Zhu Guilin, 33 ans a été illégalement détenue plusieurs fois pour avoir pratiqué le Falun Gong et
Mme Zhu, de la province de Hunan, agglomération de Changde, Comté de Shimen, a été illégalement détenue dans le camp de travaux forcés de Baimalong dans la ville de Zhuzhou pendant deux ans et demi. Le 8 avril sa peine était terminée, mais le camp de travail forcé Baimalong ne l'a toujours pas libérée.
Le matin du 9 avril, la mère, le frère et la belle soeur de Zhu sont allés au camp de travail forcé Baimalong pour lui rendre visite.
Mme Zhu est sortie soutenue par d'autres personnes incapable de marcher seule. En voyant sa fille dans cet état, sa mère n'a pas pu s’empêcher de pleurer. Un policier dans la salle de réception s’est avancé pour l'arrêter sa mère parce que les membres de famille ne sont pas autorisés à pleurer. Mais la mère de Mme. Zhu ne pouvait toujours pas retenir ses larmes.
Mme Zhu avait des contusions partout sur la tête, les mains, les poignets, les coudes, les genoux et les jambes. Elle était si émaciée qu'elle n’était plus qu’un sac d’os. Peu de temps après qu'ils se soient réunis, plusieurs policiers sont sortis et l'un d'entre eux a hurlé : "On ne vous permet pas de pleurer!" La belle-soeur de Zhu Guilin a demandé au policier de ne pas parler aussi violemment parce que la mère de Mme Zhu avait une maladie de coeur et de l'hypertension et ne pouvait pas supporter de tels hurlements
Faisant face à une telle insolence de la police, les parents de Mme Zhu ont dit : "Zhu Guilin croit en Vérité, Compassion, Tolérance et pratique le Falun Gong. Elle n'a commis aucun crime. Mais vous l'avez torturée à ce point. Et vous ne nous permettez même pas de pleurer." Voyant les parents discuter avec eux, la police est devenue bien plus brutale : "Si votre famille continue comme cela, je mettrai fin à votre réunion dès maintenant." La mère de Mme Zhu tenait la main de sa fille fermement et ne la laissait pas partir. Plusieurs policiers sont venus pour éloigner de force sa mère. Inquiète que sa mère puisse avoir une crise cardiaque, la belle-soeur de Mme Zhu a arrêté la police. Mais les policiers se sont retournés pour faire face à la belle-soeur, et l'ont empoignée par les cheveux. D’autres ont tiré ses bras dans son dos et d’autres pincé son cou. Les boutons sur ses vêtements ont été déchirés. Plusieurs policiers ont traîné la belle-soeur jusqu'en bas. Deux policiers l'ont alors soulevée et laissée tomber à l'extérieur de la porte du camp de travaux forcés . Sa tête était enflée.
Après, plusieurs policiers ont saisi la mère de Mme Zhu et ont traîné la dame âgée de soixante dix ans au sol jusqu'à ce qu'elle perde connaissance.
A ce moment il restait encore d'autres personnes dans la salle de réception. La police du camp de travaux forcés de Baimalong s'est montrée dure et brutale envers les membres de famille à la vue du public. On peut imaginer quelle est leur brutalité avec les pratiquants de Falun Gong à l'intérieur de la prison.
En août 2000, Zhu Guilin est allé à Pékin faire appel pour le Falun Gong. La police du bureau de la sécurité publique dans le comté de Shimen l'a ramenée dans sa ville natale et illégalement détenue à la Station de détention de Shimen pendant quatre mois. Sa famille s'est vue forcée à payer une amende de 3000 yuans avant qu'elle ne soit libérée.
En février 2001, le
Le 8 octobre 2004, la police a encore une fois arrêté Zhu Guilin et a saccagé sa maison. Zhu a été illégalement condamnée à deux ans et demi dans un camp de travaux forcés et envoyée au camp de Baimalong dans la ville de Zhuzhou. Les organismes internationaux des droits de l'homme ont exprimé des inquiétudes à propos du camp de travail forcé de Baimalong pour sa persécution brutale des pratiquants de Falun Gong. Environ mille membres de famille de pratiquant de Falun Gong ont soumis une lettre commune demandant publiquement à la communauté internationale d’étudier et d’arrêter le traitement inhumain des pratiquants de Falun Gong par le camp. Zhu Guilin a souffert des tortures graves pour ne pas avoir coopérer avec le processus de "
Le camp de travaux forcés a employé la perfusion intraveineuse comme excuse pour confisquer l'argent que sa famille lui avait donné plusieurs fois pour ses besoins quotidiens, 600 yuans au total.
Date de l'article original: 30/04/2007
Version chinoise disponible à :
http://www.minghui.ca/mh/articles/2007/4/12/152636.html
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