Après avoir quitté l'armée, Gong Jingwen a été un instructeur politique du village de Dagong, comté de Dongguang, province du Hebei. Il a ensuite été promu chef de la section de défense politique, du groupe de sécurité nationale du comté de Dongguang. Au cours de ces dernières années, sous sa surveillance, des pratiquants de Falun Gong ont été forcés à donner des informations sous la torture. Des crimes inventés de toute pièce ont servi à envoyer six pratiquants en camp de travaux forcés, sans procès. Trois pratiquants ont été emprisonnés avec des peines allant jusqu'à huit ans, douze pratiquants ont été arrêtés, trente pratiquants ont été obligés de subir un lavage de cerveau, trois ont dû quitter leur domicile pour éviter d’être arrêtés et sept ont divorcé.
Gong Jingwen a confisqué les biens des pratiquants pour une valeur allant jusqu'à 100.000 yuans (d’après des statistiques incomplètes). Les capitaux des petites entreprises de quelques pratiquants ont été confisqués et n’ont jamais été rendus. Quelques pratiquants ont été emmenés à la section de défense politique, du comté de Dongguang, pour une prétendue « conversation. » Si le pratiquant refusait de coopérer, il ou elle était illégalement détenu(e) et torturé(e). Gong Jingwen est fréquemment entré de force chez des pratiquants et à une occasion, il a pris 1.400 yuans en liquide d'une maison sans surveillance.
Gong Jingwen s’est joint aux forces du comité du parti communiste chinois de la ville de Lian pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Pendant qu’il était en fonction, il a arrêté Mme Qu Shufen du village de Cheng et a extorqué l'argent de sa famille. Depuis que la persécution a commencé en 1999, Mme Qu a été illégalement détenue pendant plus de 90 jours et son mari a été détenu pendant plus de quatre mois. D'abord, la famille a été pénalisée de 3.200 yuans par le commissariat de police de la ville de Lian, ensuite, elle a été pénalisée de 3.700 yuans par la section de défense politique (qui est gérée par Gong Jingwen). Pour sa libération, la famille a dû payer 770 yuans au centre de détention et 1.000 yuans à Gong Jingwen. Plus tard, Mme Qu est morte en raison du traumatisme physique et psychologique de la persécution.
Gong Jingwen incite ou exécute la torture sur les pratiquants de Falun Gong. Les listes suivantes sont les méthodes de torture qu'il a utilisées:
1. Le passage à tabac. Quelques pratiquants ont été secrètement détenus dans l'escadron numéro 26 de l'équipe de police de la circulation dans le commissariat de police de Chengguan. Ils ont été menottés et suspendus pendant 48 heures ou plus, ensuite, ils ont été brutalement battus. Un pratiquant a été si sévèrement battu avec une matraque en bois que six mois après sa libération, il ne pouvait toujours pas se déplacer. Gifler les pratiquants, entraînant gonflement ou saignement, est une pratique aussi très courante.
2. La congélation. Pendant l’hiver très froid du nord de la Chine, des pratiquants ont été emmenés dehors, dévêtus, menottés et suspendus à un poteau en acier. La torture ne s’arrêtait que lorsque le pratiquant était à moitié congelé et avait perdu connaissance. Cet acte inhumain a été commis contre une femme âgée.
3. Le gavage forcé. Les pratiquants qui ont fait des grèves de la faim ont été soumis au gavage forcé. Le tube enfoncé dans l’estomac n'était pas retiré pendant cinq ou six jours. On ajoutait aussi parfois un concentré d’eau salée, ce qui endommageait considérablement l'estomac.
4. Le banc en acier. Les pratiquants ont été attachés sur un banc en acier jusqu'à cinq jours et on les empêchait de dormir. Une fois libérés, les pratiquants s’évanouissaient.
5. On a obligé les pratiquants à s'accroupir sans arrêt, à rester debout ou à courir pendant de longues périodes.
6. Les doigts des pratiquants ou d'autres endroits du corps ont été brûlés avec des cigarettes.
7. Les pratiquants ont été frappés sur les côtes avec des baguettes ou des bouteilles. Cette torture est trop douloureuse pour être décrite avec des mots et ne laisse aucune blessure superficielle.
8. On oblige les employeurs des pratiquants à surveiller leur vie quotidienne et on force les pratiquants à écrire une
déclaration de garantie promettant d’arrêter la pratique ou de calomnier le nom de Dafa.
9. Les maisons et les téléphones des pratiquants sont constamment surveillés.
15 janvier 2007
Traduit de l’anglais au Canada le 31 janvier 2007
Version chinoise disponible à http://www.minghui.org/mh/articles/2007/1/16/146976.html
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