J’ai connu Falun Dafa en 1995 sur le continent chinois et depuis j’ai commencé ma cultivation. Malgré un temps relativement long de cultivation personnelle, quand je suis arrivée la première fois au Canada, je n’étais pas habituée à la façon de cultiver des pratiquants d’outremer. Je n’étais pas habitué à cet état de cultivation et je n’étais pas d’accord du tout avec l’attitude des pratiquants d’outremer. Mais je n’ai pas voulu leur en parler directement de peur que ça n’influe sur notre bonne relation. Pour être honnête, j’avais peur de me créer des problèmes. Bien que nous soyons des gens qui cultivons, la plupart d’entre nous aimons entendre de bonnes choses et des compliments. En plus mon plus grand attachement était que j’accordais de l’importance à ce que les autres pensent de moi et je tenais vraiment à ce que chacun pense que j’étais super. Aussi j’ai utilisé une méthode que l’on pourrait nommer “Me garder nette de tout et rester bonne " et je ne me suis pas impliquée dans les affaires des pratiquants. Bien sûr en tant que pratiquante je faisais de mon mieux pour valider Dafa. Les pratiquants ne critiquaient pas ce que je faisais mal mais ils me complimentaient sur les choses que j’avais bien faites. En conséquence j’étais contente de moi et je me considérais comme quelqu’un qui se cultive très bien. La réalité était pourtant que je petit à petit je m’éloignais de l’environnement de la cultivation
Ce sont les indices envoyés par Maître et les encouragements de mes compagnons de pratique qui m’ont aidée à participer de plus en plus dans les projets de validation de la Loi (Fa). J’ai eu de plus en plus l’occasion d’interagir avec les pratiquants, mais j’avais toujours peur de commettre des erreurs et je ne prenais jamais d’initiatives. Quand des pratiquants venaient me voir et me demandaient de m’occuper de tel ou tel projet, je refusais la proposition parce que j’avais peur de ne pas arriver à bien faire. Un grand nombre d’attachements m’empêchaient d’être diligente. Ce sont la compassion de Maître et la tolérance de mes compagnons de pratique qui m’ont permis de voir de plus en plus mes attachements dans l’environnement de la cultivation en groupe. J’ai progressivement éliminé mes attachements et ai commencé à marcher fermement sur le chemin de ma cultivation.
Devenir coordinatrice a été un grand test pour moi. C’était aussi une occasion rare de cultivation. Toutes les épreuves, la renommée et les insultes qui en découlent ont frappé de plein fouet mes attachements.
J’ai commencé le travail de coordinatrice en avril 2004 et depuis l’environnement de ma cultivation a changé dramatiquement. Pour employer une expression de personne ordinaire, je suis devenu la cible des flèches. Effectivement c’est un bon environnement de cultivation. Si chacun est gentil avec l’autre, comment pourrait-on s’améliorer ?
Tout d’abord, j’ai dû affronter les conflits causés par ma nomination au poste de coordinatrice. Je suis arrivée à cette position beaucoup plus tard que les autres. Comparée aux compagnons de pratique j’étais à la traîne. Je n’ai jamais pensé devenir une coordinatrice. Parce qu’un des coordinateurs est parti dans une autre région et qu’il y avait un besoin d’un autre coordinateur on m’a demandé de devenir une coordinatrice. Quand on me l’a demandé j’ai été très surprise mais je n’ai pas osé rejeter l’offre. Je pensais qu’en tant que pratiquante j’avais la responsabilité de contribuer à l’environnement de cultivation. Si cela fait partie de mes responsabilités et que je la décline comment pourrais je tenir la promesse que j’ai faite il y a très longtemps de cela ? Mais entre temps, j’ai eu peur de ne pas pouvoir être à la hauteur pour m’acquitter de cette lourde responsabilité et j’avais vraiment peur du titre de " coordinatrice ". J’ai dit aux pratiquants qui m’ont proposée de devenir coordinatrice : " Je ne veux pas du titre. A compter de ce jour je ferais le maximum pour maintenir l’environnement du groupe. Cela ira-t-il? Les compagnons de pratique ont répondu non. En fait j’avais peur des controverses, des conflits et de prendre des responsabilités. Une grande confusion régnait dans mon cœur et je ne savais plus quoi faire. D’un coté quand je me base sur ma compréhension de la Loi, pour un 'cultivateur' il y a le Maître et la Loi ? De quoi avais-je donc peur? Plusieurs compagnons de pratique ont promis de faire de leur mieux pour m’aider et ont dit espérer que j’accepterai la responsabilité afin de permettre qu’il y ait une personne de plus qui se préoccupe du groupe. Face à l’altruisme et à l’esprit d’ouverture de mes compagnons, j’ai décidé avec courage d’accepter le poste. Mais d’un autre côté, en y réfléchissant je mesurais toute la responsabilité qui allait m’incombait. Je savais que je me plaçais au dessus d’une marée mouvante et que tous mes attachements seraient visés et exposés.
