"Le 23 août 1973, deux cambrioleurs dune banque ont pris en otage trois femmes et un homme employés de banque à Stockholm, en Suède. La police a immédiatement encerclé le lieu du crime et a finalement réussi à libérer les otages. Le 28 août, la police a arrêté les voleurs. Pendant les 6 jours de confrontation entre les cambrioleurs et la police, les vies des otages étaient entre les mains des criminels. Les otages, pour protéger leurs propres vies, ont coopéré avec les voleurs de la banque et ont fait appel aux médias et au gouvernement pour faire reculer la police et satisfaire aux demandes des cambrioleurs. Ces actions sont celles qui correspondent à la mentalité dune personne. Cependant, lorsque les otages ont été relâchés, alors que leurs vies nétaient plus menacées, ils ont continué de se ranger du côté des cambrioleurs. Ils ont fait l'éloge des voleurs face aux médias et aux juges et les ont remerciés pour avoir épargné leurs vies et les avoir traités avec gentillesse. Une otage s'est même fiancée à l'un des criminels. Ce cas d'abusés se liant à leurs abuseurs, et cette sorte de lien persistant même après que le moment momentané de violence ait été évité, a attiré l'attention des psychologues du monde entier. Le psychologue suédois Nils Bejorot a nommé ce phénomène "le syndrome de Stockholm". Pendant les quelques dernières décennies, les cas d'otages se sont répandus à travers le monde, et le "syndrome de Stockholm" semble se répéter fréquemment ; les discussions sur ce sujet dans les cercles de psychologues ne terminent jamais."
En fait, ce phénomène a lieu maintenant à grande échelle en Chine. Alors que le dictateur Jiang utilise les rouages qui sont en son contrôle pour restreindre et terroriser les gens, il utilise aussi ses porte-paroles, les chaînes de télévision et les journaux pour prôner sa théorie des "trois représentants", qui représente en réalité des fonctionnaires corrompus, des fonctionnaires cruels et une attitude criminelle. Il prône aussi la prospérité superficielle de la Chine qui dépend des investissements étrangers. Ce bourrage de crâne a transformé de nombreux chinois en esclaves de la propagande. Au moment présent, de nombreuses personnes, y compris quelques victimes du "massacre de Tian An Men du 4 juin" défendent toujours le massacre. Lorsque les pratiquants de Falun Gong sont torturés et tués parce qu'ils veulent être autorisés à pratiquer leur conviction et à faire appel selon la loi, quelques unes de ces mêmes personnes ne condamnent pas la cruauté du dictateur ; plutôt, ils accusent les pratiquants de Falun Gong d'être dans l'erreur.
Jiang maintient toujours de nombreuses classes de lavage de cerveaux à travers la Chine par l'intermédiaire du "bureau 610" dont les autorités envoient les pratiquants de Falun Gong dans ces centres de lavage de cerveaux, les terrorisant et les trompant, par des moyens abjects et brutaux. En conséquence de ces lavages de cerveaux violents, certaines personnes ont souffert de dépressions nerveuses et renoncé à leurs convictions. De plus, ces gens sont devenus des collaborateurs du personnel du "bureau 610" afin de faire du mal à d'autres et ont même loué le dictateur qui les avait torturés. Ceux d'entre nous qui sont à l'étranger peuvent penser que cette attitude est incompréhensible, car c'est la tragédie des tragédies. Ceux d'entre nous qui n'ont pas fait l'expérience de ces traitements ignobles ne devraient pas sous-estimer le danger du lavage de cerveau violent qu'exerce le régime de Jiang. Alors que nous essayons de traiter le "syndrome de Stockholm", nous devons éliminer la cause fondamentale du "syndrome de Stockholm".
Source:
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/7/9/23938.html
Chinese version available at:
http://minghui.ca/mh/articles/2002/7/4/32808.html
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