M. Bai Tianshi du quartier de Guojiatuo dans le district de Jiangbei de la ville de Chongqing a été gravement torturé par le deuxième escadron de la septième brigade du camp de travail de Xishanping. Il a été estropié et a été alité pendant plus de vingt jours suite à la torture. Il a été incapable de bouger seul pendant deux ou trois mois et a perdu pratiquement toutes ses dents suite à la torture.
M. Bai Tianshi a travaillé à l’usine de Wangjinang de la ville de Chongqing. Parce qu’il pratique le Falun Gong depuis environ un an les dirigeants de l’usine l’ont licencié. Il a été envoyé au camp de travail de Xishanping par la division Jiangbei de la Police de Chonging. En août 2005, parce qu’il a distribué du matériel de clarification de la vérité il a été de nouveau détenu dans le camp de travail de Xishanping pendant 21 mois.
En novembre 2005, après être passé par la « formation de groupe » dans le premier escadron de la septième brigade du camp, M. Bai a été transféré au troisième équipe strictement contrôlée du deuxième escadron de la septième brigade afin d’être encore plus persécuté. Quand les « assistants criminels » lui demandaient d’accepter un compromis, Bai Tianshi a toujours répondu, « Jamais ! » Le 15 février 2006, Fu Yaqiang, qui est la tête des détenus criminels, a fermé la porte de la cellule et a exigé que M. Bai réponde à sa question : « Vas-tu écrire oui ou non la lettre de garantie ? » Quand Bai a répondu « Non » plusieurs détenus criminels l’ont immédiatement encerclé et deux d'entre eux l’ont soulevé par les jambes et deux autres par les bras et l'ont porté sur un lit. Ils ont écarté ses pieds et les ont attachés à chaque extrémité de la tête du lit. Ils ont également inséré un petit tabouret sous ses hanches, pour soulever ses jambes. Fu a alors crié, « Si tu n'écris pas la lettre de garantie, je te laisserai goûter à ce traitement. » Puis avec Gou Changhua ont en même temps pressé vers le bas très fort sur les jambes de M. Bai. On ne peut imaginer combien douloureux ça a dû être! Plus tard dans l'après-midi, le détenu, Huang Xiaodong apporté des aiguilles en acier et a piqué les pieds et les mains de M. Bai. Cet après-midi là ils l'ont torturé jusqu'à 18H00 heures.
En mars 2006, Lei Kejin, le chef de l’escadron de la septième brigade a donné comme instruction aux « assistants » de transformer de force Bai Tianshi. Pendant les vingt jours suivants le pervers Fan Shuanshuan qui est en charge des assistants a utilisé plusieurs méthodes perverses pour torturer M. Bai. L’une des méthodes utilisée était « s’asseoir droit », la taille droite avec les deux mains sur les genoux. Entre les genoux il y a un morceau de papier qu’il faut tenir bien serré. Si le papier tombe, la personne est alors violemment pincée ou reçoit des coups de pieds. Cette torture est en général maintenue pendant une demi-journée.
Une fois pendant la coupure de deux heures de midi, un soi disant assistant a forcé Bai Tanshi a tenir sa tête avec les deux mains et à se pencher à 90°. M. Bai s’est évanoui deux fois sans qu’on lui permette d’arrêter. Les détenus l’ont forcé à s’asseoir sur un banc du tigre et un assistant a soulevé ses pieds violemment lui causant une douleur atroce au point que tout le corps de Bai Tianshi a commencé transpirer.
Un autre jour des “assistants” ont fait tomber Bai Tianshi sur le plancher. Ils ont pressé sa tête vers le bas et l’ont glissé sous un lit superposé. M. Bai qui mesure presque 1,80 mètre a eu le corps complètement déformé sous le lit superposé. L’ « assistant » Fan s’est assis sur le lit juste au dessus de la tête de Bai Tianshi avec un sourire de dédain.
Après vingt deux jours de torture, M. Bai Tianshi était complètement épuisé et avait le regard fixe. Il était incapable de se lever et il a été obligé de rester alité comme une personne paralysée.
Des que M. Bai a pu sortir du lit, il a été transféré au soit disant « groupe de « contrôle général » pour être encore plus torturé. A cause de toutes ses tortures M. Bai ne pouvait plus se mouvoir facilement et quand il marchait il devait se tenir au mur. Une fois le pervers Jiang Zeng qui est un « assistant » lui a dit de dire à quoi il pensait puis il l’a violemment giflé cinq fois.
Tian Xin le chef de la septième brigade avec Lei Kejin, le chef du deuxième escadron du camp de travail de Xishanping de la ville de Chongping ont été chargé de torturer les pratiquants de Dafa Wu Qun, Chen Changjun, Kang Hong et d’autres qui n’étaient pas encore « réformés ». Ces deux pervers gardes ont torturé les pratiquants à la fois physiquement et moralement. Les pratiquants ont été enfermés dans une petite cellule pendant une longue période de temps et ont été surveillé par des détenus vingt quatre heures sur vingt quatre. Ils ont demandé chaque jour aux pratiquants de rédiger « des rapports d’amélioration ». S’ils refusaient les détenus les torturaient. Leurs familles ont été privées de droit de visite et l’argent qu’envoyaient leurs familles étaient distribuaient à d’autres. Ces pratiquants sont devenus très faible à cause du manque de nourriture qui ne servait qu’à les maintenir en vie pour être encore plus torturés.
Camp de travail de Xishanping
Beipei, Chongqing, Post No. 400700
86-23-89090080, 86-23-89090017
Les personnes perverses ayant participées à la persecution:
Lei Kejin: mâle, âgé d’environ 30 ans, chef du deuxième escadron de la septième brigade.
Fan Shuanshuan: mâle, âgé de 35, a criminal toxicomane de l Yuzhong dans la ville de Chongqing.
Fu Yaqiang: mâle, âgé d’environ 30 ans, criminel toxicomane du district de Changshou district dans la ville de Chongqing.
Jiang Zeng: mâle, âgé d’environ 30 ans, criminel toxicomane.
Version chinoise disponible sur
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/11/29/143517.html
Traduit de l’anglais sur
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2006/12/8/80668.html
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.
* * *
Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.