Mme Liu Lihua, pratiquante de Falun Dafa de Wuhan City, dans la province du Hubei, a été torturée de multiples fois. Elle a été attachée au
Mme Liu Lihua, 50 ans, était Directrice du Centre de Service de technologie de l’agriculture du district de Hongshan à Wuhan City. Elle est allée à Pékin clarifier la vérité concernant Falun Dafa le 22 juillet 1999, et en décembre 1999. Elle a été détenue pendant deux ans dans le Centre de détention de Haogou, le Premier centre de détention de Wuhan City, et le Camp de travail forcé de Hewan. Dans le centre de détention, elle a été attachée au lit de la mort et torturée avec la grande suspension (1) pour avoir pratiqué les exercices de Falun Dafa. Plus tard, elle a été envoyée au Camp de travail forcé de Hewan pour un an de travail forcé. Pendant qu’elle était là-bas, elle a été enfermée dans une petit cellue sombre (2) pour avoir refusé d’accepter le lavage de cerveau. Il y avait deux prisonnières qui lui servaient de cangues(3) personnelles. » Mme Liu a été brutalement alimentée de force alors qu’elle faisait une grève de la faim pour protester contre la persécution. Elle a été torturée avec quatre mois de privation de sommeil, jusqu’à ce qu’elle devienne squelettique.
Le 3 avril 2003, son employeur et les employés du
(1) Il y a deux formes de cette torture: (1) Avec les deux mains menottées derrière le dos et seul le bout des pieds touchant le sol, on est suspendu par une corde qui est attachée aux montants métalliques d’une fenêtre.; (2) Une main du pratiquant est menottée à un lit superposé et l’autre à un autre lit, et les deux lits sont tirés dans des directions opposées. C’est extrêmement douloureux car le corps est déchiré. Voir l’illustration à :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/11/17/54624.html
(2) Le détenu est enfermé dans une petite cellule individuelle. Les gardes le menottent derrière son dos dans une position fixe dans laquelle le pratiquant ne peut ni bouger ni s’étendre. La petite cellule est très humide et le soleil n’y entre jamais. Les détenus doivent faire leurs besoins dans la cellule. On ne sert aux détenus enfermés dans les petites cellules que la moitié d’un repas normal dans la journée. La nuit, les rats courent partout. La puanteur y est si terrible qu’il est difficile de respirer.
(3) Il y a des "cangues ouverts" et "des cangues secrets") [Note: "Cangue," le nom d’un instrument de torture, est à présent utilisé pour indiquer la personne qui est designee pour surveiller le comportement des pratiquants .]
Date de l’article original: 6/7/2006
Version Chinoise disponible sur :
http://www.minghui.org/mh/articles/2006/6/29/131708.html
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