Le camp de travail de Masanjia détient plus de 1 300 pratiquantes et les torture brutalement.

Le camp de travail de Masanjia dans la ville de Shenyang, une soi-disant « école de rééducation », détient plus de mille trois cents pratiquantes (1300). 5 zones d’isolement cellulaire ont été construites dans le camp pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong déterminées – celles qui refusent d’abandonner leur croyance.

Une telle zone est remplie de pratiquantes qui ont fait une grève de la faim et qui sont maintenant détenues en régime d’isolement cellulaire. La pratiquante Xia Ning, une habitante de la ville de Xingcheng âgée de 50 ans, a été menottée sur un lit pendant 8 mois parce qu’elle a demandé qu’on la laisse pratiquer les exercices de Falun Gong. Une fois, parce qu’elle émettait la pensée droite (une méditation spéciale), elle a été menottée contre le haut d’un lit superposé et forcée à rester debout pendant 4 longues nuits. La police bat quiconque demande de faire les exercices et attache très étroitement les jambes des pratiquantes avec des cordes pendant des heures jusqu’à ce qu’elles tombent inconscientes par la douleur extrême.

La torture dans le camp de travail de Masanjia a causé des pertes de connaissance de nombreuses pratiquantes. Ces pratiquantes incluent Jiang Wei de Chaoyang, Bai Kun de Guantun et une autre pratiquante de Benxi. Pour empêcher que leurs crimes soient révélés, quand les visiteurs viennent au camp, les geôliers mettent les pratiquantes qui ont un franc-parler à l’écart, les détenant en régime d’isolement cellulaire.