Selon un reportage du Daily Mail (Royaume Uni ,http://www.dailymail.co.uk/news/worldnews/article-1165416/Chinas-hi-tech-death-van-criminals-executed-organs-sold-black-market.html), le PCC a pour la première fois lancé ses 'fourgons de la mort' haute technologie pour les exécutions il y a trois ans. Pourtant avant les Jeux olympiques l’été dernier, il a essayé de tenir l'information concernant l’existence de ces véhicules secrète, afin d’éviter un tollé international. Les 'fourgons de la mort' ont été déployés à travers la Chine. Ces véhicules ont l'apparence d'un fourgon de police banal, mais sont intérieurement équipés comme une salle d’opération d’hôpital. Ils renvoient de façon terrifiante à l'un des épisodes les plus sombres de l'histoire humaine : lorsque les nazis ont tué des millions de personnes dans leurs camps de la mort au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Le Daily Mailsoulignait : “La Chine insiste pour dire que ces fourgons de la mort représentent “un progrès". Le plus grand des avantages est que les organes des prisonniers, y compris les yeux, les reins, le foie, les poumons et le pancréas – peuvent être prélevés efficacement puis rapidement livrés à des hôpitaux près de Beijing, Shanghai et Guangzhou. Les organes sont vendus à des personnes riches qui attendent une transplantation dans les hôpitaux ainsi qu’à des " touristes d’organes" de pays voisins.
Les 49 pages du “Rapport sur les allégations de prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine" ont été publiées en juillet 2006 par des enquêteurs canadiens indépendants. Les auteurs – David Kilgour, ancien Secrétaire d’état pour l’Asie et le Pacifique et David Matas un célèbre avocat des droits de l’homme- ont indiqué que ces cinq dernières années , la source d’au moins 41 500 transplantations d’organes reste inexpliquée et que ces organes semblent être prélevés sur des pratiquants du Falun Gong. Le rapport fournissait 33 sortes de preuves, qui toutes corroborent cette conclusion. Le PCC n’a jamais répondu au rapport sous aucune forme que ce soit. Cependant, le Parti prétend que le commerce de transplantation d’organes a été déclaré illégal depuis mai 2007, ce qui est une reconnaissance tacite des résultats de l’investigation.
Sur la base de solides preuves, depuis août 2006, M. Manfred Nowak, Rapporteur spécial des Nations Unies sur la torture et Mme Asma Jahangir, Rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté de religion ont réitéré à maintes reprises leurs conclusions sur les prélèvements d’organes pratiqués sur des élèves du Falun Gong en Chine, au Comité contre la torture des Nations Unies. Le 21 décembre 2008, le comité a fait la demande spéciale au PCC d'enquêter sur l’accusation que des pratiquants de Falun Gong sont torturés et leurs organes prélevés. Le Comité a également demandé que la Chine traduise en justice les personne accusées de telles persécutions.
Le régime de Jiang(Zemin) a établi le
Le 22 décembre 2000, le site Web Minghui (version chinoise de Clearwisdom.net) rapportait que des policiers et des médecins ont conspiré pour vendre des organes de pratiquants du Falun Gong. Un hôpital de médecine chinoise de Shijiazhuang a obtenu un quota de six. En outre, selon un initié du district de l’armée de Shenyang, ces années là, il y avait 36 camps de concentration en Chine, semblables à celui de Sujiatun. Cette pratique scandaleuse a continué dans des camps de travail, des prisons et des hôpitaux depuis l’an 2000.
Ces dernières années, le nombre de transplantations d’organes en Chine a augmenté de façon spectaculaire. Si nous prenons pour exemple les transplantations de foie, selon des chiffres officiels, il y a eu seulement 78 transplantations de foie en Chine entre 1990 et 1998. Mais en 2003, le nombre a augmenté à plus de 3000. En 2005 il y en a eu près de 4000 transplantations de foie et environ 10 000 transplantations de reins en Chine. Moins de 300 des transplantations de reins viennent d' un donneur identifié.
Chaque année, le PCC condamne environ 1800 individus à mort. La persécution du Falun Gong a commencé en 1999. Depuis cette date jusqu’en 2005, le nombre total de transplantations est passé à 60 000, ce qui dépasse de loin le nombre de prisonniers exécutés. Alors d'où viennent les donneurs ?
Un reportage publié dans le Time Magazine en 2005 faisait remarquer que les camps de travail du PCC existent en dehors de toute loi. Ce sont des endroits ayant le privilège de recourir librement à des pratiques criminelles sans égard pour la loi. Il est bien connu que les camps de travail, les centres de détention, les prisons et les " écoles légales d’éducation" (centre de lavage de cerveau) torturent brutalement les pratiquants du Falun Gong. Combien d’autres formes d’outrage, comme les prélèvements d’organes et l’incinération des corps pour détruire les preuves, se cachent derrière leurs hauts murs.
Les anciens disaient: “La justice de Dieu est manifeste, le ciel récompensera le bien et punira le mal ”. Au tribunal militaire international de Nuremberg en Allemagne après la deuxième guerre mondiale, les assassins ont été traduits en justice. De la même façon, ceux qui ont brutalement persécuté les pratiquants du Falun Gong finiront par être traduits en justice. Ceux qui ont commis les vols d’organes feront face à la même fin que les hommes de main dans les camps de concentration nazis.
Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2009/4/2/198266.html
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