Le 20 février 2002, deux policiers du commissariat local sont venus marrêter alors que je ne portais pas de beaucoup de vêtements. Après être descendus jusquà la grille de notre immeuble, on ma poussé dans un véhicule de police et emmené directement au centre de lavage de cerveau du district de Jianghan. Ensuite, on ma transféré au camp de travaux forcés de Hewan où je suis resté emprisonné pendant deux ans. Lorsque les membres de ma famille allèrent au commissariat local pour se renseigner sur moi, les policiers ont tous répondu « Nous ne savons rien ». Après plus dun mois, les membres de ma famille ont finalement appris par dautres sources ce qui métait arrivé. Pendant ce temps, javais souffert du froid. Au centre de lavage de cerveau, ces policiers acharnés nous surveillaient jour et nuit. Nous navions le droit à aucune activité ni à la pratique du Falun Gong. Forcés de sallonger sur le lit vingt-quatre heures sur vingt-quatre, nous nous sentions faibles et pris de vertiges. Notre état de santé sétait sérieusement détérioré.
Alors, les policiers cruels ont essayé de nous faire subir un lavage de cerveau en utilisant du matériel de propagande très calomnieux et des mensonges. Au centre de lavage de cerveaux, les pratiquants ont souffert de tortures inhumaines et de mauvais traitements. Dabord, dès leur arrivée, on les forçait de se déshabiller complètement pour un examen. Ils étaient obligés de tourner sur eux-mêmes, de saccroupir et de se lever alternativement. Les officiers les insultaient, leur donnaient des coups de pied, les battaient et les giflaient. Les policiers déshabillaient même les pratiquants et les menottaient au « lit du mort » (une torture où les quatre membres du pratiquant sont étendus au maximum et attachés aux quatre coins dun lit de métal glacé. Le pratiquant ne peut pas bouger du tout.) de trois à cinq jours et parfois jusquà un mois. Ils nétaient même pas détachés pour uriner ou déféquer.
Les officiers persécutaient les pratiquants fermes et inébranlables en augmentant leurs tâches de travail, en les plaçant dans des cellules isolées, en les privant de sommeil, en les épuisant, et en les attaquant psychologiquement. Ils encourageaient les criminels à les torturer. Si les criminels pouvaient satisfaire aux demandes des officiers, on leur faisait des éloges et on les récompensait en réduisant leur peine.
Alors, les policiers cruels ont essayé de nous faire subir un lavage de cerveau en utilisant du matériel de propagande très calomnieux et des mensonges. Au centre de lavage de cerveaux, les pratiquants ont souffert de tortures inhumaines et de mauvais traitements. Dabord, dès leur arrivée, on les forçait de se déshabiller complètement pour un examen. Ils étaient obligés de tourner sur eux-mêmes, de saccroupir et de se lever alternativement. Les officiers les insultaient, leur donnaient des coups de pied, les battaient et les giflaient. Les policiers déshabillaient même les pratiquants et les menottaient au « lit du mort » (une torture où les quatre membres du pratiquant sont étendus au maximum et attachés aux quatre coins dun lit de métal glacé. Le pratiquant ne peut pas bouger du tout.) de trois à cinq jours et parfois jusquà un mois. Ils nétaient même pas détachés pour uriner ou déféquer.
Les officiers persécutaient les pratiquants fermes et inébranlables en augmentant leurs tâches de travail, en les plaçant dans des cellules isolées, en les privant de sommeil, en les épuisant, et en les attaquant psychologiquement. Ils encourageaient les criminels à les torturer. Si les criminels pouvaient satisfaire aux demandes des officiers, on leur faisait des éloges et on les récompensait en réduisant leur peine.
Source :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/9/13/26459.html
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