Camps de la mort et trafic d'organes

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  • Piste d’enquête : Banque suspecte d’organes vivants près de la ville de Shijiazhuang

    Nous pouvons déduire d’après un rapport publié par l’Hôpital N°1 de la ville de Shijian, daté du 1er Août 2006, qu’il existe sans doute, à environ une heure de conduite de cet hôpital, une banque d’organes vivants où des pratiquants de Falun Gong sont détenus jusqu’à ce qu’ils soient assassinés pour leur organes. C’est probablement situé dans une banlieue ou un comté. Il y a des équipements d’opération, et c’est censé être un hôpital, un hôpital militaire, un hôpital de l’armée ou un hôpital de la police. Cependant c’est peut-être aussi une structure qui était à l’origine un abri anti-aérien souterrain.
  • National Post (Canada): La récolte sanglante de la Chine : le temps d'attente pour des greffes d'organes en Chine est une affaire de jours. Partout ailleurs, les temps d'attente se comptent en années.

    Est-ce que la Chine récolte les organes des pratiquants du Falun Gong, les tuant dans le processus ? Au mois de mars dernier, un journaliste japonais et l'ex-épouse d'un chirurgien ont déclaré qu'une telle chose avait lieu à l'hôpital du Liaoning de Sujiatun en Chine. Ces déclarations sont-elles vraies ? La nature répressive et secrète du gouvernement chinois nous a rendu la tâche difficile dans notre évaluation de ces déclarations. On ne nous a pas permis d'entrer en Chine, bien que nous ayons essayé. Nous avons examiné chaque voie de preuve et de réfutation qui nous étaient disponibles ... Il est facile d’isoler chaque élément et de dire que tel ou tel élément ne prouve pas les déclarations. Mais c'est leur combinaison qui nous a amenés à la conclusion effrayante à laquelle nous en sommes venus...
  • Ceux qui ont persécuté le Falun Gong n’échapperont pas au châtiment

    Chen Zhonghua est le président de l'Institut de recherche de transplantations de l'Hôpital de Tongji à l'université de la Science et de la technologie de Huazhong. Zhu Tongyu, un autre accusé est le doyen du Centre de transplantations d'organes de l'Hôpital de Changzheng à Changhaï. Le troisième accusé, Shen Zhongyang, est le doyen du Centre oriental de transplantations d'organes au premier Hôpital central de Tianjin. Des médecins de ces trois hôpitaux, où ils sont les directeurs, ont admis dans des conversations téléphoniques enregistrées que les sources des transplantations d'organes des hôpitaux incluent des pratiquants vivants du Falun Gong.
  • ABC (Australie) Interview avec David Kilgour au sujet de leur rapport sur le prélèvement d’organes sur des vivants, en Chine

    TONY JONES: David Kilgour a été membre du Parlement canadien pendant 26 ans jusqu'en janvier cette année. Pendant ce temps, il a rempli plusieurs rôles, y compris celui de secrétaire d'État pour l'Asie et le Pacifique dans les années 2002 et 2003. Avant d’entrer au parlement, M. Kilgour a pratiqué le droit, travaillé comme Procureur de la Couronne, au Manitoba. M. Kilgour s’est maintenant joint à nous à notre studio de Canberra. Merci d’être venu...
  • Le célèbre journal français Le monde publie un article sur le rapport d’enquête canadien quand aux allégations de récolte d'organes

    Dans son article du 17 août 2006, sous le titre :" des membres du Fa Lun Gong seraient victimes d'un trafic d'organes en Chine", Fabrice Pedroletti, correspondant du monde à Shanghai interroge : " La persécution, en Chine, des adeptes du mouvement religieux d'inspiration bouddhiste Fa Lun Gong a-t-elle conduit à un trafic d'organes à échelle industrielle ? " il poursuit :"Des milliers d'adeptes du Fa Lun Gong détenus au secret auraient ainsi "approvisionné" les centres de transplantation chinois, dont le nombre aurait beaucoup augmenté dans les années 2000. Date qui coïncide avec le bannissement du Fa Lun Gong en Chine en 1999 "
  • Indices pour l'enquête sur la récolte d'organes : Mouvements mystérieux par l’administration de la justice de Shanghai

    Le 20 juillet 2006, Nanfang Daily, un journal chinois, a rapporté la défense de Li Zuliang, ex-président de la Cour intermédiaire du peuple de la ville de Zunyi, province de Guizhou, relative aux allégations que la Chine prélève les organes vitaux des condamnés à mort sur des véhicules utilisés pour transporter les prisonniers au quartier d’exécution. La défense de Li est arrivée en réponse à un article écrit par USA Today le 15 juin dont le titre est « La Chine fabrique des véhicules où les condamnés à mort sont exécutés par injection ». Face aux allégations des médias d’outre-mer, Li a dû faire toute une mise en scène pour défendre l’ « innocence » de la Chine en utilisant le langage officiel du parti communiste chinois (PCC).
  • Indices pour l'enquête : Un médecin admet le fait que l'Hôpital du Peuple de la ville de Tianjin utilise des organes prélevés sur des personnes vivantes

    La révélation du fait que le parti communiste chinois prélève des organes sur des pratiquants de Falun Gong a causé une grande inquiétude dans le monde entier. Les questions suivantes ont été posées à un médecin de l'Hôpital du Peuple de la ville de Tianjin ...
  • Un député australien demande le soutien international pour la position de l'Australie concernant le prélèvement d'organes en Chine