La chose qui me faisait le plus peur est arrivée. Ça été une grande surprise pour mes compagnons de pratique de voir que j’étais devenu coordinatrice. Il y a eu plusieurs points de vue. Certains m’ont soutenu d’autres sont restés silencieux. Mais je voyais que certains pratiquants n’acceptaient pas le choix dans leur coeur. Une idée n’arrêtait pas de me trotter dans la tête. “Pourquoi Jian Ziya a-t-il demandé à distribuer les titres aux dieux? Il était vieux et incompétent". Il y avait une trop grande pression sur moi et je n’avais pas assez confiance en moi. Même dans une société ordinaire je ne voulais pas être responsable et je refusais toujours quand on m’en donnait l’occasion. S’il ne s’agissait pas de cultivation je serai sans aucun doute en dehors de tous ces tracas. Un pratiquant m’a dit : " Tu as été choisie parce que tu n’as pas l’attachement à vouloir en devenir une. " Je savais que je ne pouvais plus reculer. Je savais aussi clairement que la pression venait de mes attachements. J’étais touchée dans mes attachements. Je n’aimais pas perdre la face devant les autres et je voulais que les autres aient une bonne opinion de moi. J’avais aussi peur de tous les efforts intellectuels et physiques qu’il fallait déployer.
Avant même que j’en accepte complètement l’idée des projets de Dafa surgissaient les uns après les autres. Une semaine plus tard était le 25 avril suivi immédiatement par le 13 mai, la Journée de Falun Dafa. En outre cette année la Conférence annuelle du Canada aurait lieu à Montréal. Il fallait aussi s’occuper des activités du 20 juillet. En seulement trois mois j’ai dû faire face à plusieurs choses. J’ai appris petit à petit de mes compagnons de pratiques qui généreusement me donnaient de plus en plus l’occasion de participer à des projets. J’ai progressivement appris à m’impliquer. Mais entre temps, mes autres attachements tels que me mettre en avant,le zèle et l’égoïsme sont ressortis. La plupart des activités coûtaient de l’argent et le coût d’une conférence annuelle était relativement élevé. J’ai donné l’argent que j’épargnais depuis très longtemps sans aucune hésitation. Je pensais utiliser l’argent pour louer la salle de conférence. N’est-ce-pas bien ce que je fais? Un compagnon de pratique qui a vu en moi m’a dit “Ne sois pas si attachée”. J’ai tout de suite laissé tomber et j’ai décidé que l’argent pourrait servir à n’importe quel autre projet. Exactement comme Maître l’a dit dans Zhuan Falun: “Le désir de se faire valoir peut se manifester en toute situation, il se manifeste même quand on fait quelque chose de bien." Je me suis calmée et y ai réfléchi. Si je n’étais pas coordinatrice, aurais-je donné une si grande somme d’argent sans hésitation? Ne l’ai je pas fais mue par un cœur rempli d’égoïsme? Comparé aux contributions des personnes âgées, à la retraite et avec peu de revenu, je me suis sentie honteuse. Dans cet environnent de cultivation mon égoïsme s’est progressivement évanoui.
A cette époque à cause de mes attachements j’ai eu un très grand conflit avec un pratiquant. C’est le plus grand conflit que j’ai jamais eu avec un pratiquant depuis le début de ma cultivation. Cela était dû à un grand attachement que je ne pouvais pas cacher. Je pensais sincèrement avoir raison et j’ai été gravement incomprise. J’ai explosé devant mes compagnons de pratique sans retenue. Plus tard j’ai eu du mal à croire que c’était vraiment moi. Mais à cet instant là mes attachements étaient amenés en surface et je ne pouvais plus me contrôler. C’était juste comme le récit raconté par Maître dans Zhuan Falun sur la pratiquante qui dans son travail distribuait des pommes aux employés. Elle a été complètement furieuse quand elle a réalisé que dans sa boite il n’y avait que de petites pommes. En plus elle a appris qu’il y avait quelques grosses pommes dans sa boite mais qu’elles ont été remplacées par des petites par d’autres personnes. Ne pouvant plus se contrôler elle a explosé. Mon expérience a eu lieu en juillet 2004. Plusieurs pratiquants bavardaient là. Certains pratiquants m’encourageaient gentiment à être plus entreprenante dans le travail de coordination et à ne pas toujours avoir peur de prendre des initiatives. L’un des pratiquants m’a dit carrément : " Sais-tu ce que les autres disent derrière ton dos ? Ils disent que tu es comme un petit chiot, et que c’est le pratiquant XXX qui incarne le véritable pouvoir derrière la scène ". Je n’avais jamais pensé à cela et je me suis réellement sentie blessée. Bien qu’à ce moment en surface j’ai essayé de clarifier les choses et de défendre le pratiquant XXX, la colère était déjà bien présente à l’intérieur de moi. Toute ma colère et mes attachements ont explosé. Je ne me suis même pas posée la question si elle pouvait supporter ma colère ou si je risquais de la blesser. Au moment ou mes attachements sont apparus j’ai complètement oublié ce que Maître nous avait enseigné. Les effets de ma colère sont restés ancrés un certain temps dans nos cœurs. Bien sûr je l’ai regretté plus tard car j’avais perdu là une excellente occasion de cultivation. J'avais changé d'environnement de cultivation pour un endroit où mes attachements étaient amplifiés. Je ne méritais pas même d'être appelée une pratiquante. Je me suis agenouillée devant la photo du Maître les larmes inondant mon visage. Je pouvais sentir l'immense compassion du Maître et j'avais tellement honte de moi que je ne pouvais pas même trouvé d'endroit où me cacher. J'ai juré d'éliminer mes attachements le plus tôt possible et de bien avancer sur mon chemin de cultivation.
