Torture mentale et meurtre dans la persécution du PCC à l’encontre du Falun Gong – 3ème partie (photos)

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1ere partie : http://fr.clearharmony.net/articles/200605/26722.html
(Suite)

3. Méthodes dures de persécution mentale

Afin de tromper le public, le PCC dépense de grosses sommes d’argent pour construire des prisons-jardins et des camps de travail conçus pour apparaître inoffensifs, et même plaisants, pour les visiteurs extérieurs, tandis qu’il fanfaronne que la « réforme » des pratiquants de Falun Gong ressemble à « une douce brise et une pluie de printemps ». En fait, le PCC utilise la violence, la torture et le meurtre pour poursuivre son « taux de réforme » désiré.

"Faire mijoter l’aigle "

Des gardes au Camp de travail de Xin’an à Pékin ont dit aux pratiquants de Falun Gong : « Nous vous traiterons comme des espions jusqu’à ce que vous fassiez une dépression nerveuse et vous réformiez. »

Afin de forcer Li Deshan, pratiquant de Falun Gong, un professeur remarquable de l’agglomération de Dezhou, dans la province du Shandong à se réformer, les gardes au Camp de travail Wangcun dans la province de Shandong lui ont menotté les mains et les pieds à deux lits voisins qu’ils ont ensuite écartés, ce qui lui presque déchiré le corps en deux. Une autre torture que Li Deshan a eu à souffrir est le soi-disant « demi-vol ». Ses bras ont été étendus avec les mains enchaînées au cadre d’un lit métallique. Il a été suspendu ainsi de sorte que seuls ses orteils touchaient par terre, pendant quinze jours. M. Li a été également constamment soumis aux décharges de matraques électriques. Il a été emprisonné en confinement solitaire, surveillé par les criminels, n’étant autorisé qu’à deux heures de sommeil chaque jour pendant six mois, et les criminels lui giflaient le visage s’il fermait les yeux. Lorsque son esprit n’était pas clair du fait du manque de sommeil, ils ont ordonné à Li Deshan de lire des documents qui avaient été écrits pour diffamer le Falun Gong et ont enregistré sa voix, puis ils l’ont finalement laissé dormir. Lorsqu’il s’est réveillé avec un esprit clair, ils ont diffusé publiquement sa voix enregistrée. Li Deshan a nié avoir fait la déclaration, alors les prisonniers l’ont privé de sommeil et l’ont de nouveau forcé à lire les documents lorsque son esprit n’était plus clair, et l’ont de nouveau enregistré et passé. Passé par un tourment de l’esprit abrutissant, il a tenu fermement à sa croyance jusqu’à sa mort.

Luo Qingshu, pratiquante dans sa 80ème année, a été menottée et suspendue pendant longtemps à l’Ecole de formation légale de Gongjiawan dans l’agglomération de Lanzhou. Elle a été forcée à écrire les « déclarations de garantie. » Ses jambes ont enflé et semblaient translucides, elle ne pouvait même plus enlever ses sous-vêtements ni plier les jambes. Des crevasses longues et profondes sont apparues sur ses cuisses et ses mollets ; ses mains ressemblaient à des balles tant elles étaient enflées et elle ne pouvait plus plier les doigts. Une fois, elle a été suspendue pendant quinze jours consécutifs. Elle n’était pas autorisée à dormir. Ils l’ont redescendue alors qu’elle était au seuil de la mort. Un garde du nom de Qi lui a giflé le visage jusqu’à ce que du sang sorte de son nez et de sa bouche, et son visage est devenu enflé et avait l’air déformé. Qi hurlait : « Si tu n’écoutes pas le Parti communiste et ne te réformes pas, je te suspendrais des centaines de fois, t’écorcherais et ferais apparaître tes tendons. »

En novembre 2003, le pratiquant Li Mingtao de l’agglomération de Handan a été détenu dans une petite pièce sombre à la Prison Beijiao dans l’agglomération de Shijiazhuang parce qu’il tenait à sa croyance. Il a été torturé avec la méthode dite « apprivoiser l’aigle » et des coups brutaux. Les gardes de la Section Education l’ont « avisé » : « Ne sois pas obstiné ? Comment peux tu pratiquer [le Falun Gong] alors que tu es en prison ? Si tu n’écris pas une déclaration de garantie, ne sais tu pas que nous sommes une agence de réforme par la coercition ? » Li Mingtao a insisté : « Nous ne faisons rien de mal en pratiquant Dafa et en étant de bonnes personnes. » Le garde Zhao Jun lui a enfoncé des pointes métalliques sous les ongles. Six mois plus tard les doigts de Li Mingtao étaient ulcérés et du pus en suintait.

