La raison est le plus souvent en nous-même : comprendre le fait de clarifier la vérité pendant un festival d’opéra.

Lorsque les gens n’étaient pas prêts à m’écouter leur clarifier la vérité, je trouvais toujours des raisons telles que – cette personne a été si profondément trompée etc. Mais en étudiant Fa, j’ai réalisé que la raison était le plus souvent en nous-mêmes. En clarifiant la vérité, je ne me basais pas de la perspective d’une totale considération pour l’autre. J’étais troublé par son apparent rejet. Par la suite, en clarifiant la vérité, je regardais mon interlocuteur dans les yeux. Je me rendais indifférent à toutes les fausses impressions. Je ne croyais que ce je lisais dans les yeux de la personne à laquelle je clarifiais la vérité. Ces fausses impressions ne m’ont plus affecté.Dans le processus de clarifier la vérité Durant les cinq semaine du Festival des Opéras de Wagner, j’ai même pu ressentir que le fait de toucher ou non quelqu’un en lui clarifiant la vérité était aussi un test sur ma compréhension de Dafa. J’ai senti que chaque fois après avoir clarifié la vérité, si j’étais incapable de susciter des pensées droites envers Dafa chez l’autre, cela était du au fait que je pne renais pas la "cultivation" assez sérieusement, n’étais pas assez résolu, pas assez rationnel ou pas assez mature.