    « Nous devons agir maintenant sur les violations des droits de l'homme qui se produisent en Chine ou perdre l'occasion pour toujours, » a dit aujourd’hui l’Hon Rév. Dr. Gordon Moyes, un membre du Parlement de la Nouvelle Écosse du Sud/New South Wales et spécialiste de la Chine. « Les Jeux Olympiques 2008 de Pékin offrent une occasion sans précédent aux nations démocratiques de faire pression sur le gouvernement chinois pour agir contre ces crimes contre l'humanité. » « La quantité de preuves est maintenant tellement lourde qu'elle justifie une enquête indépendante internationale. »
  • Indices pour l'enquête : les organes de Mme Bi Xiaoye ont été prélevés en 2001, après qu'elle ait été frappée avec une pioche et ait perdu connaissance

    Mme Bi Xiaoye,pratiquante de Falun Dafa dans la province du Shandong, était maltraitée par son mari et ils ont divorcé. Le 3 juin 2001 [du calendrier lunaire chinois], son ex-mari, Ma Yanming, l'a frappée avec une pioche et elle a perdu connaissance. Ma Yanqing, le frère de Ma Yanming, le chef du bureau juridique de la ville de Landi, a mené un groupe type mafieux sur les lieux et ils ont aussi invité des officiers du département de police de Pingdu. La police de Pingdu a prélevé les organes de Bi Xiaoye alors qu'elle respirait encore. Ensuite, ils ont pris son corps pour l’incinérer.
  • Indices pour l’enquête: l’hôpital No. 1 de la ville de Shijiazhuang effectue cinq greffes de rein en 10 heures

    M. Zheng Zhimin, le vice-président de d'hôpital de Shuijiazhuang, à la tête de personnel médical des services de chirurgie, du département de chirurgie d'urologie, de la salle d'anesthésie et de la salle d’opération No.3 est allé chercher des reins hors de la ville. Le fait que les anesthésistes étaient du voyage signifie qu'ils ont enlevé des reins à des donneurs vivants. Alors pourquoi n'ont-ils pas ramené les donneurs à l'hôpital ? Comment ont-ils dû prélever cinq reins en même temps hors de la ville et les rapporter à l'hôpital ? Il est possible qu'il y ait un camp de concentration emprisonnant les pratiquants du Falun Gong près de l'hôpital et que les cinq reins proviennent de pratiquants emprisonnés du Falun Gong.
  • Indices pour l’enquête : Doutes sur les "prisonniers du quartier des condamnés à mort "à l'hôpital pour la tuberculose dans la ville de Fushun, province du Liaoning

    Environ vingt jours avant le Nouvel An chinois de 2005, quatre jeunes " prisonniers" avec des menottes et des chaînes aux pieds ont soudainement apparu dans une des salles du troisième étage du département de l'hôpital pour la tuberculose dans la ville du Fushun, province du Liaoning. Ils ont été attachés aux lits. Deux policiers étaient à l'intérieur de la salle et deux autres policiers étaient à l’extérieur pour les surveiller...
  • La mort de pratiquants de la province du Sichuan soulève la suspicion de prélèvement d'organes.

    Au début de cette année, les médias ont révélé que le PCC (Parti communiste chinois) prélève les organes internes de pratiquants de Falun Gong vivants dans ses camps de concentration . Les provinces du Sichuna et de Chonqing ne sont pas des exceptions. Ce qui suit sont quelques uns des cas de pratiquants de Dafa qui ont été persécutés à mort. Le fait que la police ne veuille pas autoriser les membres de famille à voir les restes soulève plusieurs questions.
  • Indices pour l’enquête : Il y a de fortes possibilités qu'un camp de concentration détenant des pratiquants de Dafa existe dans la région du Huaihua

    Une installation dans le Bajia a été détruite après que quelqu'un, ayant aidé à la construire, en ait parlé à d'autres à son sujet. Cet endroit avait été exposé et indiqué sur une carte par un agent secret. Lors d’un autre incident, l’employé au point de contrôle a arrêté un camion militaire et a voulu le vérifier. On lui a demandé : « Peux-tu le voir clairement? » Quand il a répondu : « Oui », il a été fusillé sur place.
  • La déclaration de l’ambassade chinoise au Canada ne peut pas nier les faits des prélèvement d’organes

    Le 26 juillet 2006, les fonctionnaires de l’ambassade chinoise à Ottawa, Canada, ont tenu une conférence de presse et publié une déclaration dans laquelle l’ambassade nie que le prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants ait eu lieu en Chine. La déclaration s’en est également prise aux deux enquêteurs indépendants, M. Kilgour et M. Matas, et le groupe de cultivation Falun Gong. La déclaration ne tient pas compte des faits importants et des preuve indiqués dans le rapport indépendant, dénature le contenu et la signification du rapport, et incite les gens à haïr le Falun Gong. Les pratiquants de Falun Gong au Canada se sont sentis obligés de répondre à la déclaration de l’ambassade.
  • Pistes d’enquête : L’étroite collaboration entre les hôpitaux et les prisons, et d'autres pistes

    D’après les résultats d’enquête et des informations révélées par les patients, une quantité excessive d'organes humains sont disponibles à l'hôpital N°1 de Changchun. L'hôpital déclare que ces organes viennent de « détenus du quartier des condamnés à mort ». Selon une autre source, il y a plus de vingt personnes détenues dans le sous-sol de l'hôpital en tant que donneurs d'organe. Il est fortement probable qu’ils soient des pratiquants de Falun Gong. Des informations plus détaillée doivent encore être indiquées.