Sagesse traditionnelle

  • Histoire de l'histoire : Zeng Guofan décryptait une personne de la juste manière

    Zen Guofan était un fonctionnaire réputé dans la Dynastie Qing. Alors qu'il étudiait encore dans l''Académie Hanlin, il se rendit un jour dans une librairie du village de Haiwang. Deux personnes achetaient des livres. Une d'elle fit tomber une pièce, et l'autre marcha immédiatement dessus et la dissimula sous son pied. Lorsque la première personne quitta la boutique, la seconde ramassa prestement la pièce et s'en alla satisfait. Zeng Guofan demanda au vendeur et obtint le nom de la seconde personne.
  • Les principes basés sur la clémence de l’Empereur Tang Taizong

    Zhou était franc et logique dans son travail. Il n'avait pas peur de s'opposer à l'empereur dans le maintien des lois. Même l'empereur l'écoutait. Aussi, en ce temps-là, les injustices étaient très rares. L'Empereur Taizong mettait l'accent sur la clémence, et pouvait dépasser ses propres sentiments et respecter le droit. De ce point de vue, il est clair que Taizong était un empereur d'une grande bienveillance ...
  • Musique naturelle et éternelle du Ciel

    Au son de la première corde, 16 grues rouges atterrirent du ciel méridional. Au son de la deuxième corde, les grues s'alignèrent en rangs. Au son de la troisième, les grues chantèrent et dansèrent en ligne. Tandis que Shi Kuang continuait, des nuages colorés apparurent dans le ciel et le chant des grues s'harmonisa avec la musique de la cithare ...
  • Gagner le respect par la tolérance

    Xian avait un grand ami, Yuan Liang qui était aussi très vertueux. Un jour, Guo Linzong, un célèbre érudit en littérature au collège impérial, vint visiter Runan. Il commença par rendre visite à Yuan Liang mais il quitta bientôt sa maison. Puis il se rendit chez Huang Xian et y resta plusieurs jours. Quand Gao Linzong lui en demanda la raison, il dit: La tolérance de Yuan Liang est comme un clair printemps, mais celle de Huang Xian est comme un lac géant, trop grande pour être troublée même quand elle est dérangée. C'est incommensurable. "
  • L'astuce de Wang An-Shi contre la famine

    Dans l'année 1047de la Dynastie Song du nord, la pluie avait totalement inondé plus de 127 cantons dans le sud de la Chine. Les caprices du temps causaient de mauvaises récoltes dans les rizières. La crise avait amené le prix unitaire du riz de 400 à 1500 et les gens luttaient pour survivre. Wang An-Shi, un célèbre Premier ministre dans l'histoire chinoise, avait alors 26 ans. Il était le Maire du Canton de Jin , aujourd'hui Ningbo, dans la province de Zhejian. Wang conçut hardiment une astuce. Il ne réprima pas le prix du marché mais imposa plutôt aux marchands de riz d'en fixer le prix à la somme décourageante de 3000 l'unité...
  • Se cramponner au monde mortel ou atteindre le Dao ?

    Pendant le règne de l'empereur Yang (560-618 après J.C.) lors de la dynastie de Sui, trois amis en cultivation Pei Chen, Wang Jingbo, et Li Fang ont voyagé au Mt Bailu pour chercher le Dao. Après plus de dix ans de cultivation et d'épreuves inimaginables, ils n’avaient apparemment pas obtenu grand-chose ...
  • Le ver de terre, l’Empereur Liangwu et le moine

    Il y avait un moine Bouddhiste durant la Dynastie Liang. Il cultivait diligemment et possédait des pouvoirs supra normaux. Les gens l’appelaient le « Moine prosternation. » L’Empereur Liangwu chercha à le rencontrer. Il envoya un messager avec une invitation au palais. Un jour, l’Empereur Liangwu jouait aux échecs lorsqu’un messager arriva et lui dit : « Votre majesté, le moine Prosternation est arrivé. » L’Empereur Liangwu était si concentré sur son jeu d’échec, essayant de trouver comment prendre une pièce de l’ennemi, qu’il dit à voix haute « Tuez ». Le messager partit aussitôt pour accomplir l’ordre. Le moine fut tué...
  • Une histoire du temps de Bouddha Shakyamuni : Les sept rêves d’Anand