Le Réseau judicaire de l’Administration et des lois de Pékin a rapporté comment Li Jirong, chef de la Division 4 du Camp de travail pour femmes de Pékin avait reformé le pratiquant Du. Après 16 jours et 16 nuits de travail continuel, Du a écrit une « déclaration de séparation. »

Au District Dongshan de l’Ecole d’Education légale de l’agglomération de Guangzhou, chaque jour des haut-parleurs bombardent les pratiquants illégalement détenus avec une propagande calomnieuse à plein volume et interdisent aux pratiquants de dormir.

Torture

Une grande quantité de preuves montre les tortures terrifiantes utilisées aux camps de travail, centres de détention, prisons, instituts psychiatriques, centres de réhabilitation pour drogués et classes de lavage de cerveau, sans exception. Plus de cent méthodes de torture du passé, du présent, de Chine et d’autres pays, sont utilisées pour brutaliser les pratiquants de Falun Gong qui veulent être de bonnes personnes.

Administrer des décharges de plusieurs matraques électriques à haut voltage en même temps : les parties du corps visées incluent la bouche, la tête, le visage, la poitrine, les seins, d’autres parties intimes, et d’autres, différentes sortes de menottes et de chaînes et la suspension, différents bâtons, gourdins et fouets comprenant des gourdins en caoutchouc, des bâtons à pointes, des fouets de cuir, des fouets de fils de cuivre, des barres de métal, etc, planter des bâtons de bambou et des pointes de métal dans les doigts des pratiquants, si profondément qu’ils atteignent l’os, pincer la chair des pratiquants avec des tenailles, gaver de force d’eau pimentée, d’eau à forte concentration de sel, et de fèces par le moyen d’un gros tube de plastique, arroser d’eau froide les pratiquants en plein hiver, complètement déshabiller les pratiquants et les jeter dehors, forcer les pratiquants à se tenir sous le soleil dans la chaleur de l’été les brûler au fer incandescent, leur interdire l’usage des toilettes, le donjon, le donjon d’eau , le Banc du tigre, le lit de la mort, l’assise sur de petits tabourets et des chaises de métal, la cellule de confinement solitaire, le viol, le viol collectif et autres sévices sexuels infligés aux pratiquantes.

Simulation de la suspension et des chocs électriques
Simulation de l’ "Ecartèlement"

Les autorités au Camp de travail de Sanshui dans la province du Guandong ont utilisé la torture dite des “cinq chevaux séparant le corps » en forçant les pratiquants de Falun Gong à renoncer à leur croyance. Cela consiste à menotter et enchaîner le pratiquant et tirer dans quatre directions opposées. Le 2 janvier 2003, le garde Zhang Wujun, avec plusieurs détenus sous ses ordres, a menotté les quatre membres du pratiquant Huang Zhufeng et a tiré violemment dans quatre directions simultanément, ce qui a disloqué les épaules et les mains de Huang Zhufeng qui étaient couvertes de sang. Vingt huit jours plus tard les muscles de ses bras se sont atrophiés.

Ce qui suit est le récit d’un étudiant diplômé du Trinity College de Dublin Zhao Ming :

"...Ils m’ont ordonné de ne pas dormir deux jours durant et m’ont force à me “réformer”. Après que j’ai refusé, ils ont attaché mes bras, le haut de mon corps, mes jambes et mes pieds à une planche de lit . Puis ils ont placé une corde en travers de ma bouche et ont attachée ma tête de cette façon … ils ont déchargé au moins six matraques électriques de dizaines de milliers de volts sur tout mon corps.

Mon corps tout entier a commence à se convulser et se crisper violemment. La douleur était immense. J’étais à court de souffle et ma gorge était sèche. Je respirais avec difficulté. De temps en temps ils arrêtaient pour maintenir l’acuité de la douleur et ont essayé de me forcer à signer des déclarations. Liu Guoxi, un des policiers, était très expérimenté dans l’utilisation des matraques électriques. Il tenait une matraque dans chaque main et les roulait contre ma poitrine, utilisant les fils pour me choquer. Mes oreilles étaient pleines des craquements des matraques électriques touchant la chair, et l’air sentait l’odeur de la chair brûlée, chaque particule de l’air était saturée de violence et de perversité…

Ils n’arrêtaient pas. En but à un tourment physique et mental immense, je n’ai plus pu maintenir un esprit clair et raisonner. [cela a duré ] jusqu’à j’accepte de me réformer." ( pour plus de détails : http://fr.clearharmony.net/articles/200208/3197.html)

A la chambre secrète de torture sur la Montagne Jingyue, Jingyuetan, agglomération de Changchun, le pratiquant de Falun Gong Zhang Zhikui a été complètement dévêtu. Ses mains ont été menottées derrière son dos sur un Banc du tigre, les gardes ont plusieurs fois tiré d’un coup sec ses mains menottées de derrière vers l’avant de son corps, [dans le processus] ses os ont craqué et se sont brisés, les tendons et les os ont été exposés sur ses chevilles dans cette lutte douloureuse, parce que ses pieds étaient enchaînés. Les gardes ont brûlé tout son dos avec des cigarettes et des bougies jusqu’à ce qu’il devienne noir, puis ils lui ont versé de la cire chaude sur le dos jusqu’à ce qu’on ne puisse trouver un seul morceau de peau intact. Il a refusé de renoncer à sa croyance, même lorsque les gardes lui ont choqué les parties génitales, et les gardes ont finalement écrasé le bout de son penis.

