Chine - Nos pensées droites ont empêché la police de commettre de mauvaises actions

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Il y a une pratiquante de Falun Gong âgée sans grande éducation. Pourtant elle s’oppose souvent aux mauvaises personnes , et clarifie la vérité avec la sagesse obtenue en pratiquant le Falun Gong.

Un jour, une policier mauvais du poste de police local est venu la trouver et lui a dit effrontément « si tu exposes un pratiquant de Falun Gong, nous pourrons avoir tout un tas de médailles d’or. « En entendant cela, elle a pensé : « Oh ! voilà comment Jiang achète le cœur des gens, et fait effrontément commettre des choses déshonorantes et contre leur conscience à ces policiers mauvais. » Puis elle a dit avec droiture et sérieux : « Je veux exposer deux personnes, écouterez-vous ? » La police mauvaise a dit avec satisfaction : « J’écoute. » Elle a dit : « Je veux exposer Jiang et Luo. Ils violent la loi du ciel, vont contre l’opinion publique, bafouent ouvertement la constitution, répriment des personnes au bon cœur, considèrent ceux qui pratiquent « Vérité-Bienveillance-Tolérance » comme des ennemis, ils ont même fabriqué l’ « auto-immolation, le meurtre, le suicide » et d’autres massacres et en renvoient le blâme sur le Falun Gong. Voilà les gens les plus vicieux, allez les arrêter ! » Le policier mauvais a pointé du doigt la pratiquante sans pouvoir dire un mot pendant un long moment.

Avant l’année 2002, la police du poste de police locale est souvent venue chez cette pratiquante et l’a harcelée. Une fois, cette pratiquante lui a demandé : « Sais tu où tu es ? C’est la maison d’un pratiquant de Falun Gong. Tu ne peux pas entrer ici de façon désinvolte. Si tu veux entrer, tu dois dire « Falun Dafa est bon ; » « Oui, le Falun Gong est bon, » a répété directement le policier sans réfléchir. Après être entré, il a vu des gens assis dans la pièce et il a demandé : « Qui sont-ils ? » « Mes amis. » « Pourquoi sont ils assis les jambes croisées ? » Le policier a dit précipitamment : « Vous osez tenir la main levée. » Elle a dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong. Pourquoi ne tiendrai-je pas ma paume levée ? » Puis elle ne s’est plus adressée à lui et s’est concentré sur ses pensées. Pendant un moment, les fortes pensées droites ont rendu le policier nerveux. Comment osait-il rester ? Il est parti précipitamment.

Parce que cette pratiquante et tous les autres pratiquants, qui viennent dans cet endroit veillent à émettre des pensées droites, l’endroit a été très bien tenu. Il devient un endroit où les pratiquants se retrouvent souvent et partagent leurs expériences. Après quelques échanges entre les pratiquants et la police, les policiers ont abandonné et certains ont même changé leur mentalité et cessé de harceler les pratiquants.


Publié le 8 novembre 2002

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