Administrer de l’essence d’huile de moutarde – une des tortures utilisées par la police de la ville de Daqing

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Les pratiquants détenus dans la ville de Daqing, province du Heilongjiang, ont enduré toutes sortes de tortures depuis que le régime du Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter les pratiquants de Falun Gong en 1999. Le site Internet Clearwisdom a rapporté les tortures suivantes (voir les définitions à : http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2007/12/18/92246.html): Attacher les cordes, Geler, Travail d’esclave, Chocs électriques, remuer un bâton de bois à l’intérieur de la bouche, le banc du tigre, arroser les pratiquants d’eau glacée, ébouillanter à l’eau chaude, frotter la peau, accroupissement les yeux ouverts, suspendre par une corde, percer avec des aiguilles, chevaucher un bâton de fer, privation de sommeil, Tourner brusquement la tête, s’asseoir sur un tube d’acier, cruel passage à tabac avec un talon de chaussure, coups aux tibias, torture de l’assise immobile, suffoquer avec une couverture, le vol de l’avion, le lit du mort, être enfermé dans un compartiment solitaire, menotter, fers aux chevilles, clore la bouche avec de l’adhésif, couvrir la tête avec un sac plastique, s’asseoir sur un bâton, suspension à un lit de métal par les mains menottées derrière le dos, privation de parole, brûlures de cigarette, petite promenade dans le jardin, étayer le bâton, gavage forcé, drogues endommageant les nerfs, s’asseoir sur une bassine. Nous exposons ici une autre forme de torture "Administrer de l’essence d’huile de moutarde."

L’essence d’huile de moutarde est extrêmement toxique et peut produire un goût et une odeur très aigus. Après que la victime soit forcée à ingérer de l’huile de moutarde, aucune trace de torture n’est visible. Mais internement il est gravement blessé. Les symptômes comprennent difficultés à respirer, étouffements, douleurs à la poitrine, inconfort à la poitrine, toux, et incapacité à avaler. Les gardes fabriquent souvent des histoires de grèves de la faim ou de tentatives de suicide quand la victime est incapable de manger suite à la torture.

Les gardes interrogent normalement un pratiquant durant la journée. Après que toutes les menaces et les manipulations aient échoué, ils disent au pratiquant : » Voyons comment nous allons te fixer , » Ils laissent une ou deux personnes surveiller le pratiquant, le privant de sommeil et ne le laissant pas fermer les yeux. A minuit, ils reviennent et restreignent le pratiquant sur une chaise de métal spéciale, les mains menottées derrière le dos, les pieds attachés par les chevilles. Il ne peut bouger aucune partie de son corps. Trois ou quatre gardes agissent simultanément, attrapant le pratiquant par ses cheveux, lui poussant sa tête en arrière, et lui couvrant rapidement la bouche et le nez avec un masque saturé d’huile de moutarde. Immédiatement le nez de la victime coule et ses yeux pleurent, sa respiration devient difficile, et il a l’impression qu’il va suffoquer. Les gardes couvrent alors la tête de la victime avec un sac plastique recouvert d’huile de moutarde et le ferment. Ils n’ouvrent pas le sac jusqu’à ce que la victime s’évanouisse. Puis ils ouvrent le sac pour ranimer la victime pour répéter le processus encore et encore. Une autre méthode qu’ils emploient est de continuellement appliquer de l’huile autour des yeux de la victime. Encore une autre forme consiste à continuellement verser de l’huile de poivre épicée ou d’huile de moutarde sur le masque qui couvre la bouche et le nez de la victime. Les gardes prennent plaisir à la souffrance de leurs victimes. Ils ont même des maques d’huile de moutarde dans leurs poches qu’ils peuvent utiliser à tout moment contre les pratiquants détenus.

Si la victime ne consent pas après cela, ils utilisent des seringues pour introduire directement l’huile de moutarde dans la bouche et le nez de la victime. La victime s’évanouit. Ils l’arrosent d’eau froide pour la ranimer et répètent à nouveau la torture. Ils essaient de forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance durant la douleur extrême

La torture peut durer de plusieurs heures à dix ou vingt heures. La police continue à appliquer la mixture d’huile ou d’eau de moutarde. En même temps ils brûlent la victime avec des cigarettes, lui frappent la tête, et utilisent un langage grossier. Ils lui mettent des écouteurs afin d’intensifier le bruit qu’ils font. Où ils demandent à une personne de parler continuellement à la victime, le menaçant et lui racontant des mensonges.

Selon des rapports incomplets sur le site Internet Clearwisdom, plus de 20 pratiquants ont été torturés ainsi. L’un d’entre eux était une jeune pratiquante, Mlle. Jiang Pai, qui a été torturée à mort. Elle a été torturée dans plusieurs lieux notamment la section de Sécurité domestique des services de police de la ville de Daqing, le centre de détention de Daqing, le Poste de police des chemins de fer de Daqing, la section criminelle de Longgang, les services de police du district de Honggang à Babaisang, le troisième Centre de détention de Daqing, et les services de police de la zone de développement de Daqing.


Version Chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2008/6/26/180945.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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