Le comportement des pratiquants de Dafa L’article de Maître Li « Conférence de Boston 2002 » nous a aidé à comprendre que le comportement de pratiquants de Dafa devait être avant toute chose la considération pour les autres en rencontrant un problème quel qu’il soit. En clarifiant la vérité aux gens en général, il était difficile de déterminer à quelle profondeur parler. Lorsque nous en disions trop, les gens disaient alors, « Je viens juste de jouir de sept heures d’opéra, c’est si merveilleux. Pourquoi me parlez vous des meurtres en Chine ? » J’ai réfléchi à cela pendant longtemps, même après plusieurs jours je n’arrivais pas à dépasser cela. Un jour, après avoir étudié Fa, tout à coup une scène est apparue devant mes yeux. Celle d’une mère nourrissant un bébé en mâchant la nourriture avant lui et en crachant la nourriture mâchée dans une petite cuillère. Je n’en comprenais pas le sens. Jusqu’au jour où avec quelques pratiquants nous avons échangé nos opinions à propos d’une brochure « A tous les publics » que j’allais distribuer. Un pratiquant dît , « tu lui fais ingérer la moitié d’un petit pain, un autre pratiquant a dit, « pas seulement la moitié d’un , deux petits pains. » A ce moment, j’ai tout à coup compris le sens plus profond de la scène de la mère mâchant la nourriture de son nourrisson, l’action était désintéressée et vraiment pour le bien de l’autre. Maître Li nous a enseignés de nombreux principes de Fa, nous ne pouvions pas les dire directement à une personne ordinaire. Une personne ordinaire pourrait être incapable de l’accepter même en ayant entendu les principes de Fa. L’attention que nous mettons à clarifier la vérité et le degré de notre considération et de notre patience étaient des manifestations de notre niveau. Leur réaction correspondait à notre niveau.Si nous nous abaissons à l’état d’une personne ordinaire, de gens ordinaires accomplissant des tâches de gens ordinaires, les épreuves en clarifiant la vérité seront chaque fois plus difficiles.Un jour trois Chinois sont venus au Festival d’opéra. Mais nous ne sommes pas allés leur clarifier la vérité. Nous avons plutôt continué de clarifier la vérité à des occidentaux. Finalement le nombre d’occidentaux refusant d’écouter a considérablement augmenté. Le deuxième jour, lorsque nous étudions tous Fa et échangions nos expériences, nous avons réalisé que nous ne tenions pas compte des mots du Maître. Celui-ci nous a dit de nombreuses fois l’importance de clarifier la vérité à la population chinoise. Mais nous avons reculé une fois confronté à la situation réelle, avec dans nos cœurs la pensée profondément enfouie que les chinois étaient difficiles à sauver. Le comportement qui en a résulté est que nous avons évité de mentionner le Falun Gong en rencontrant des chinois. Ou lorsque les gens n’étaient pas disposés à bavarder nous faisions alors marche arrière. La pensée « puisque nous ne sommes pas bons à clarifier la vérité, nous pourrions aussi bien ne pas clarifier la vérité » avait toujours le dernier mot. En fait, c’était une attitude de facilité et de recherche du confort, nos pensées n’étaient pas suffisamment droites et nous avait abaissés à l’état de personnes ordinaires accomplissant des tâches de personnes ordinaires. Après avoir reconnu le problème, ces pratiquants, qui sont de nouveau tombés sur les trois chinois plusieurs fois par la suite, leur ont clarifié la vérité.La rectification de Fa n’attend pas, nous devons chaque jour faire une percée par rapport à la veille. Au début, nous avons réalisé que nous ne devrions pas seulement distribuer des tracts mais plutôt clarifier la vérité. Par conséquent, chaque jour, nous ne réussissions à clarifier la vérité qu’à une, deux ou trois personnes. Par la suite nous avons ressenti que ce n’était pas suffisant. Alors j’ai commencé à pratiquer les exercices de Dafa accompagné par la musique de Dafa pendant les entractes à un endroit où le public passerait inévitablement.Le public manifesta son intérêt. Quelques personnes attendaient spécialement aux alentours pour avoir de longues discussions avec nous. Ils ont même exprimé qu’il allaient lire les sites de Dafa et les œuvres originales du fondateur du Falun Gong. Certains ont même dit, « nous avons vu que vous n’étiez plus dans cette dimension pendant votre pratique. Nous aimerions de parler avec vous de ce dont il s’agit. » L’un d’eux me demanda de lui permettre de m’aider à distribuer des journaux à son retour dans sa propre ville et de contacter les médias locaux pour moi. Tout cela me fit réaliser que nous ne devrions pas nous en tenir rigidement aux anciennes méthodes mises au point la veille. Un jour, il pleuvait et je ne pouvais donc pas pratiquer les exercices. J’ai donc commencé à clarifier la vérité pendant les entractes en collectant des signatures [pour notre pétition]. Ce jour là, j’ai clarifié la vérité plus que tous les autres jours. Les quelques jours qui ont suivi, j’ai découvert qu’en une demie heure [la durée de l’entracte] nous ne pouvions pas arriver à clarifier la vérité à plus de quelques personnes. Durant les deux heures précédant le début de l’Opéra à 4 heures de l’après-midi, beaucoup de gens flânaient aux alentours. Cela nous donnerait amplement le temps de clarifier la vérité plus en profondeur. Par conséquent nous avons fait une percée par rapport aux méthodes de la veille. Quelque fois, le public nous disait d’aller à l’étage [Maison de l’opéra] pour récolter des signatures, même les agents de sécurité nous encourageaient « Montez vite, il y a foule là-haut ».Avec la droiture du Cœur, la perversité n’ose pas utiliser la contraintePendant les entractes et à la fin de l’opéra, nous avons clarifié la vérité et distribué des journaux sans que personne n’objecte autour de nous. Durant la cinquième semaine, deux personnes ont dit séparément que nous faisions de la politique et nous ont tancé à voix haute. Nous leur avons gentiment expliqué que ce que nous faisions n’avait rien à voir avec la politique. Grâce à l’étude de Fa, nous avons réalisé de plus en plus que c’était une bonne chance de clarifier la vérité. A la fin, lorsque cette pensée a surgi, le deuxième jour nous les avons attendus, il ne sont pas venus . A ce moment, nous avons vraiment ressenti que « … tout ce qui arrive vise différentes pensées humaines. Ceux qui font bien changent l’environnement autour d’eux, et ceux qui ne font pas si bien font que leurs environnements changent selon leurs états d’esprit « Année 2002, Enseignement de la Loi à Washington DC, Conférence de Fa)Clarifier la vérité a pour but de faire se tourner les cœurs humains vers le bien. L’opera de Wagner a dépeint la vénération pour le bien et a exalté les merveilleuses moralités du genre humain. Avec le soutien de Louis II, cet esprit s’est développé et propagé dans l’espace et dans le temps, et n’a pas décliné au cours de l’histoire.

Aujourd’hui, plus de 1700 Chinois ont été brutalement tués par la dictature pour leur croyance en Vérité, Compassion et Patience. La persécution continuait encore. C’était le défi du dictateur envers le monde civilisé, parce que ceux qui étaient contre Vérité, Compassion et Patience étaient vraiment les terroristes les plus dangereux.

La portée du festival d’opéra réside dans la préservation de la merveilleuse civilisation de l’humanité. Et Vérité, Compassion, Patience, est la sauvegarde pour une magnifique civilisation et la bonté de l’espèce humaine. Nous espérons que plus de gens s’uniront pour nous aider à préserver la Vérité, la Compassion et la Patience.