C'est plus facile à dire qu’à faire. J’ai de nouveau rencontré toutes sortes de tests de xinxing. Bien que je n’aie plus explosé aussi dramatiquement que je l’avais fait avant, derrière l’impression de calme que je donnais se cachait un sentiment d’injustice et je me sentais blessée. Plusieurs fois j’ai même failli démissionner de mon poste de coordinatrice en pensant : " Les choses vont mal qu’on le veuille ou non, pourquoi alors devrais je faire des efforts que personne apprécie ? " J’avais le sentiment que j’étais gravement maltraitée. Mais après réflexion, je me suis dis à qui devrais-je remettre ma démission ? Ne serais-ce pas à Maitre ? Est-ce que je veux vraiment dire à Maître que je ne veux plus m’impliquer parce que je me sens blessée et insultée ?
Mon cœur s’est calmé progressivement et j’ai eu conscience que c’était un environnement de cultivation. Deux années sont passées. Il y a quelques jours, j’ai accidentellement entendu quelques pratiquants dire : " Elle (en parlant de moi) ne fait les choses qu’en surface et derrière il y a quelqu’un qui la surveille. "C’était des propos similaires à ceux qui m’avaient fait exploser il y a deux ans. Les mots étaient peut être différents mais le sens était pareil. Cependant mon état d’esprit avait complètement changé et je ne me suis pas mise en colère. En fait toutes les situations que nous rencontrons sont crées par nos propres attachements. Nous devrions nous débarrasser de nos attachements et faire les choses que nous devons faire. Je n’ai toujours pas bien fait dans certaines situations. Quels attachements reste-t-il encore ?
Le véritable grand changement de xinxing est apparu chez moi après la conférence de Loi de Los Angeles que Maitre a donnée en mars 2006. C’est Maître qui a extirpé ces mauvaises substances qui étaient en moi. Maître a dit à la Conférence : " Quand les disciples de Dafa font des erreurs, ils n'aiment pas être critiqués. Personne ne peut les critiquer et quand quelqu'un le fait, ils explosent. Quand ils ont raison, ils n'aiment pas que les autres parlent de choses qu'ils pourraient améliorer ; quand ils ont tort, ils n'acceptent pas non plus la critique. Ils se fâchent dès que les autres les critiquent. Ce problème est déjà devenu très grave. " J’avais l’impression que le Maître s’adressait à moi. Je n’ai pas été coordinatrice depuis longtemps et je n’ai pas fait beaucoup pour valider la Loi. Pourtant j’ai beaucoup d’attachements. Je n’ai pas regardé en moi mais j’ai toujours pointé les lacunes des autres. Je ne me suis jamais examinée sérieusement. Maître continue en disant : " On ne peut pas vous blâmer – ce n'est pas que mes disciples de Dafa n'ont pas bien fait. (Le Maître rit) Disons que c'est le Maître qui a gardé ce petit peu de choses pour vous. Mais puisque aujourd’hui j'en ai parlé, à partir de maintenant vous devez considérer ce problème très sérieusement. "
Les mots du Maître m’ont profondément touchée. J’ai mis mes mains en position de Heshi et ai dit à Maître : " Maître, j’ai mémorisé vos mots et je vais les suivre à coup sûr." J’étais assise très loin du podium. J’ai vu Maître regarder dans ma direction. Je savais qu'Il m’avait entendu et je me suis promis à moi-même que je tiendrai ma promesse. Face aux critiques des autres, je resterai calme et je regarderai en moi pour trouver le problème.
