Il est largement reconnu que la dissimulation de l'épidémie de SRAS par le gouvernement chinois a contribué à sa diffusion dans le monde, y compris au Canada, un pays géographiquement éloigné de la Chine. L'Organisation Mondiale de la Santé a annoncé le 14 mai que le Canada n'était plus sur la liste des pays à risque. Le 27 mai , cependant, on a constaté que le Canada était encore soumis à l'infection par le SRAS, et un millier de personnes ont dû être mises en quarantaine.
Le député responsable à Beijing, Wang Qishan, a déclaré le 16 mai, "Beijing a gagné la bataille contre le SRAS. Nous sommes convaincus que nous avons la capacité de vaincre le SRAS en mai."
Mais Yang Huanming, un spécialiste en recherche génétique a admis que la Chine n'a pas été capable d' identifier la pathogénie du SRAS.
Le 20 mai, 7864 cas de SRAS avaient été rapportés autour du monde, avec la mort de 643 personnes.
Traduit de l'anglais
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