Liu Haibo, 34 ans, un médecin de la section CT à l’Hôpital du district de Luyuan a eu un long bâton électrique inséré dans son anus, qui a directement choqué ses organes internes jusqu’à sa mort.

Au moins 23 pratiquants de Falun Gong ont été tortures à mort dans une tentative de les“réformer” à cette chambre de torture.

Peinture reconstituant une scène de brûlure
Peinture décrivant le Banc du tigre

Wan Yuhuan, une femme de soixante ans a été illégalement arrêtée et détenue dans les camps de travail à neuf reprises en l’espace de six ans par la police de Changchun parce qu’elle persistait dans sa croyance en Vérité, Bonté, Patience. Elle a été torturée sur le Banc du tigre pendant trois jours et trois nuits et a été une autre fois sauvagement torturée toutes les cinq minutes. Les gardes l’arrosaient d’eau bouillante ou glacée chaque fois qu’elle perdait conscience, et ils ont continué à la torturer dès qu’elle revenait à elle ; ils lui ont choqué la tête let le visage jusqu’à ce qu’ils soient roussis ; ils ont brûlé ses yeux avec des cigarettes et poignardé l’intérieur de ses oreilles avec des baguettes de bambou, qui lui ont percé les tympans causant une perte définitive de l’ouie … Encore plus horrible, les gardes ont complètement dévêtu Wang Yuhuan d’âge à être la mère des gardiens et une autre pratiquante, ils ont étendu les bras et les jambes des pratiquantes les ont attachés à des planches de bois pendant 26 jours et les ont insulté de toutes les façons possibles.

Yang Guang a été torturée pendant les deux années entre janvier 2000 et mars 2002. Les bourreaux étaient Liang, chef de la Division N°1 du Département de police de Changchun et ses subordonnés. Ils l’ont choqué avec des bâtons électriques, l’ont torturé sur le Banc du tihre et lui ont passé une veste de restreinte, lui ont infligé la Grande suspension [Dans cette torture, le pratiquant est suspendu par ses mains menottées et ses pieds touchent à peine terre], ont essayé de le faire suffoquer en lui enveloppant la tête d’un sac plastique et en le gavant de force avec de l’alcool. Les coups lui ont fait perdre l’ouie de l’oreille gauche et le fonctionnement de ses bras, et le bas de son corps est devenu paralysé. Il a été illégalement condamné à 15 ans de prison. Ils l’ont emmené à la section pour les détenus âgés et handicapés à la prison de Jilin. Il a été détenu dans le « quartier des nus » où les détenus restent toute l’année sans voir la lumière du soleil, le bas de leur corps toujours nu et ils vivent dans les fèces et l’urine.

Chang Xuexia, une femme discrète de l’agglomération de Dalian, a été envoyée au Camp de travail de Dalian de nouveau en janvier 2003, parce que des personnes moralement détruites voulaient la “reformer”. Le chef de division Wan Yalin, ont ordonné aux détenus de la déshabiller complètement, de la suspendre, de la battre et lui donner des coups de pieds, de lui pincer le bout des seins, de lui arracher les poils du pubis, et de poignarder sévèrement son vagin dans un mouvement de va et vient avec une grosse brosse à chaussure.

Les bourreaux ont torturé la pratiquante Mme Wang Lijun en tirant une corde nouée d’avant en arrière sur ses parties génitales, les faisant enfler. Ils ont aussi brisé le manche de bois d’un balais et inséré le bout cassé dans son vagin, la faisant saigner abondamment. Son abdomen inférieur et ses parties génitales ont enflé énormément. Ces brutes totalement dénuées de nature humaine, ont utilisé une telle torture sur des pratiquantes non mariées !

Photo de simulation: poignarder le vagin avec une brosse à chaussure

De telles tortures dépassent l’imagination humaine et défient toute description. La réforme à 100% des pratiquants de Falun Gong force chaque pratiquant a choisir entre renoncer à leur croyance et endurer une escalade brutale constante de la persécution. Pour un pratiquant déterminé renoncer à sa croyance signifie la mort spirituelle, tandis qu’endurer une intensification constante de la persécution mène presque sûrement à la mort physique. De n’importe quelle perspective, le PCC et le régime de Jiang essaient évidemment d’éradiquer le Falun Gong.

(A suivre )

Date de l’article original : 16/05/2006

traduit de l’anglais de :
http://en.clearharmony.net/articles/200605/33223.html

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