Si la Chine veut gagner le respect des nations du monde libre, ce quelle demande constamment, elle doit ouvrir ses hôpitaux et unités psychiatriques à linspection non encadrée de lAssociation Psychiatrique Mondiale.
La Chine continue de nier les accusations de longue date selon lesquelles elle réduit au silence les dissidents politiques et [pratiquants] du [mouvement] spirituel Falun Gong en les emprisonnant dans des hôpitaux psychiatriques, où ils sont sujets à des drogues altérant le système nerveux et à des traitements de chocs électriques. La simple négation de la Chine au sujet de telles pratiques nest pas assez convaincante, puisquil y a des preuves quune telle cruauté a bien lieu et que le monde na quà se souvenir des abus psychiatriques en masse de dissidents politiques de lancienne Union soviétique.
De telles barbaries ne peuvent être tolérées par les gens civilisés, et ceci a mené lAssociation Psychiatrique Mondiale, une organisation comprenant les organisations psychiatriques de 105 nations, à voter récemment pour envoyer une commission denquête en Chine dès que possible.
Naturellement, la Chine, qui est membre de lorganisation mondiale, continue de nier ces allégations demprisonnement psychiatrique et dabus, mais na pas encore donné son accord pour ouvrir les portes de ses pavillons psychiatriques aux commissions denquête.
Les responsables chinois, à la recherché de liens économiques plus étroits avec des nations libres, doivent se rendre compte que les ambitions occidentales pour des bénéfices plus juteux sont ces derniers temps liées aux demandes occidentales pour que les droits de lhomme et libertés personnelles soient respectées.
Si la Chine doit devenir un partenaire égal à lOuest sur la scène mondiale, elle ne doit pas sengager dans les comportements barbares dont elle est accusée.
La Chine continue de nier les accusations de longue date selon lesquelles elle réduit au silence les dissidents politiques et [pratiquants] du [mouvement] spirituel Falun Gong en les emprisonnant dans des hôpitaux psychiatriques, où ils sont sujets à des drogues altérant le système nerveux et à des traitements de chocs électriques. La simple négation de la Chine au sujet de telles pratiques nest pas assez convaincante, puisquil y a des preuves quune telle cruauté a bien lieu et que le monde na quà se souvenir des abus psychiatriques en masse de dissidents politiques de lancienne Union soviétique.
De telles barbaries ne peuvent être tolérées par les gens civilisés, et ceci a mené lAssociation Psychiatrique Mondiale, une organisation comprenant les organisations psychiatriques de 105 nations, à voter récemment pour envoyer une commission denquête en Chine dès que possible.
Naturellement, la Chine, qui est membre de lorganisation mondiale, continue de nier ces allégations demprisonnement psychiatrique et dabus, mais na pas encore donné son accord pour ouvrir les portes de ses pavillons psychiatriques aux commissions denquête.
Les responsables chinois, à la recherché de liens économiques plus étroits avec des nations libres, doivent se rendre compte que les ambitions occidentales pour des bénéfices plus juteux sont ces derniers temps liées aux demandes occidentales pour que les droits de lhomme et libertés personnelles soient respectées.
Si la Chine doit devenir un partenaire égal à lOuest sur la scène mondiale, elle ne doit pas sengager dans les comportements barbares dont elle est accusée.
Source :
http://www.clearharmony.net/articles/7032.html
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