Il n’y a pas longtemps de cela un pratiquant m’a appelée et m’a dit exactement les mêmes mots qui avaient fait que je n’avais pas pu contrôler mon xinxing à plusieurs reprises. En plus le pratiquant a ajouté : " Certains pratiquants ont des opinions négatives sur vous autres coordinateurs. Ils disent que vous dites des choses sans les appliquer vous-mêmes. Ces nouvelles sont arrivées jusqu’à Toronto. " Cette fois là je suis restée calme et ai écouté sans essayer de me défendre. Je n’ai pas essayé de trouver des failles chez le pratiquant non plus. J’ai juste regardé en moi. Ce n’était pas par hasard que j’avais entendu ces mots. Cela est arrivé pour me rappeler que je n’avais pas bien fait. J’ai regardé en moi et j’ai réalisé qu’il y avait beaucoup de choses auxquelles j’aurais du penser et qu’il y avait beaucoup de choses dans lesquelles je n’avais pas bien fait. Mais il y en a quand même certaines que j’éprouve le besoin de dire aux pratiquants même si certains pratiquants n’aiment pas prendre le temps de partager des expériences. Ils pensent que c’est une perte de temps et qu’on ferait mieux de passer ce temps là à réaliser des projets véritables. Mais la plupart de nos coordinateurs étaient tous d’accord pour dire que nous devrions échanger nos expériences une fois par semaine et que cela était vraiment nécessaire. Seulement quand nous assimilons clairement les principes de la Loi, nous arrivons à faire les choses correctement et bien. En conséquence conscients de l’importance de lire les expériences publiés sur le site Minghui nous envoyons les plus importantes à nos compagnons de pratique. Nous partageons aussi nos compréhensions sur ces articles. Cependant nous devons être plus diligents dans la validation de la Loi.
Dans le passé quand je me trouvais face à une telle situation, j’essayais toujours de me défendre en donnant différentes excuses pour cacher mes attachements. J’ai raté ainsi plusieurs occasions de cultivation Il m’est même arrivée de penser avec colère que je ne parlerai plus devant les autres à l’avenir et que je ne partagerai plus mes expériences avec qui que ce soit et que ce serait largement suffisant si je gardais mes compréhensions pour moi-même. Quand j’ai raccroché le téléphone après ma conversation avec ce pratiquant, je me suis sentie soulagée. Une seule pensée suffit pour savoir si une personne est capable d’abandonner ses attachements où pas et ce n’est pas si difficile à faire. Je suis reconnaissante envers Maître du fond du cœur. C’est Maître qui a extirpé ces substances que j’ai construit avec mes attachements depuis une longue période de temps. C’est Maître qui a souffert à notre place. Maître a fait tout ce qu’il a pu pour nous et il ne réclame de notre part que des pensées droites. Nous cultivons notre cœur et nos pensées. Maître nous guide pour nous permettre de changer entièrement grâce à notre cultivation du xinxing.
Ce n’est que récemment que j’ai appris à m’examiner et à regarder en moi. Dans le passé regarder en moi revenait à un slogan ou à une formalité. Je regardais en moi et essayais très fort de voir en moi, mais je ne trouvais rien. Ma compréhension est que regarder en soi est le reflet de l’état émotionnel de celui qui cultive véritablement, qui est bienveillant et veut véritablement s’assimiler à la Loi du plus profond de son cœur au lieu de rester attaché à son égo. C’est comme s’il y avait un mécanisme qui vous permet de voir automatiquement en vous-même. Aussi longtemps que vous regardez vraiment en vous vous serez capable de trouver vos lacunes. Au contraire si vous ne voyez que les attachements des autres et pensez que vous êtes toujours dans le vrai le mécanisme ne marchera pas.
Ce qui m’embarrasse le plus est qu' en écrivant cet article en abordant certains événements ou certains pratiquants, je continuais quand même à inconsciemment cherché qui était dans le vrai ou pas. Quand j’ai réalisé cela je me suis sentie très mal. Cela m’a permis de voir l’attachement à l’égo et à tout ce qui est droit. Dans la société humaine, mon sérieux est en général apprécié. Faire toujours les choses sérieusement peut être une bonne chose à un certain niveau. Mais à un niveau plus élevé, cela devient un attachement et un obstacle qui se manifeste par l’inflexibilité, le manque de pardon et une étroitesse d’esprit. Je suis arrivée à reconnaître que la cultivation ne met pas l’accent sur ce qui est vrai ou faux. Nous devons chercher nos attachements et nos lacunes inconditionnellement et les corriger du plus profond de notre cœur. Nous avons besoin pour cela d’utiliser les principes de Vérité, Compassion et Tolérance pour voir nos attachements et non ceux des autres.
Pour finir j’aimerais partager avec vous un poème de Maître tiré de Hongyin intitulé " Obtenir la Loi "(Traduction non officielle)
Cultiver véritablement Dafa,
seul cela est grand
En s'assimilant à Dafa
Un jour on réussit certainement.
Traduit de l’anglais de
http://www.pureinsight.org/pi/index.php?news=4049
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