    Anand fut un disciple dévoué de Bouddha Shakyamuni pendant 27 ans. Il fit sept cauchemars inhabituels alors qu’il était à Sravasti, une ancienne cité du nord de l’Inde ...
  • Comment la bienveillance et la vertu peuvent transformer les gens

    Lu Gong vécut sous la Dynastie des Han de l’Est (25-220 Avant J.C). Il étudia tout jeune les Cinq Classiques et la Poésie de Lu. Grâce à ses études, il devint réputé pour l'étendue de ses connaissances. Le sachant pauvre, le gouverneur lui envoyait chaque année des céréales, mais Lu Gong ne les acceptait pas. Le gouverneur admirait sa noble personnalité et voulut lui offrir un poste de fonctionnaire, Lu Gong étant trop jeune pour occuper une charge officielle. Lu Gong déclina poliment son offre...
  • Ancienne histoire de cultivation : Lan Caihe

    Lan Caihe était l’un des huit immortels de la légende chinoise, et personne ne sait d’où il venait. Un pied nu et une chaussure à l’autre pied, il portait toujours de vilains vêtements bleus avec une large ceinture incrustée de six boutons de laine noire autour de la taille...
  • Lequel est le plus puissant – le Tao ou le Démon

    A l'école élémentaire, nous avons étudié la préface de l'Appel aux Armes de Lu Xun où il écrit: "Imaginez une maison en acier sans fenêtres, absolument indestructible, avec à l'intérieur beaucoup de gens dormant d'un sommeil profond qui vont bientôt mourir de suffocation. Mais comme ils vont mourir dans leur sommeil, vous savez qu'ils ne sentiront pas la douleur de la mort. Maintenant, si vous criez fort afin de réveiller ceux qui ont un sommeil léger, faisant que ces quelques malheureux souffrent l'agonie d'une mort inévitable, pensez-vous que vous leur rendez un bon service?"
  • Respecter Bouddha avec un esprit droit et sincère

    Pour les anciens chinois, il n’y avait rien de plus important que de respecter et vénérer le ciel et cultiver leur moralité. Il est dit qu’étudier et suivre les livres écrits par des sages et des hommes vertueux aidera une personne à élever ses valeurs morales et accumulera des vertus qui lui apporteront la bonne fortune ...
  • Histoire de la Chine ancienne : le pardon libèrera votre esprit

    Fan Chunren, un érudit célèbre et fonctionnaire du gouvernement de la dynastie Song dans la Chine ancienne, a dit un jour : " Ce que j’ai appris au cours de toute ma vie d’étude peut se résumer en deux mots : loyauté et pardon. Toute ma vie a bénéficié de leur mise en pratique. Je vis toujours par ces deux mots en servant l’Empereur, en communiquant avec mes collègues ou mes amis, et dans les relations avec ceux de mon clan ...
  • A propos du caractère chinois "De" (Vertu)

    On traduit communément par Vertu la signification du caractère chinois “De”, expliquée dans le dictionnaire Kangxi comme signifiant " bon, beau, juste, brillant, pur et exemplaire."En fait dans les inscriptions d’oracle de la dynastie Shang et les documents de la précédente dynastie Qin, "De " était interchangeable avec un autre caractère chinois " De", qui signifiait " obtenir" ou "gagner, "et il a aujourd’hui la même prononciation. Par conséquent le mot "De " ("Vertu" a la signification d’ "obtenir ou gagner." Dans le livre Shuowenjiezi, "De (Vertu)" était expliqué : "De signifie gain. Le gain intérieur dépend de soi, tandis que le gain extérieur dépend des autres."
  • Le noble respect de Zigong pour son maître Confucius

    Après la mort de Confucius, dans le Hall de délibération du Pays de Lu, Shusun Wushu a dit à tous les hauts fonctionnaires : " Zigong est plus vertueux que Zhongni " (nom de plume de Confucius). Après que Zigong ait entendu cela, il a dit : " laissez moi vous donner un exemple pour montrer pourquoi ce point de vue est absurde ...