Une forme de torture utilisée par les malfaiteurs du régime communiste chinois est la dislocation des articulations des pratiquants, l’atroce douleur faisant perdre connaissance aux victimes.
Disloquer les articulations de l’épaule
Simulation de torture : Pousser et tourner les bras |
Simulation de torture : Tordre les mains |
Simulation de torture : Forcer les jambes à se plier |
“Alors, plusieurs policiers m'ont tenu sur le
Ci-dessus un extrait du récit de Wang Yuhuan une pratiquante de Changchun racontant comment la police a disloqué ses bras pour essayer de l'amener à renoncer en sa croyance. ( L’histoire complete : : http://fr.clearharmony.net/articles/200710/35798.html )
D’autres fois, le pratiquant est menotté dans le dos et suspendu ; tout le poids du corps de la personne tombe sur les poignets. Il est facile pour les épaules de se disloquer dans cette position puisqu'elles sont tordues vers l'arrière.
Mme Shao Jingrong de la municipalité de Lanqi, ville de Fengcheng, province du Liaoning, est allée à Pékin faire appel au nom du Falun Gong début 2003. Elle a été arrêtée, ramenée, et détenue au centre de détention de Fengcheng. Un jour à 23H00 ils ont menotté ses mains dans son dos et l'ont suspendue, ses pieds ne touchant pas terre, disloquant les articulations de ses bras et de ses épaules. Elle ne pouvait plus bouger après avoir été décrochée. (Histoire complète : http://www.clearwisdom.net/html/articles/2011/6/9/125906.html )
Les gardes au camp de travaux forcés de Sanshui dans la province du Guangdong ont enfermé un pratiquant qui refusait de renoncer au Falun Gong dans une petite pièce. Ses mains ont été menottées et reliées à deux sacs de sable. Plusieurs détenus poussaient séparément les sacs, alors que d'autres lui écorchaient les aisselles et l'abdomen. Les bras de Wang Guifeng ont été blessés, et son épaule s'est disloquée de cette façon. (Histoire complète : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/7/14/38115.html
M. Sun Xianming, un ancien employé de l'usine pétrolifère de machines de la ville de Tonghua dans la province de Jilin, a été détenu dans le camp de travaux forcés de Chaoyanggou à Changchun. Les gardes lui ont tordu les bras à 360 degrés jusqu'à ce qu'ils se désarticulent. Le garde Zhu Shenglin a violemment secoué ses bras disloqués, et M. Sun a hurlé de douleur. Il était à l’article de la mort après une année dans le camp de travail. Après qu’il ait été renvoyé chez lui, il s’est fait faire une radio à l'hôpital de la ville, qui montrait que ses bras étaient cassés et tordus à 90 degrés. Il a subi une chirurgie, mais il a perdu l'utilisation de ses bras. (Histoire complète : =http://fr.clearharmony.net/articles/201106/56622.html)
Mme Han Zhongcui, qui travaillait au Bureau de rue de la Gare de Lanzhou dans la province de Gansu, a été arrêtée à la mi- septembre 2003 et amenée à l'école d'éducation légale de la ville de Lanzhou, une installation de lavage de cerveau. Elle a été plus tard jetée dans la salle de détention sous l'ordre du chef Yan Yongsheng. Elle a été suspendue avec ses bras derrière le dos pendant plus d'un mois. Elle était à l’article de la mort quand elle a été décrochée et ne pouvait bouger ni ses bras ni ses jambes. Ses bras étaient handicapés suite à la torture. Deux mois plus tard, le responsable Zhao Jian et d'autres personnes l'ont finalement emmenée à l'hôpital provincial de médecine chinoise : son bras gauche était cassé, et de la chair avait déjà poussé en dehors des articulations des os. On lui a diagnostiqué des dommages importants des nerfs, qui étaient au-delà de tout traitement, selon les médecins de l' Hôpital Général militaire de Lanzhou. (Histoire complète : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/11/6/91130.html)
Dans une autre méthode de torture, le pratiquant est immobilisé face contre terre tandis que deux détenus lui soulèvent les bras vers le haut jusqu'à ce qu'ils touchent sa tête. M. Zhou Peihong de Shuangcheng a eu les deux coudes disloqués de cette manière dans le camp de travaux forcés de Changlinzi. Ses bras étaient sévèrement gonflés et pourpres, pourtant le garde Zhao Shuang a dit au détenu Qi Kunlei de pousser les coudes disloqués de M. Zhou. Il a hurlé en agonie. Plus tard à l'hôpital on a découvert que ses deux coudes avaient été disloqués et un de ses avant-bras avait été fracturé. (Article correspondant : http://www.minghui.org/mh/articles/2006/7/14/132979.html(à suivre)
Version chinoise disponible à : http://minghui.ca/mh/articles/2011/6/19/中共酷刑-卸骨、脱臼-242696.html
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