Il y a en Chine un grand nombre de toxicomanes détenus dans les camps de travaux forcés. Certains sont devenus des outils du Parti communiste chinois (PCC) utilisés pour torturer les pratiquants de Falun Gong.
Les autorités du Camp de travaux forcés de Xinkaipu dans la province du Hunan ont sélectionné un groupe après l’autre de ces toxicomanes en leur faisant miroiter des bénéfices personnels pour qu’ils deviennent des « moniteurs. » La police convoque fréquemment ces personnels et l’ instructeur politique ou le capitaine pour les entraîner et les encourager à torturer les pratiquants de Falun Gong La police leur instille des slogans comme « être bon envers des pratiquants de Falun Gong revient à être cruel envers vous-mêmes. » Le policier Xiao Jie leur a dit de s'« unir pour traiter le Falun Gong. » Le capitaine Su Yi a dit : Si je pouvais juste les tuer. »
La police a établi plusieurs positions,y compris un poste d’interne de service, d’externe de service, un capitaine pour tous les « moniteurs », des chefs de petite équipe pour les moniteurs, et des moniteurs souterrains. Voici des choses qui se sont produites dans les salles A et C :
Salle A : Les pratiquants sont forcés à s’asseoir dans une boîte de 0.36 mètres carrés pendant de longues périodes de temps, avec les mains sur les genoux et le regard droit porté loin. Comme aucun mouvement, aucune parole ne sont autorisés, les moniteurs doivent amener de la nourriture aux pratiquants, qui sont autorisés à aller aux toilettes trois fois par jour. Ces moniteurs forcent à tour de rôle les pratiquants à écouter la propagande du PCC. Ils les provoquent aussi en disant des choses comme : »Pourquoi n’osez vous pas vous cogner la tête contre le mur ? Hurlez ou asseyez vous en obéissance. Ne me mettez pas dans une situation si inconfortable. Nous vous traitons vraiment bien, je n’ai jamais traité ainsi même mes parents. »
Salle C : Il y a un endroit à l’extérieur de la salle C qui semble être un centre d’exercices et d’entraînement. Dans la salle C, les pratiquants sont forcés à se tenir debout droits sans bouger pendant de longues périodes de temps, ensuite ils sont forcés à se tenir sur une seule jambe. Les moniteurs ont écrit le nom du fondateur du Falun Gong partout sur le plancher, ne laissant pas dix centimètres carrés de vide. Puis ils ont forcé les pratiquants à se tenir debout avec les bras étendus des deux côtés et deux boîtes de conserve pleines de phlegme suspendues à leurs bras. En même temps, une autre boîte de conserve avec du phlegme est placée sur leur tête. Les pratiquants sont aussi forcés à se laver le visage avec le phlegme. Les moniteurs ont giflé les visages des pratiquants avec des chaussures de cuir et mis des poids pesant sur leurs doigts de mains et de pieds. Après que les pratiquants ont été forcés à se tenir ainsi pendant des périodes prolongées, ils piquent les paupières des pratiquants avec des bâtonnets de bambou pour les priver de sommeil. Ils font ça jusqu’à ce que les pratiquants ne puissent plus supporter la torture et acceptent d’écrire les soi disant
Le 23 janvier 2007, un pratiquant, Li Wei, a été forcé à se tenir debout sur des briques qui avaient été chauffées dans un four, sous un soleil brûlant. Il a aussi été constamment bombardé de propagande et autrement torturé mentalement, l’amenant à faire une dépression nerveuse et à se jeter par la fenêtre d’un bâtiment.
Liu Heqing a été sauvagement battu pendant une longue période de temps. Il a été fréquemment réveillé, traîné hors de sa cellule et passé à tabac. À une occasion, plus de dix officiers de service l’ont traîné dans le hall et tabassé pendant plusieurs heures. Il s’est effondré mentalement suite aux coups. La police a donné des bonus pour récompenser ceux qui l’avaient battu.
Peng Derong a été attaché à un lit par huit moniteurs, complètement deshabillé et s’est vu interdire l’usage des toilettes. Les policiers et les moniteurs lui ont injecté un produit et l’ont gavé de force avec des grandes quantités de drogue, le rendant à moitié fou.
Liu Zhengtian a la cinquantaine. Un jour un policier du nom de Dou s’est rendu dans sa cellule et l’a giflé plus de trente fois, disant qu’il n’avait pas bien nettoyé sa cellule. Du fait de la pression constante, Liu a développé de graves problèmes de cœur, et les médecins ont dit qu’il ne vivrait pas six mois tant sa santé s’était détériorée.
Xiao Sixian a été enfermé dans une cellule d’isolement pendant quinze mois. Une des ses dents est tombée à force d’être battu et il a développé des symptômes de maladie. Il souffre d"un manque d’afflux sanguin au cœur. Il a aussi de l’hypertension, des maux de têtes, de l’incontinence intestinale, et de sérieux problèmes de dos.
Peng Anli a été convoqué plusieurs fois par la police à leur bureau et forcé par des méthodes d’extrême torture à dire qu’il était un pratiquant du « travail forcé ». Ce qui l’a rendu mentalement instable.
Ge Hui a développé de la tension (280) en conséquence des abus qu’il a souffert.
Durant les huit dernières années, près de 900 pratiquants ont été détenus dans le Camp de travail forcé de Xinkaipu. Parmi eux il y a plusieurs dizaines de pratiquants qui ont été torturés par les officiers de police et les toxicomanes au point de devenir mentalement instables. Environ dix pratiquants étaient paralysés suite à la torture. Plusieurs dizaines ont développé des maladies terminales ou une maladie de cœur dues à la torture, et beaucoup montrent des symptômes d’hypertension. Mais la torture continue.
J’appelle toutes les bonnes personnes dans le monde à travailler ensemble pour mettre fin à l’inhumaine persecution des pratiquants de Falun Gong !
Date de l’article original : 29/5/2007
Version chinoise à :
http://minghui.ca/mh/articles/2007/5/16/154937.
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