par la toléranceLa bonté et la lumière irradient
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	    Le mal est si limité, si petit - poème de Zhang Cuiying2002-02-10 Le mal est si limité, si petitIl ne peut blesser la compassion,Il ne peut fissurer l’espoir,Il ne peut corroder la foi,Il ne peut éroder la paix,Il ne peut détruire la confiance,Il ne peut tuer la détermination,Il ne peut effacer la mémoire,Il ne peut faire taire le courage Le mal est si limité, si petitIl ne peut blesser la compassion,Il ne peut fissurer l’espoir,Il ne peut corroder la foi,Il ne peut éroder la paix,Il ne peut détruire la confiance,Il ne peut tuer la détermination,Il ne peut effacer la mémoire,Il ne peut faire taire le courage
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	    Poème à la police chinoise : A quoi pensez-vous ?2001-12-01 Aux milliers de policiers et d’officiels qui exécutent les ordres de Jiang ZeminEn vous levant le matin et en regardant votre visage dans le miroir de la salle de bain puis en partant au « travail »A quoi pensez-vous ?Quand vous rentrez chez vous après une dure journée au « bureau » et sentez la succulente odeur du poisson ou du poulet que votre femme a préparé pour le dîner,A quoi pensez-vous ?L’odeur fait elle penser à celle de la chair que ce même jour vous avez brûlée avec votre bâton électrique. Quand vous incinérez des gens encore vivants, Aux milliers de policiers et d’officiels qui exécutent les ordres de Jiang ZeminEn vous levant le matin et en regardant votre visage dans le miroir de la salle de bain puis en partant au « travail »A quoi pensez-vous ?Quand vous rentrez chez vous après une dure journée au « bureau » et sentez la succulente odeur du poisson ou du poulet que votre femme a préparé pour le dîner,A quoi pensez-vous ?L’odeur fait elle penser à celle de la chair que ce même jour vous avez brûlée avec votre bâton électrique. Quand vous incinérez des gens encore vivants,
 
                     
                 
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