Méthodes de tortures utilisées dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province du Jiangxi

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Depuis de nombreuses années, le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province du Jiangxi est notoire pour sa persécution des pratiquantes du Falun Dafa. L'article qui suit dévoile les crimes commis dans ce camp

1. Pendaison par les menottes, passages à tabac, "entraînement militaire"

Les gardes utilisent la méthode de la "pendaison par les menottes" pour torturer les pratiquantes qui refusent de renoncer à leur croyance en Authenticé-Bienveillance-Patience. Ils menottent séparément les mains de la pratiquante, puis ils tirent sur les menottes jusqu'à ce que les pieds de la pratiquante ne touchent plus le sol. Ils leur mettent du ruban adhésif sur la bouche lorsqu'elles protestent contre la torture.

"L'entraînement militaire" est une torture communément utilisée sur les pratiquantes. Les gardes forcent la victime à se tenir droite et immobile, le regard droit devant, pendant une demi-journée voire toute une journée. Si elle n'obéit pas, les gardes la battent, l'insultent, lui attrapent les cheveux, la plaquent au sol et la rouent de coups. Chaque pratiquante dans le camp, jeune ou âgée, subit "l'entraînement militaire". Les pratiquantes qui refusent de faire le travail obligatoire sont soumises aux passages à tabac et à l'"entraînement militaire" sans exception.

2. 2. Les "Surveillants Personnels"

Utiliser des criminelles comme "surveillants personnels" pour restreindre les pratiquantes est une cruelle technique de "gestion" dans le camp. Quatre-vingt dix pour cent des prisonniers sont des toxicomanes. Les gardes les utilisent pour surveiller et restreindre les pratiquantes. Deux toxicomanes surveillent une pratiquante 24 heures sur 24. Les "surveillants personnels" sont supposés suivre le règlement du camp. Mais en pratique, les gardes leur donnent le droit de harceler et de violenter les pratiquantes comme moyens pour les "transformer". Les gardes jouent sur les faiblesses des "surveillantes" et les récompensent avec des bons points pour avoir "transformé" une pratiquante. Les bons points sont ensuite utilisés pour réduire leur peine de prison. Avec cette motivation, les 'surveillants personnels' osent faire n'importe quoi aux pratiquantes, comme leur donner des coups de poings, des coups de pieds, les frapper avec des fils servant à pendre les vêtements, les insulter et leur jeter des poubelles sur la tête, sur le corps ou sur leur lit, verser de l'urine dans la tasse d'eau ou la barrique d'eau de la pratiquante, de manger sa nourriture, s'approprier les effets personnels de la pratiquante pour elles-mêmes, etc. Quand la pratiquante dénonce aux gardes ces violations illégales, quand bien même ils savent la vérité, les gardes se mettent du côté des 'surveillants' et soient ils ignorent le rapport qui a été fait ou ils se moquent en disant : "Si vous ne pouvez pas endurer la souffrance, alors acceptez d'être 'transformée'." La pratiquante Mme Zhang Yuzheng a été illégalement emprisonnée pour trois années supplémentaires dans le camp, au terme de six années passées en prison, juste parce qu'elle n'avait pas été "transformée." Les mains de Mme Zhang sont paralysées après avoir subi de longues heures de "pendaison par les menottes" dans la prison. Si bien qu'elle était dans l'incapacité de produire du bon travail après son transfert dans le camp de travaux forcés. Les gardes l'insultaient frénétiquement, la traitant de gloutonne et de fainéante, mangeant sans mériter sa nourriture, de "fabrique à excrément", et ainsi de suite…


3. 3. Discriminations et mauvais traitements

Les pratiquantes qui ne sont pas "transformées" sont victimes de plusieurs autres formes de discriminations et d'abus. Par exemple, les pratiquantes sont les seules qui sont de corvée de nettoyage des sanitaires. En été, les pratiquantes n'ont pas le droit d'utiliser les ventilateurs alors que les autres détenues le peuvent. Une pratiquante est enfermée dans une cellule de moins de 23 mètres carrés avec ses deux 'surveillantes' 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Dans la cellule, elle mange, dort, utilise les toilettes, fait son travail obligatoire, en n'ayant droit à aucune pause. Elle n'a que 15 minutes par jour pour aller chercher de l'eau, nettoyer son pot de chambre et laver ses vêtements. Tous les mois, la peine de prison d'une pratiquante est augmentée d'un minimum de cinq jours, parce qu'elle n'a pas été "transformée." Les pratiquantes qui sont en grève de la faim sont attachées à un lit. Leurs membres sont attachés avec des sangles nuit et jour, il n'y a pas d'exception de faite quand elles doivent aller aux toilettes. Les pratiquantes qui ne sont pas "transformées" sont enfermées dans des petites cellules d'isolement pendant des années.

Cela fait neuf ans depuis que le régime de Jiang Zemin a commencé à persécuter les pratiquants du Falun Gong en 1999. Le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province du Jiangxi joue un mauvais rôle dans cette persécution. De nombreuses pratiquantes sont mortes ou ont perdu la raison des suites des tortures qu'elles ont subies dans ce camp. La persécution et la torture continuent à se produire, mais du fait du blocage de l'information, beaucoup de ses odieuses actions criminelles n'ont pas encore été révélées.

Article de référence: :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2008/2/9/94174.html

22 Juin 2008

Date de l'article original : 6/7/2008

Version Chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2008/6/23/180796.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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