BRUXELLES, 14 nov. (AFP) - Le militant pour la démocratie de Hong Kong Martin Lee a gagné jeudi le soutien des libéraux européens pour sa campagne contre une nouvelle loi anti-subversion prévue sur l'ancien territoire britannique.
La législation controversée -- que ses adversaires disent poussée par la Chine -- doit être appliquée après trois mois de consultation finissant le 24 décembre.
Lee a dit aux démocrates libéraux du Parlement européen que l'administration de Hong Kong par Tung Chee-hwa "veut nous donner un cadeau de Noël dont personne ne veut".
La "vie ne sera jamais la même si ces lois sont décrétées," a dit le président du Parti démocratique.
"On nous a promis que nos libertés resteraient intactes, mais ces propositions les mineraient."
Le gouvernement de Hong Kong insiste sur le fait que cinq ans après le retour sous dirigeance chinoise, le territoire doit maintenant remplir des engagements constitutionnels et mettre en application des lois pour protéger la sécurité nationale.
Mais les groupes de lutte pour les droits de l'homme et les groupes pro-démocratie craignent que la Chine n'emploie la nouvelle loi pour supprimer des libertés comme celle de presse, d'expression et de croyance, et interdire des groupes qu'elle considère comme une menace.
Le chef des libéraux démocrates européens, Graham Watson, a exprimé à Lee le soutien de son groupe, argumentant que la loi anti-subversion minerait la formule "un pays, deux systèmes" qui est censée garantir l'autonomie de Hong Kong sous dirigeance chinoise.
"Les libéraux démocrates européens encourageront à un débat d'urgence dans ces lieux mêmes le plus tôt possible," a-t-il dit au Parlement.
"les libéraux démocrates en Europe et en Asie travailleront dur pour empêcher le Singapour-isation de la Chine. La liberté économique et la liberté politique doivent aller ensemble, " a-t-il ajouté.
"La République Populaire de Chine doit marcher doucement quand il s'agit de Hong Kong, de Taiwan et du Tibet, car elles veut marcher sur la puissance de l'esprit humain."
La législation controversée -- que ses adversaires disent poussée par la Chine -- doit être appliquée après trois mois de consultation finissant le 24 décembre.
Lee a dit aux démocrates libéraux du Parlement européen que l'administration de Hong Kong par Tung Chee-hwa "veut nous donner un cadeau de Noël dont personne ne veut".
La "vie ne sera jamais la même si ces lois sont décrétées," a dit le président du Parti démocratique.
"On nous a promis que nos libertés resteraient intactes, mais ces propositions les mineraient."
Le gouvernement de Hong Kong insiste sur le fait que cinq ans après le retour sous dirigeance chinoise, le territoire doit maintenant remplir des engagements constitutionnels et mettre en application des lois pour protéger la sécurité nationale.
Mais les groupes de lutte pour les droits de l'homme et les groupes pro-démocratie craignent que la Chine n'emploie la nouvelle loi pour supprimer des libertés comme celle de presse, d'expression et de croyance, et interdire des groupes qu'elle considère comme une menace.
Le chef des libéraux démocrates européens, Graham Watson, a exprimé à Lee le soutien de son groupe, argumentant que la loi anti-subversion minerait la formule "un pays, deux systèmes" qui est censée garantir l'autonomie de Hong Kong sous dirigeance chinoise.
"Les libéraux démocrates européens encourageront à un débat d'urgence dans ces lieux mêmes le plus tôt possible," a-t-il dit au Parlement.
"les libéraux démocrates en Europe et en Asie travailleront dur pour empêcher le Singapour-isation de la Chine. La liberté économique et la liberté politique doivent aller ensemble, " a-t-il ajouté.
"La République Populaire de Chine doit marcher doucement quand il s'agit de Hong Kong, de Taiwan et du Tibet, car elles veut marcher sur la puissance de l'esprit humain."
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